Le blues du rugbyman gabonais
Visiblement, la Fédération gabonaise de rugby est en pleine tribulations : aire de jeu en litige faute de paiement, adversité et conflit d’égo chez les dirigeants, joueurs en manque d’entrainement et de compétition… Ces derniers ont demandé à Gabonreview de publier la tribune libre ci-après, «afin de nous faire entendre de nos dirigeants qui restent sourds face à nos doléances». La prose d’un rugbyman gabonais en colère.
Mêlée lors d’un match entre la Garde républicaine (à gauche) et le Racing club du Gabon, au stade d’Owendo en octobre 2014. © afp.com/Jean LiouMessieurs les dirigeants de la Fédération gabonaise de rugby (Fegar), on veut jouer, on n’a pas besoin de savoir qui a fait quoi ou pourquoi. A ce jour nous ne savons pas quand va reprendre le championnat. On nous inculque le fait de respecter les règles et règlement qui régissent notre sport. On nous dit de nous taire lorsque l’arbitre prend une décision, que ce sont les valeurs de notre sport. On se doit de les respecter, en dehors et sur le terrain.
Mais que se passe-t-il avec nos dirigeants ? Une cascade de démissionnaires dont certains n’étaient même pas à jour pour ce qui est des cotisations ou des licences. Pourquoi nous a-t-on demandé de respecter les règles et l’adversaire, si eux-mêmes ne les respectent pas ?
Une suspension du terrain d’Erco, terrain traditionnel depuis des années, pour des arriérés de loyer. Que celui qui a pris en charge la location de ce stade paye, comme il l’a toujours fait si il aime le rugby ou alors qu’il dise «je ne payerai plus, je ne veux plus payer». Et, dans ce cas, qu’il parte sans faire de bruit. On le connait on sait comment il est : «Je pars, je reviens et je vous tiens. Faites comme je veux, c’est moi l’argentier ; alors tout le monde au pas cadencé, il ne vous reste qu’à écouter et obéir». Il y a en a marre de ce que la fédération ne fasse rien, trop de respect tue le respect.
La fédération ne doit pas se laisser prendre en otage. Elle se doit de réagir et de sanctionner les personnes qui l’empêchent d’avancer, avec leurs menaces de démission, de retraits de leur argent, etc.
Nous on dit : «stop ! on ne veut plus de vous, monsieur les manipulateurs, les décideurs cachés».
Merci pour ce que vous avez continué à construire. Car avant vous, et vous avez tendance à l’oublier, nombreux ont travaillé pour la création de la fédération de rugby sans que l’on entende parle d’eux. Aujourd’hui, nous disons merci à tous ces anonymes sans qui ce sport aurait pas pu avoir une fédération au Gabon. Si le président et le secrétaire général de la fédération n’actent pas les propositions de démission déjà posées, nous joueurs on trouvera des solutions. On le répète il y en a marre. Car, les président, directeur et fondateur ne doivent pas oublier que sans les joueurs sur une pelouse, ils ne sont rien. Sans les forces vives de ce sport, la fédération ne serait qu’une fédération de président sans joueurs.
Avant l’arrivée de tous ses gens bien-pensants, pleins de promesse (non tenus), on jouait au rugby dans les quartiers, sur des terrains vagues, et lorsque qu’on nous invitait pour jouer sur une pelouse correcte, c’était jour de fête et on prenait du plaisir à jouer, à pratiquer ce sport. Maintenant que cette discipline sportive est soi-disant structurée, on a rien, sauf les conflits d’égo de nos dirigeants et la bataille pour un plateau en bois qui consacre le champion de 6 ou 7 équipes chaque année.
Alors on vous le dit : on veut jouer on veut prendre du plaisir. Merci de nous trouver un terrain.
Des joueurs qui en ont marre de la guerre pour le pouvoir entre le partisans du président d’honneur et ceux des gens élus au sein de la fédération.
3 Commentaires
très belle article,
quel courage de dire c’est vérité félicitations a vous
est la n’est que la face caché de la montagne si les joueurs qui en ont marre continue a creusée. il découvriront surement un enfants cachée dans une caisse noir dissimulée
mais que devient ce noble jeu
des gens malhonnête en quette de pouvoir et de reconnaissance malmené les dirigeant de la FEGAR en les poussant a une démission
mais ou va ton je comprend mieux les mots cachées de ce post
félicitation battée vous contre une prise de pouvoirs illicite de ce décideur cachée continuée a publié vos article qui sont de belle facture
Le ras le bol des joueurs de rugby continue
Nous ne comprenons plus rien.
