La Cour constitutionnelle proche de l’opposition, selon Rossatanga-Rignault
Le Secrétaire général adjoint de la présidence de la République gabonaise s’insurge contre le procès que le camp de l’opposition fait à la Cour constitutionnelle, la soupçonnant de partialité en faveur du pouvoir chaque fois qu’elle est saisie.
Souvent taxée, ironiquement, de ‘’Tour de pise’’ par les partisans de l’opposition, du fait qu’elle pencherait toujours du même côté, la Cour constitutionnelle suscite l’hésitation de certains candidats, singulièrement ceux de l’opposition, à la saisir. Elle est jugée inféodée au pouvoir du fait que sa présidente, Marie-Madeleine Mborantsuo, est la mère de deux demi-frères d’Ali Bongo. Un fait légitime en droit qui devrait d’emblée la disqualifier, du moins amener à sa récusation.
Pourtant, dans une interview publiée le 10 septembre par Le Point Afrique, le professeur de droit et science politique, Guy Rossatanga-Rignault, relativise la méfiance de l’opposition, en estimant qu’il existe, par exemple, «des décisions de la Cour rétorquant des ordonnances du président de la République… des décisions annulant l’élection de candidats du parti au pouvoir existent tout autant.»
Le secrétaire général adjoint de la présidence de la République juge inexact les insinuations qui présentent la présidente de la Cour constitutionnelle comme incapable de juger objectivement, du fait de cette parenté. « C’est un argument qui peut être retenu, mais qui, dans les faits, est plus spécieux qu’autre chose. C’est le lieu de rappeler que la Cour constitutionnelle du Gabon se compose de 9 membres nommés à raison de 3 proposés par le président de la République, 3 par le président du Sénat et 3 par le président de l’Assemblée nationale. Précisons aussi qu’ils sont 9 parce que chacun d’entre eux est issu de l’une des 9 provinces du Gabon. Il y a 1 800 000 Gabonais. Chacun des juges, venant d’une province, est donc porteur (y compris à son corps défendant) d’une identité régionale ou ethnique. Si l’on doit se mettre à fouiller les origines et parcours personnels des uns et des autres, il risque de ne plus se trouver un seul juge crédible dans cette affaire», argumente l’universitaire.
Poussant l’analyse, l’universitaire estime que les opposants Jean Ping et Guy Nzouba Ndama réuniraient dans ce cas bien plus de juges constitutionnelles en leur faveur. «Mais Jean Ping est aussi père de deux enfants portant le nom Bongo (ceux qu’il a eu avec la fille aînée d’Omar Bongo, et donc des neveux d’Ali Bongo). À ce petit jeu malsain consistant à gratter sous la peau des uns et des autres, on pourrait aussi suspecter les 3 juges de la Cour qui avaient été proposés par l’ancien président de l’Assemblée nationale, M. Guy Nzouba Ndama (rangé aujourd’hui derrière Jean Ping). Mieux (ou pire), l’un des 9 juges de la Cour n’est autre que la propre nièce de M. Jean Ping, la fille de son frère aîné. Alors ? », a-t-il indiqué et interrogé.
Pour lui, le problème est ailleurs. Les Gabonais ont plutôt un mauvais rapport avec la loi et le droit. Quand elle n’est pas appliquée (la loi), on s’en plaint, mais lorsqu’elle est appliquée contre quelqu’un on ne l’accepte pas, et les siens avec, soutient l’universitaire. « Nous sommes aussi à l’image de ces joueurs qui, au début du match, acceptent les règles du jeu et les arbitres et qui, lorsqu’ils ont perdu, remettent en cause les règles et l’arbitre. », ironise-t-il.
Auteur : Alain Telly Mouanda
50 Commentaires
m.le sc ping c ‘st un criminel il voit le mal rien que le cote du pouvoir lui meme qui recrute les ivoiriens il se dit ignoncant.
Ton français est indigeste, fais des efforts stp. Je te paierais les cours du soir.
Jean jacques tu es tout simplement bête. il vaut mieux la fermer….
Jean-Jacques, arrêté de raconter des sottises. PING à tué ou a fait tuer qui ?
