L’astrophysicien et conseiller spécial du président gabonais, Ali Bongo Ondimba, Cheick Modibo Diarra, également citoyen américain, vient de se voir confier la lourde tâche de conduire le gouvernement transitoire du Mali, un pays en proie aux difficultés politique et sécuritaire.
Les militaires qui ont pris les rênes du pouvoir en Guinée-Bissau après le coup d’État du 12 avril dernier et l’ex-opposition, sont revenus sur leur décision de dissoudre les institutions du pays, à la suite d’un compromis avec la délégation des membres de la Commission de la communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO).
Le Kenya vient de lancer le démarrage des travaux de construction du plus grand projet d’infrastructure jamais réalisé en Afrique de l’Est, d’une valeur de $ 24,5 milliards.
Plus rien ne va dans la zone Ouest africaine, à moins d’un mois du coup d’ État militaire au Mali, le tour est venu à la Guinée Bissau de faire les frais du même acte le 12 avril dernier : se voir géré par un Conseil national de transition dont la durée du mandat et les modalités de gestion restent à définir.
Suite à la déclaration d’Idriss Deby Itno, président du Tchad, sur les antennes de Radio France internationale (RFI), indiquant son soutien à la candidature de l’Afrique du Sud à l’élection du président de la Commission de l’Union Afrique, le ministère gabonais des Affaires étrangères est monté au créneau en vue de soulever quelques interrogations. Le communiqué.
La junte malienne fait face à une pluie de sanctions internationales qui ne lui laissent presque plus de marge de manœuvre. Dans ce trouble, elle convoque à partir de jeudi 5 avril une convention nationale, espérant par ce biais rétablir rapidement l’autorité de l’État, tout en menaçant le président déchu Amadou Toumani Touré (ATT) de poursuites judiciaires. Le point sur la situation et ses conséquences.
Le 22 mars dernier marquait un nouveau contrecoup dans la marche déjà cahoteuse de l’Afrique centrale sur la voie de l’intégration. Il s’agissait de la décision des autorités centrafricaines d’empêcher Antoine Ntsimi, président de la Commission de la Communauté économique et monétaire de l’Afrique centrale (CEMAC) de débarquer à Bangui, siège de cette organisation, de retour d’un voyage officiel.
Le 17 mars dernier, le Béninois Yayi Boni, président en exercice de l’Union africaine (UA), avait convoqué à Cotonou le comité de huit chefs d’Etat chargés de régler la crise à laquelle est confrontée la Commission de l’UA. En marge de cette rencontre, le président béninois et son homologue gabonais Ali Bongo, avaient auparavant exploré des voies de sortie de crise.
De nombreux gabonais ont réagi à l’annonce du résultat de la présidentielle arrivée à terme au Sénégal. A l’instar de l’Alliance pour le changement et la restauration (ACR, Opposition) qui félicite «les acteurs politiques de ce pays frère pour la leçon de démocratie qu’ils viennent de donner à l’Afrique et au monde entier».
Le président sénégalais sortant Abdoulaye Wade a reconnu, le dimanche 25 mars au soir, sa défaite à la présidentielle et a félicité son rival et ex-Premier ministre Macky Sall, a annoncé la télévision publique sénégalaise (RTS). Les résultats provisoires donnent Sall vainqueur avec 67 % des voix.