Emmanuel Ona Mezui, gabonais, 30 ans, profession tailleur, a ouvert le feu sur sa compagne, le 10 avril dernier dans le deuxième arrondissement d’Oyem dans le Woleu-Ntem. Il soupçonnait celle-ci d’une relation avec son ex-amant, géniteur de ses deux enfants.
Deux morts ont été enregistrés dans un accident qui s’est produit, le 10 avril, dans la zone de Ndjolé-Bifoun. Les deux dépouilles mortelles n’ont été retrouvées que quelques jours plus tard en début de décomposition.
Le vice-président de l’Assemblée nationale, Daniel Ona Ondo, a dernièrement assigné en justice deux journalistes ayant relayé les aveux des assassins de son adversaire aux législatives de 1996. Le compte-rendu du procès.
De nombreux Gabonais qui avaient fait confiance à un promoteur immobilier bénéficiant de l’onction du ministère de l’Habitat ont perdu leurs placements et se retrouvent sans les maisons promises dans la zone d’Angondjé. Si l’arnaqueur est actuellement aux arrêts, l’impassibilité du ministère de l’Habitat suscite quelques interrogations.
Le tribunal de Libreville, qui siégeait en correctionnel, a renvoyé au 10 mai prochain le procès des commerçants prévenues pour trucage des balances de pesée des denrées et marchandises. Ils ont été en effet pris en flagrant délit, par le procureur de la République, lors d’une descente sur le terrain, le 25 février 2012.
Le phénomène des transes est devenu, depuis quelques mois, un phénomène récurent dans les établissements scolaires de Libreville comme dans ceux de l’intérieur du pays.
Ça commencerait presque à donner l’impression d’une mode nouvelle et déjantée, alors qu’il ne s’agit sans doute qu’un regain d’attention sur des pratiques qui oscillent entre dérapages mentaux et exhibitionnismes rituels. Il n’empêche que les témoignages de scènes ahurissantes mêlant nudité et attitudes stupéfiantes se multiplient à Libreville.
Responsable du parc automobile de la présidence de la République gabonaise, Jean Louis Coulon a été retrouvé mort au volant de sa voiture, le 27 mars dernier. Tout indique qu’il s’agirait d’un assassinat perpétré et mis en scène par des professionnels, depuis son domicile à la cité de la Démocratie.
Un nuage d’abeilles a semé la panique au quartier Sindara de Port-Gentil, le dimanche 25 mars dernier aux environs de midi : des nuées d’abeilles dont les témoins ignorent l’origine, ont attaqué les habitants et les passants.