Mr je comprends que vous voulez à tout prix que les choses vous soient favorables. Mr quel jour Mado a été objective, en matiere de l’élection presidentielle,avant de tenir cet argumentaire. Même toi même tu vois ça comment? Papa les gabonais ne sont pas aveugles.
Je vous prie de poster cette reflexion que jai envoye a la redaction de jeune Afrique ( qui je m en doute ne la publiera pas) et qui prevaut bien pour tous nos chers « hauts intellectuels » qui tels des chevaux de tierce gagnants brides par le mors et les oeilleres refusent de voir et d entendre les cris sourds de la terreur.
voila
Exemple : un droit de réponse que j’ai écrit pour la rédaction de jeune Afrique qui ne paraitra sans doute pas. Merci de poster dans des journaux tels que gabonreviews en tribune libre
Il s’intitule soyez ma voix auprès de …Mr Marwane ben Yamed
J’ai lu avec grande attention son dernier papier sur les recours constitutionnels au Gabon. Je comprends, je comprends très bien votre position, et votre prose lénifiante qui reflète l africanité cynique de ce qui est devenue la ligne éditoriale de jeune Afrique. En effet, a trop fréquenter les atmosphères feutrées des palais presidentiaux, on finit par perdre son acuité journalistique et tout simplement son humanité.
En effet quand on est entre soi, entre faiseur d’opinion et classe régnante – dynastique de « ces pays-là », peut-on entendre le cri sourd des bâillonnés de la vie ? Peut-on entendre le crépitement des tirs suivi des derniers spasmes de vie de pauvres bougres anonymes a la foi simple qu’il <>? Non, je vous comprends, – on ne le peut pas. Car, ses corps traines par des soldats de l’entre soi, habilles de leur plus beaux joyaux, armes létales, matraques, tortures sont devenus des portes à disparaitre dans la fange des boues de l’oppression ou leurs corps se décomposeront…loin des salons feutres de ceux qui règnent et de ceux qui informent à partir de ces lucarnes de l’aisance.
Comme on vous comprend, mr Marwane, les journaux tel que koaci, les reporters tel que mr Fandio de France 24 etc.. et nous vous regardons avec beaucoup d empathie. Vous ne pouvez plus voir ni entendre
Mr Marwane, que valent ses cris qui essaient de s’arracher péniblement de la glue de l’oppression quand elles sont en porte à faux avec « ces pays-la » qui il est vrai- progressent dans la paupérisation de leur populations les plus fragiles. Je vous comprends, ses faibles voix vites étranglées ne pèsent pas la comparaison avec ses travaux titanesques, pharaonique même de l avenir en confiance qui s’étalent régulièrement dans les publi reportage commerciaux de vos pages. Alors je vous comprends et j a i beaucoup d empathie pour vous. Il faut bien que la boutique tourne et que l on reste dans notre entre soi.
Je vous demande simplement une petite faveur puisque vous aimez présenter l’information tout en contraste. Rappelez la chronologie des faits. Il y a un ministre de l interieur qui a dit il ya quelque mois <> Il y a quelques dizaines de jours de cela, il y a un porte parole qui avait dit des le 27 aout a minuit que son candidat avait gagne. Il serait un peu equilibre d apporter cette nuance fondamentale. Il y a quelques annees de cela on se souvient de formules celebres de papa et de maman Bongo : « les chiens aboient la caravane passe » et des chansons tres fines « …tant pis pour les copistes G2 en avant etc… » Et puis il serait bon de preciser que mr Bongo est president a priori et non reelu. mais il est vrai que dans vos atmospheres feutrees les nuances de la lumieres sont souvent diffile a cerner.
Bien cordialement
un pauvre lecteur africain
Le prof s ennuie
Cher Professeur,
Espérons pour vous que jamais un de vos étudiants ne vous sollicitera pour que vous lui expliquiez les sources de la récusation des juges.
Le Président de la République, le Président du Sénat et le Président de l’Assemblée Nationale nomment chacun trois des neufs membres de la Cour Constitutionnelle du Gabon.
Les Gabonais ne se plaignent pas des 3 membres de la Cour Constitutionnelle nommés par le Président de la République ou les 3 autres nommés par la Présidente du Sénat.
