Des experts de la Banque Africaine de développement (BAD), notamment du consortium Str@tec-arc, commis sur appel d’offre, sont depuis une dizaine de jours dans les locaux de la Caisse nationale d’assurance maladie et de garantie sociale (CNAMGS), à Libreville, où ils procèdent à une évaluation des infrastructures, du personnel, ainsi que de tout élément qui concourt à la réalisation de la protection sociale.
En 2011, notamment le 16 août à la veille de la Célébration de la fête de l’indépendance du Gabon, le président Ali Bongo Ondimba avait instruit la Caisse nationale d’assurance maladie et de garantie sociale (CNAMGS) et le gouvernement d’«imaginer les voies et moyens d’instauration d’un système plus humanisé et solidaire pour ces cas de force majeure qui ne laissent personne à l’abri». Un an après, qu’en est-il ?
Les chefs d’établissements, leurs adjoints et le personnel d’encadrement de l’ensemble du territoire national prennent part, depuis le 27 août, à la troisième édition du séminaire multidimensionnel et d’échanges, visant à apporter une valeur ajoutée dans la formation des personnels administratifs et encadreurs d’écoles dans l’administration et la gestion efficiente d’un établissement scolaire.
Depuis quelques semaines, c’est la branle-bas de combat à la mairie de Libreville où Jean-François Ntoutoume Emane organise réunions sur réunions autour des six maires d’arrondissements accompagnés d’experts, pour mieux étudier le projet de l’adressage de la capitale gabonaise.
Une délégation de la Commission Nationale de Lutte contre l’Enrichissement Illicite (CNLCEI), conduite par son président Vincent Lebondo Le-Mali, Magistrat de carrière, se rend dès mardi 28 août 2012, à Vienne (Autriche) où elle prendra part à un groupe de travail sur la récupération des avoirs, les 30 et 31 aout prochains, et à un atelier de formation d’experts retenus pour le suivi de la Convention des Nations Unies contre la corruption les 3 et 4 septembre 2012.
A quelques jours de la fin des vacances scolaires, la Primature a dévoilé, le 22 août sur les antennes de Gabon Télévision, le calendrier de l’année scolaire 2012-2013 avec la rentrée des classes prévue le 17 septembre prochain.
Alors que la nouvelle année scolaire se profile à l’horizon, le temps est aux deuxièmes sessions des cours de vacances organisés dans divers établissements du pays, particulièrement à Libreville où se concentre la population. De quoi retourne-t-il exactement ?
Le Gabon, à l’instar des autres pays du monde, célèbre la journée internationale du souvenir de la traite négrière et de son abolition, en mémoire de l’insurrection de la nuit du 22 au 23 août 1791 débuté à Saint-Domingue (aujourd’hui Haïti et République dominicaine), qui a joué un rôle déterminant dans l’abolition de la traite négrière transatlantique.
Interdits de parution pour six mois, les journaux La Une et Ezombolo ont décidé de ne pas se soumettre à la sanction du Conseil national de la communication (CNC). Ils ont commencé à paraître clandestinement, créant ainsi une zone autonome temporaire, selon la définition d’Hakim Bey, philosophe et père idéologique des hackers.
Intitulée «Nous pouvons éviter le handicap à nos enfants par la vaccination», la vaste campagne de sensibilisation lancée, le 20 août au quartier Lalala de Libreville, par l’Organisation des personnes handicapées (OPH) a pour ambition de barrer la route à l’avancée à la poliomyélite qui continue sa progression sur le territoire national.