24 heures après la déclaration de deux nouveaux cas d’infection au Covid-19, le président de la République a invité ce mercredi 18 mars les populations au calme et à l’humilité. Si certains redoutaient un nouveau relèvement des mesures préventives, notamment avec l’annonce d’un confinement général de la population, Ali Bongo s’est plutôt contenté de rappeler la nécessité de respecter scrupuleusement les gestes quotidiens à adopter pour éviter la propagation du virus sur le territoire national.

Ali Bongo, le 18 mars 2020. © Capture d’écran/Gabon 24

 

Après la découverte à Libreville de deux nouveaux cas de Covid-19 ces dernières heures, Ali Bongo s’est adressé à la Nation ce mercredi. Si certains redoutaient un nouveau relèvement des mesures préventives, notamment avec l’annonce d’un confinement général de la population, Ali Bongo s’est plutôt contenté de rappeler la nécessité de respecter scrupuleusement les gestes quotidiens à adopter pour éviter la propagation du virus sur le territoire national. Comme dans un récent post sur sa page Facebook, le chef de l’Etat s’est une nouvelle fois voulu rassurant, invitant les populations à ne pas céder à la panique.

«Je vous demande de rester calme, il n’y a aucune inquiétude à avoir à ce sujet», a-t-il exhorté, avant de promettre que, «d’une manière générale, sur le plan économique, le nécessaire sera fait pour limiter au maximum les conséquences négatives liées à cette situation exceptionnelle».

Pour Ali Bongo, «si seulement trois cas ont été testés Covid-19 positif au Gabon, c’est en raison des mesures courageuses et vigoureuses que nous avons déjà prises pour entraver la propagation de ce virus et freiner sa chaîne de transmission».

Le nombre de personnes déclarées positives au Covid-19 a en effet été porté, le 17 mars, à trois. Il s’agit de deux femmes de 29 et 49 ans ainsi qu’un jeune homme de 27 ans. Tous les trois sont de nationalité gabonaise.

Récemment, le gouvernement a pris un arrêté fixant les modalités du confinement, précisant que tout contrevenant s’expose à des poursuites judiciaires. Ce mercredi, Ali Bongo a réaffirmé : «Toute infraction sera sévèrement punie. Les contrôles seront permanents et tout contrevenant sera sanctionné.»

 
GR
 

5 Commentaires

  1. Serge Makaya dit :

    Bof! Je ne sais pas à quel jeu Sylvia Bongo et Nourredine Bongo jouent. Mais qu’ils nous libèrent la ligne SVP. Ce n’est pas Ali Bongo qui a parlé. C’est encore et toujours l’un de ses ridicules sosies. Nous voulons maintenant la libération du Gabon, même en pleine crise de coronavirus. Le Gabon appartient aux gabonais et non aux marocains SVP. Ali est MORT. POINT FINAL.

  2. Ossouka dit :

    Combien ce sosie à reçu pour faire ce ridicule discours ? Pourquoi gaspiller tant d’argent ? Allez gaspiller l’argent du Maroc, et laissez nos richesses svp.

  3. Ho chi minh dit :

    Qu’on me dise pourquoi à chaque sortie, de celui qui est présenté comme le chef de l’état,on nous révèle des nouvelles insuffisance cette fois c’est l’œil droit qui ballade comme une bille de flipper, j’espère que les esperts de sa communication vont revisionner la bande.

  4. Ulys dit :

    C’est plutôt Sylvia Bongo et Nourredine Bongo qui rassurent par les médias leurs proches (VOYOUS comme eux) qu’ils sont bien aux commandes du paquebot Gabon. Continuez à ne pas réagir, mes frères et sœurs gabonais. « On va encore faire comment » me direz-vous ? Tant pis pour vous. Vous deviendrez des esclaves dans votre propre pays. Vous savez comment les marocains traitent les noirs chez eux ? Ils vous traiteront pareillement. ALI BONGO EST MORT.

  5. Cathy dit :

    « Face à la menace, Ali Bongo rassure ». Expliquez-moi comment un ASSASSIN et USURPATEUR peut RASSURER ? Dieu merci qu’il est déjà décédé. Mais reste maintenant sa pouffiasse de femme et le fils du petit roi du Maroc. Deux personnes rapaces et au service de la France et du Maroc. Car c’est pour ça que nous avons du mal à les CHASSER du pouvoir. Pourtant, il faut bien qu’il parte de notre pays. Sinon ce sera: tout pour la France et le Maroc (Sylvia Bongo et Nourredine Bongo y compris) et rien pour le peuple gabonais.

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