En 2009 déjà, alors que les 9 juges étaient nommés par des PDGistes, c’est uniquement la récusation de Madame Mborantsouo que Me Lubin Ntoutoume avait demandé, au regard de ses liens familiaux avec Ali Bongo.
Aujourd’hui, la récusation de 2 membres de la Cour Constitutionnele s’impose. Celle de Madame Afriquita Agondjo qui est la nièce de Jean Ping et celle de Marie Madeleine Mborantsouo qui est la mère des demi-frères d’Ali Bongo. Cela est bien simple à comprendre.
Au-delà du droit, un peu de dignité ne ferait de mal à personne !
Quand on été nommé agrégé de droit par décret du Président de la République sans avoir jamais présenté aucun concours d’agrégation, on fini ainsi. Réduit à produire des analyse à deux balles !!!!
Pouah !
ROSSATANGA , c’est une insulte à nos morts pour la liberté, c’est une insulte au peuple gabonais pour la liberté et l’alternance que nous avons massivement exprimé le 27 août.
Ayez un d’humanité, de compassion et dépasser vos privilèges.
Tout se paie ici bas.
Vous êtes minable de soutenir le mensonge alors que le monde entier connaît la vérité des urnes du 27 août.
Le peuple a voté pour l’alternance et non la continuité des crimes rituels, l’assassinat des opposants.
Demander à votre assassin de libérer tous les leaders syndicaux, l’ex député ZIBI
En tant que juriste, votre déontologie vous oblige à dire la vérité.
j’ai le tourniquet…
comment peut-on faire de l’esprit dans un moment aussi crucial pour notre pays? …écoeurant de présenter les choses avec autant de cynisme
Les interventions de Mr ROSSATANGA gênent l’espace universitaire. Cet universitaire aurait pu prendre un autre chemin Il a choisi celui de l’or dans les entrailles. Et pourtant, les pharaons qui en avaient tant, dorme avec, dans leurs luxueux tombeaux, depuis plus de cinq mille ans. Ils n’en sont jamais revenus. Alors, l’agent mène à tout. Au crime, à la passion, à l’achat des consciences, au viol de l’intégrité morale, intellectuelle, mais souvenez-vous-en….Jamais à l’éternité.
quand le ventre se substitue au cerveau, l’intérêt alimentaire prend le pas sur la raison. le gabon est devenu une maison de fous où la raison a pris la poudre d’escampette devant tant de cynisme, d’hypocrisie et de corruption intellectuelle et morale. sous le couvert d’un prétendu savoir localement concédé; de prétendus professeurs se prennent pour l’oracle de la vérité absolue. bêtise et présomption quand on sait que même chez les grecs l’oracle de la pythie ne faisait pas toujours l’unanimité et qu’il était discrédité lorsqu’on veanit à médiser ou à laconiser, c’est-à-dire de prendre parti. comme c’est souvent le cas avec ce mercenaire de la plume convaincu de sa propre déraison.
j’approuve entièrement se dis Monsieur le secrétaire général adjoint. dans notre pays, la loi ou son application pour les autres. le changement c’est pour les autres. il est grand temps de mettre à jour votre logiciel mental qui a subit un bug depuis les années 90. nous ne voulons pas admettre cela. aujourd’hui toutes les personnes qui se braquent contre le pouvoir, la majorité refuse le changement de paradigme.
Monsieur je ne sais quoi! il est temps pour vous d’arrêter d’insulter nos intelligences. Nous en avons plus qu’assez de vos turpitudes. Nous n’avons pas élevé les cochons ensemble, alors apprenez à respecter les gabonais.
Nous nous connaissons tous.
« Nous sommes aussi à l’image de ces joueurs qui, au début du match, acceptent les règles du jeu et les arbitres et qui, lorsqu’ils ont perdu, remettent en cause les règles et l’arbitre. » une Triste illustration…
Triste propos, avez-vous vu un jour un jeu au monde où le perdant connu et reconnu de tous vole le trophée de la compétition, et on lui accorde le titre de champion? Quel modèle inculqué aux générations futures? La triche, le vol. Il nous faut donc légaliser tout cela, et puis chacun fera au tant sans qu’on brandit un cas interdit par loi.
