La Première ministre a lancé, le 5 octobre à Libreville, la campagne de vaccination itinérante anti-Covid dans les administrations publiques et parapubliques. «La vaccination reste à ce jour le moyen le plus efficace pour freiner la courbe des contaminations et nous aider à retrouver rapidement une vie normale», a justifié Rose Christiane Ossouka Raponda.

La cheffe du gouvernement et son ministre de la Santé lançant la campagne de vaccination itinérante anti-Covid, le 5 octobre 2021 à Libreville. © Facebook

 

Décidé à tordre le cou au Covid-19, le gouvernement affine sa stratégie de riposte. La cheffe du gouvernement a lancé, le 5 octobre à Libreville, la campagne de vaccination itinérante contre le Covic-19 dans l’administration. «La vaccination reste à ce jour le moyen le plus efficace pour freiner la courbe des contaminations et nous aider à retrouver rapidement une vie normale. C’est dans cet esprit, que j’ai procédé ce jour, à la primature, au lancement de la campagne de vaccination itinérante contre le Covic-19 au sein des administrations publiques et parapubliques», a déclaré Rose Christiane Ossouka Raponda sur Facebook.

Une démarche s’inscrivant dans la vision de la Première ministre qui, dans une note adressée le 21 septembre dernier à tous les membres de son gouvernement, avait donné instruction pour que soit établi dans les tout prochains jours un plan de vaccination élargie visant les agents de l’État. «Protégeons-nous. Vaccinons-nous. Pour nous, pour les autres», a-t-elle exhorté. Toutefois, plusieurs agents de l’Etat n’entendent pas rentrer dans les rangs, quitte à en subir d’éventuelles conséquences. Car, argumentent-ils : «la vaccination n’est pas obligatoire au Gabon».

 
GR
 

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