Ont ce seraient battue pour la création d’une fédération via nos président de club, ceci afin d’avoir un cadre légal, pour pouvoir légiférée sur des statuts est règlement, avoir une certaine stabilité, avoir une identité propre, crée une équipe national reconnue est la plus rien, sauf une anarchie des tous puissants.
Que veulent nos tous puissant, ils voudraient tout cassée pour satisfaire leurs égaux.
Ils viennent de crée un championnat de rugby en parallèle de la fédération supervisée par un collectif des président de club qui ne veulent plus adhérer a la fédération. Bien très bien.
Qu’elle est la légitimité de ce collectif des présidents de club, sont il reconnut par des statuts une association ou une ligue au sein de la fédération.
Enfin on ne va pas faire de polémique on sait très bien qui est derrière ce coup fourrée.
Monsieur le petit doigt sur la couture on vous a déjà demandé de partir, mais vous faite de la résistance.
Grand bien vous fassent, Nous nous sommes la est on vous regard vous ridiculisée, dans vos grand discourt dictatoriale d’avant match.
Très belle était votre éloquence, lorsque devant la presse que vous avez convoquée pour redorer un blason un peu émoussée part notre première lettre ouverte.
envers un entraineur respecté des joueurs et reconnue de tous, qui vous apostrophe pendant votre prise de parole pour vous informer que des joueurs dans tel ou tel équipe ne peuvent jouée ce match de reprise pour un défaut de mutations, la nous ne répéterons pas vos dire pour ne pas choqué nos lecteur, mais votre image de général commandant ses troupes a sa guise été bien visible et perceptible.
Âpres un président de club suspendu sans délais définis pour on ne sait quel raison, que va-t-il devenir de cette entraineurs de club qui a osez vous interrompre pendant un discourt magistrale.
Si l’argent que vous avez reçus et les comptes que vous gérée pour le développement du rugby été aussi claire que sont vos propos nous en serions pas la.
(Mais ceci fera parti d’un autre lettre ouverte peut être).
Revenons sur la reprise des matchs et de l’organisation de ce championnat désigné « Nationale » par le D T N, un D T N soi-dit en passant de nationalité camerounaise, pour quoi pas, mais on sait aussi dans quel état est la fédération camerounais de rugby aujourd’hui. (N’y a-t-il pas des nationaux ayant la capacité de brillé ce poste), autres question est il auto proclamée, ou définie comme tel, par un collectif sans statuts ou une autre entité. La est la question. Car d’âpres notre recherche pour être DTN d’une fédération il faut être désigné en conseil des ministres. Et adhérer au statut de là dite fédérations.
Hors cette désignation n’a pas été trouvé, alors peut on expliqué cette situations.
Pour revenir a ce match Qu’elle belle image de notre sport a donné ce match de reprise gérée par un collectif ???,
6 cartons jaune 3 rouges, des intervenants entrant sur le terrain « le DTN et son acolytes » pour prodigues des conseils a un arbitres, pendant le court de la parties.
La aussi ,nous sommes en droit de nous demandé qu’elle conseil a-t-il reçus puisque le dit arbitre est le plus qualifier au dire de notre doyen, fondateur et légende en attendant un autres qualificatif pour ce désigné.
Nous, nous nommerons ce match de catastrophique et de dangereux pour l’intégrité physique des joueurs, dommage que l’une des deux équipe soit venu faire les gladiateurs afin de faire mal à l’adversaire plutôt que de jouer au ballon il faut punir ce genre de comportement.
Des sanctions vont il être prises envers cette équipe et son président pour non respect de l’étique sportive. ????
Pour un essai il fut marqué de très belle volée monsieur le doyen, il manque cependant la transformation de cette mascarade rugby stiques. Pour parachevée votre œuvres de destructions.
Messieurs les représentants du rugby et messieurs du ministère des sport aidé nous a remettre de l’ordre dans notre sport pour que nos dirigeant reprenaient la main et fassent leurs devoirs sans être pied et poings liées d’un dictateur.
Le collectif des joueurs qui crie leurs ras le bol. Stop ! On ne veut plus de vous, monsieur les manipulateurs, les décideurs cachés.