Quant au professeur, le diplome ne change pas la nature d’un homme. Comment comprendre que des gens sortent des mêmes écoles mais diffèrent par leurs pratiques? C’est la nature originelle de l’individu toujours plus forte que ce que l’on greffe. C’est pour expliquer le comportement du professeur dont les uns et les autres s’étonnent au regard de sa paperasse universitaire. C’est sa vraie nature qui s’exprime.
LE MAL DE L’AFRIQUE CE SONT LES CRIQUETS ET LES INTELLECTUELS
Rossatanga a été secrétaire général de l’UOB, l’université des enfants des pauvres. A son époque jusqu’à ce jour, aucune année sans gréve bref.
En tant qu' »homme de science??? », vous devriez rechercher les causes des faits, la source du problème. Emile Durkheim le dit, observer les faits comme des choses et trouver leur origine pour comprendre leur conséquence et pourquoi pas, proposer des solutions. Les gabonais n’ont pas confiance en leur justice, une justice au service des plus forts. Une justice qui donne raison au faible lorsque le fort décide d’avoir tort. Une justice esclave de l’argent bref vous faites semblant d’ignorer tout cela car vous avez choisi de soumettre votre dignité à l’esclavage dans la cour des Bongo. La Cour constitutionnelle dira ce que vous avez décidé qu’elle dise. Pour vous le grand universitaire, il est normal qu’un président ait autant d’actes de naissance? A qui voulez-vous parler de justice?
Mes frères vous avez déjà tout dit je n’est plus de mot pour qualifier se sois disant juriste là.
Une justice à géométrie variable. Des criminelles de votre espèce se doivent d’être derrière les barreaux. Mais non, ça vient nous faire des cours de droit constitutionnel. Vous avez assassiné des gabonais et ça ne vous touche en rien. Tout se paye ici bas.
On sait pourquoi le porc se roule dans la boue! Mais je n’ai toujours pas compris pourquoi certains hommes, se douchent au vomi du Peuple…
je n’irai pas par 4 chemins, si dans la loi on fait usage de faux sa veux simplement dire que tous ce que nous utilisons comme moyen juridique sont faux.
Parce-que la loi autorise un juge de la cour constitutionnelle à faire au maxi deux mandats, hors tous ces 9 juges ont déjà outrepassés la loi. Alors arrête, tu nous distraient, rien des bêtises nous voulons simplement une alternance pour avoir un nouveau visage de la loi vis à vis des gabonais.
Les 6 juges nommés par les présidents du Senat et Assemblée Nationale, sont choisis par lui-meme le Président de la République qui les impose aux présidents du Senat et Assemblée Nationale pour les nommer. Donc, les 9 juges sont tous nommés par le PR. présidents du Senat et Assemblée Nationale ne sont que des gaudiaux, personne ne l’ ignore au Gabon.
N’importe quoi et toi jean tu n’es qu’un pauvre con
Mr le Professeur,votre jonglerie politique vient du fait que c’est le mode désignation des membres de la cour qui pose problème.Bien sur, vous direz que ce n’est pas l’actuel Chef de l’Etat qui en est l’auteur.Puisque suivant votre analyse tout le monde a partie liée,pourquoi alors ne pas laisser cette cour désigner ses membres dans sa corporation,grand professeur?
Un professeur qui va recopier les écrits des autres chercheurs .
Apprenez à citer les sources. Cet interview a paru dans le site lepoint.fr il y’a quelques jours.
Ce commentaire à l’article du Point rejoint celui de l’article sur GabonReview.
C’est avec intérêt que j’ai lu votre article publié le 10/09/2016 dans le « Point Afrique »
Si, la première partie de cette interview à le mérite de participer à la clarification du débat en expliquant les éléments techniques des différentes procédures , je reste en revanche circonspect sur votre argumentation concernant la « méfiance » de l’opposition à l’égard de La Cour Constitutionnelle.
