SOCIÉTÉ

Contestation Woleu-Ntemoise du dernier projet Olam

Contestation Woleu-Ntemoise du dernier projet Olam

Le projet de 28 000 hectares d’hévéaculture récemment mis en perspective par l’État gabonais et le groupe singapourien Olam, vient d’enregistrer les prémisses de sa controverse dans la province concernée du Woleu-Ntem. Une forte délégation est arrivée pour une discussion avec Olam, arbitrée par l’ONG Brainforest, le jeudi 22 mars dernier à Libreville.

 
 

Adoption de l’adressage des rues et du morcellement foncier à Port-Gentil

Adoption de l’adressage des rues et du morcellement foncier à Port-Gentil

Réunis en session extraordinaire, les conseillers municipaux de la commune de Port-Gentil ont tranché, le 23 mars à la Résidence des hôtes de marques de cette ville, sur les délibérations portant adressage des rues, ruelles et carrefours de Port-Gentil et morcellement des titres fonciers 1304 et 1305.

 
 

Des concours pour l’entrée à l’ENI, l’ENS et l’ENSET

Des concours pour l’entrée à l’ENI, l’ENS et l’ENSET

Dans la perspective de l’organisation très prochaine du concours interne d’entrée aux Écoles normales des instituteurs (ENI), à l’École normale supérieure (ENS) ainsi qu’à l’École normale d’enseignement technique (Enset), le directeur général des Examens et Concours a annoncé aux postulants que les dossiers de candidatures doivent lui parvenir, sous couvert de la hiérarchie en ligne, au plus tard le 31 mars prochain.

 
 

Gabiomed : une ligue pour les scientifiques Gabonais

Gabiomed : une ligue pour les scientifiques Gabonais

Des chercheurs gabonais de la diaspora et du pays, exerçant dans les sciences biologiques, biomédicales et environnementales ont décidé, via la création d’une ONG dénommée «Gabiomed» de mettre leur potentiel au service du développement durable de leur pays.

 
 

‘’Notre cité’’, la nouvelle publication de la mairie de Libreville

‘’Notre cité’’, la nouvelle publication de la mairie de Libreville

Le maire de la commune de Libreville, Jean François Ntoutoume Emane, a présenté récemment en présence d’un parterre d’invités, le premier numéro de ‘’Notre cité’’. Un journal qui ambitionne de faire en sorte que tout le monde se retrouve dans la dynamique municipale.

 
 

Charivari à l’Université Omar Bongo

Charivari à l’Université Omar Bongo

Après une reprise timide des cours le 14 mars dernier, la situation au sein de l’Université Omar Bongo (UOB) a viré au drame avec la prise en otage du recteur et des échauffourées entre les étudiants et les forces de sécurités qui y ont été envoyés pour le maintien de l’ordre. Les enseignants s’y seraient mis eux aussi.

 
 

Des bourses pour le métier du bois

Des bourses pour le métier du bois

Engagé depuis deux ans un ambitieux processus d’industrialisation de la filière bois, le Gabon veut désormais parier sur une compétence locale dans cette filière stratégique. C’est dans ce cadre que le gouvernement vient d’annoncer la mise à disposition de bourses d’étude en ingénierie bois.

 
 

52 millions de francs CFA pour le CTA de Libreville

52 millions de francs CFA pour le CTA de Libreville

Confronté à un grave déficit infrastructurel et matériel, le Centre de traitement ambulatoire a trouvé son salut en l’ambassade du Japon au Gabon. La représentation diplomatique va débourser 52 millions de francs CFA pour l’extension de cette structure sanitaire en charge des personnes atteintes du VIH/sida.

 
 

Le SNEC se rajoute dans le malaise universitaire

Le SNEC se rajoute dans le malaise universitaire

Le secteur éducatif gabonais est en proie à des manifestations surgissant de partout. D’abord les étudiants qui réclament le payement des allocations scolaires, ensuite les enseignants membres du Syndicat national des enseignants et chercheurs (SNEC) qui ont déclenché une grève limitée d’une semaine reconductible.

 
 

Déguerpissement musclé à Mont-Bouët : à qui profite le «crime»?

Déguerpissement musclé à Mont-Bouët : à qui profite le «crime»?

Depuis plus d’un mois maintenant l’on a assisté au déguerpissement des commerçants occupant illégalement le domaine public. Notamment la bretelle menant du feu rouge de La Peyrie au marché Mont-Bouët. Aparavant, il y avait déjà la destruction des édifices construits aux abords des artères de la ville. Aujourd’hui, force est de constater qu’il manque une réelle suite à ces actions. A qui profite donc le «crime» ?