Le ministre de l’Agriculture représente le Gabon à la 13e Conférence ministérielle sur les coopératives en Afrique (AMCCO). Le rôle des coopératives dans l’accélération des ODD et l’Agenda 2063 sur le continent sont au programme de ces travaux qui se tiennent au Caire, du 17 au 20 octobre.

Charles Mve Ellah, le 17 octobre 2022, au Caire. © Twitter/EllahMve

 

Charles Mve Ellah est au Caire, en Égypte. Le ministre de l’Agriculture y représente son pays à la 13e Conférence ministérielle sur les coopératives en Afrique dont la cérémonie d’ouverture officielle a eu lieu lundi 17 octobre. Le membre du gouvernement gabonais évoque sur Twitter «une rencontre d’un enjeu capital pour le continent africain en général et pour le Gabon en particulier».

Jusqu’au 20 octobre prochain, ces assises organisées par la branche régionale d’Alliance Coopérative Internationale (ACI-Afrique), avec la collaboration du ministère égyptien en charge des Coopératives d’habitation, portent sur le thème «Cultiver l’Afrique ensemble : le rôle des coopératives africaines dans l’accélération des objectifs de développement durable (2023) et l’Afrique que nous voulons (Agenda 2063)».

Créée en 1895, l’Alliance Coopérative Internationale (ACI) se veut être «la voix des coopératives dans le monde entier». Elle se donne pour mission de «promouvoir le modèle coopératif», au point que, 127 ans après sa création, l’organisation assure dénombrer à ce jour 3 millions de coopératives sur terre, qui «agissent ensemble pour construire un monde meilleur». Celles-ci représenteraient au moins 12% de l’humanité, en tant qu’entreprises motivées par les valeurs et non par la rémunération du capital.

 

 
GR
 

1 Commentaire

  1. NGOMAH dit :

    En l’absence de volonté ou de capacités politiques pour une structuration opérationnelle du secteur éducatif agronomique gabonais ,l’envoi boursier de ses jeunes,qui le souhaitent tant,se former à ces études dans les pays africains prenant au sérieux ces enseignements est l’alternative la plus crédible qui dynamisera l’activité agricole gabonaise moderne. Le tourisme intellectualo-politique sur la problématique agroalimentaire n’y pourra rien.

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