En effet ,reprenant votre métaphore je cite : « Nous sommes aussi à l’image de ces joueurs qui, au début du match, acceptent les règles du jeu et les arbitres et qui, lorsqu’ils ont perdu, remettent en cause les règles et l’arbitre. »
Cette métaphore bienvenu a le mérite de dégager deux niveaux de réflexion tout en simplifiant la construction intellectuelle dont vous usez.
le premier niveau et non des moindres que vous soulignez est, qu’effectivement les joueurs qui ont accepté les règles du jeu et l’arbitre ne peuvent les récuser à tout va dont acte !
Néanmoins, et pour conserver le style métaphorique on pourrait également ajouter que si,sur tous les terrains de football du monde (pour prendre l’exemple, d’un sport populaire et universel) les protagonistes apprenaient que l’arbitre à une quelconque « alliance » fantasmée ou réelle avec l’équipe adverse ….il me semble que l’on aurait quelques difficultés à organiser des matchs sous quelques cieux que ce soit à moins de prévoir, à chaque match, la sortie sous escorte, de l’arbitre en cas de défaite.
Par ailleurs comme vous le dites si bien je cite : «Si l’on doit se mettre à fouiller les origines et parcours personnels des uns et des autres, il risque de ne plus se trouver un seul juge crédible dans cette affaire. » la belle affaire ! Voilà un sujet qui mériterait un débat si on fouillait …..on aurait aucun juge crédible ?…. plus sérieusement vous avez raison quand vous parlez de crédibilité et là est le deuxième niveau de réflexion il y la lettre et l’esprit …la Cour Constitutionnelle est la plus haute juridiction et à ce titre si on garde l’esprit , elle ne doit souffrir d’aucune espèce de suspicion ce n’est pas tant un problème de personnes ou d’ attaques ad hominem mais de la nécessité d’une neutralité exemplaire au sein d’une telle institution et, ceci au service d’une démocratie apaisée car c’est le seul enjeu qui vaille.
Les gabonais sont des êtres spéciaux,ce qui est dommage ,c’est qu’on soit insensible à ce point. La situation que nous vivons en ce moment n’est pas toujours liée à M.PING que je ne connais ni de loin ni de près ,nous qui sommes de la diaspora,disons que nous voulons une alternance au GABON, nous n’avons pas un pays de rechange comme beaucoup.M.le SG , vous parlez de jUSTICE ?en tant qu’homme de droit,vous devriez avoir honte de prononcer ce mot au GABON. Mais sachez qu’un jour les gabonais vous rappellerons vos prises de positions.
Voici un autre agrégé des tropiques,qui plus est nommé ,il n’a pas encore compris que le vent est en train de tourner, malgré les apparences.C’est à se demander si certains savent encore avoir honte!!!
Monsieur Rossatanga, j’espère que vous prendrez le temps de lire les réactions des Gabonais après que vous ayez accouché des élucubrations de cette nature, qui n’ont vraiment rien à voir avec la rectitude et l’honnêteté de quelqu’un qui a régulièrement vécu au Gabon depuis 1993.
D’abord vous savez clairement que vous mentez puisqu’en 1997 vous avez été mon enseignant au département de droit de l’UOB et vous disiez tout le contraire de ce que vous venez de dire sur notre fameuse « Cour de Pise » pas la tour de Pise, mais la « Cour de Pise ».
Ensuite, vous savez très bien que celle qui la préside actuellement est parfaitement dans l’inconstitutionnalité depuis plusieurs années. A ce titre, nous savons bien qu’elle n’est pas là pour les beaux yeux du peuple gabonais, mais bien pour ceux d’un seul homme à la fois. C’était pour Omar Bongo jusqu’en 2009 et c’est pour Ali Bongo maintenant.
Quand vous parlez de la composition de la Cour de Pise, ne savez-vous pas que seuls les pédégistes sont nommés par les pédégistes? Que ce soit le président de l’Assemblée nationale, celui du sénat, celui du CNC ou du conseil économique de social, ils sont tous pédégistes et n’ont nommé que des pédégistes. Alors arrêtez de nous raconter des histoires à dormir debout.
Lorsque vous parlez des 9 provinces, vous savez bien que dans chaque province du Gabon on trouve quand même des pédégistes donc cela n’a rien à voir avec ce que l’on dénonce en ce moment.
Pour ne pas conclure, monsieur Rossatanga, en tant que juriste, sachez que vous défendez quelqu’un qui exerce une fonction aussi haute, dans la plus pure inconstitutionnalité. Qu’en dites-vous? C’est d’abord à cette question qu’il faut réfléchir. Enfin, si elle est là sans s’inquiéter, c’est que celui qui la maintient là a bien intérêt à ce qu’elle soit là.
Vraiment,je suis déçue par certains intellectuels de mon pays. Professeur, soyez honnête. Depuis 90 à ce jour qui gagne les élections au Gabon? Que fait La cour constitutionnelle?
Aujourd’hui, un gabonais né par exemple au village, ne peut pas légaliser une copie de son acte de naissance ailleurs, il faut qu’ il parte là ou il est né. Il y a des gabonais qui n’ont pas d’acte de naissance à cause de tous les gardes fous que le gouvernement met en place, etc. Mais cette même cour constitutionnelle avait validé l’acte de naissance d’Ali, fait dans un arrondissement de la capitale. Est ce qu’ Ali est né à Libreville? Il a occupé la tête de la présidence de notre pays avec des faux documents. Si c’était un homme de la basse classe, il ne serait pas aujourd’hui en prison? Il y a tellement des choses que ce monsieur fait qui pousse le peuple à la rébellion. Le peuple de 1967 n’est pas le peuple de 2016. Vous ignorez qu’il y a des têtes pleines et bien faites au Gabon. Actuellement, même les apolitiques sont révoltés face à toutes ces personnes tuées par le pouvoir en place. S’il vous plaît, de grâce, ne chercher pas les problèmes là ou il y en a déjà. Si on tue votre enfant, votre frère… vous tiendrez encore ce genre de discours?
Il devrait de temps en temps la fermer, ce type. Un peu de descence devant tant de gens qui sont morts à cause de vous et vos sicaires cagoulés et vêtus de noir.
je plains les étudiants qui voudront encore écouter un type comme ça qui a eu son agrégation par décret présidentiel! ce sont des prostitués du pouvoir du boa qui sont obligés de boire et d’encaisser la semence d’un homme comme eux pour quelques billets de banque.
Le prof a dit la vérité mais comme les faux opposants qui sont dans la bande de ce criminel ping.ont perdu la raison.ping est qui devant Ratanga intellectuellement? Il a des difficultés pour s’exprimer.malgré son vieux petit doctorat qu’il bcheté la these.ou certaiment ces ivoriens et bourgi qui l’ont aidé ã obtenir ce doctorat.
Professeur des idiots de ton genre tout simplement.
@Jean -jacques, dans ce pays nous avons tous une histoire et toi o6 tu n’échappe pas. tu as aussi fait un virage à 180°, surement que tu as reçu ta part, et je te comprends.
te souviens tu de ce post du 7 OCTOBRE 2014 À 4 H 46 MIN sur le sujet « Afrique du Sud : Etudiants gabonais «sans papiers» »
jean – jacques
7 OCTOBRE 2014 À 4 H 46 MIN
Les amis les problèmes du Gabon c’est sont les conséquences des Indépendances PRECIPITÉES Et on n’arrive pas à résoudre les petits problèmes qui sont TROP SIMPLES. Beau changer les ministres, directeurs, Rien les problèmes retardent à trouver des solutions, les CDOC n’arrive pas à effectuer les déplacements il manque quoi leurs machines sont déjà en pannes ou manque d’argent pour leur billets et séjours? VOUS ALLEZ VOIR QUAND ON SERAIT PROCHE D’ELECTION PRESIDENTIELLE les choses trouverons vite les solutions. Que fait ce ministre qui s’occupe des gabonais de l´’étranger? Même le cas des deux gabonais agressés en Inde, pas des réactions de la part de nos autorités certainement les milliards, les médicaments(Génériques) que les indiens leur donne, ils vont ouvrir quelle bouche avec les Indiens?
Avec à peine 1500000 hbts on tous les problèmes du monde si la population était à 5 000.000 hbts? ´Passeports, difficulté, distribuer la pip , difficultés, payer les bourses des étudiants difficultés. Trouver un min de l’Education Nationale difficulté. Mettre les coupables de crimes rituels en prison difficultés, les voleurs des fêtes tournantes sont dehors difficultés pour leur mettre en prison. On agresse deux gabonais difficultés pour que les autorités s’expriment. Les problèmes des enseignants chaque année, difficultés, pour résoudre une seule fois ses problèmes. Mon Dieu libère le Gabon. Quelle est la solution pour le Gabon???
Ping peut et sa bande des criminels.terroristes peuvent continuer de Bien Rêver que ping sera pdt du Gabon.
Bonjour
Je suis curieusement saisi par une maladie, celle de la souffritude, comme qui dirait P-C AKENDENGUE, devant la facilité d’injurier ou de méprendre les propos d’un tel ou d’un tel autre, universitaire ou non. A son corps défendant Guy ROSS. tente de faire comprendre que le droit peut être applicable à tout le monde, et dans le cas d’espèce aux candidats de l’élection présidentielle dont le processus est toujours en cours. Chacun des candidats ayant un parent au moins à la CC. Chers réactionnaires ou réactifs ( c’est selon et en fonction de chacun), je trouve la majorité de vos propos complètement incohérents devant le discours de ROSS. Sans le connaitre forcément. Quelques questions cependant: Est-il possible d’être avec un Prince sans s’aliéner? Si oui, le fait de côtoyer ce Prince enlève-t-il la capacité d’analyse ? Si non n’a-t-on plus le droit de dire ce qui est parce que à côté dudit Prince? Chacun si possible pourrait continuer le débat.
Toutefois, ceux qui ne peuvent arguer correctement se taisent, car là où certaines choses se disent, on écarte les enfant. Et Malheureusement le débat des Gabonais sur leur propre pays est devenu cinglant et malsain. Dans ce cas, laissez les gens dire et défendre leurs points de vue qui ne sont récusés que par des jugements vrais et opposables. Quoi qu’on puisse faire, on ne peut nier à chacun le droit de dire et de penser ce qu’il veut. Le débat en démocratie ou ce qui y ressemble se situe au niveau des idées AU LIEU SYSTEMATIQUEMENT D’INSULTER LES AUTRES DANS LEURS PROPOS.Que celui qui sait lire et entendre assume.
L’alternance ne se décrète pas. Elle doit être obtenue dans les urnes. Dans la démocratie c’est le vote majoritaire qui décrète l’alternance. Elle n’est pas une vue de l’esprit. Ou alors, un enchantement sorcelere.
Merci DIP pour cette réaction.
Où sont donc passé nos universitaires indignés pour stopper ces bourdes d’écritures et de pensées courtes?
Mr. Rossatanga, votre analyse est un veritable torchon. Mais bon, cela n’engage que vous a vouloir tordre une verite qui est bien connue de tous que notre cour constitutionnelle a souvent tendance a se prononcer en faveur du pouvoir en place.
Cela dit, j’ai honte a votre place, surtout lorsqu’une analyse aussi minable provienne d’un professeur de droit.
Si cette cour était proche de l’opposition la candidature de Ali n’aurait jamais été validée
M. Rossatanga,
je ne pense pas que les gabonais aient un probleme avec le droit ou la justice. Votre analyse les reduit a des etres incapable de raison. Mais la question fondamentale est pourquoi on est-on arrivé la? la reponse n’est-elle pas simple? sans tricherie dans le haut-ogoue on n’en serait pas la, alors gardez vos leçons de morale à d’autres et rendez simplement aux gabonais ce qui leur appartient de droit; sans rancune va
C’est qui ce mec ? Il doit savoir une chose , les genis ont dit que c’est PING et c’est sera PING , ok !!!! Mais merde alors !!!!
Professeur Guy ROSS vos propos sont vains !
Pas grand chose à dire au « grand Prof », pas étonnant toutefois, pour causes (il y en a au moins deux),Lorsque la bouche ou plutôt la plume de l’auteur de ce papier sont continuellement remplies par les billets de banque immérités pillés dans les caisses de l’État au mépris des lois d’une part, et de l’autre, la précision est de taille, le « grand Prof » l’est grâce à un très controversé « article 23 ». Comprenne qui veuille!!! Vive le Gabon indivisible!!!!