Blevie Meyia Lucchesi est fortement investie dans l’encadrement des talents en herbe dans le basketball au Gabon. La joueuse a notamment mis sur pied sa fondation « Belle Vie » pour offrir des opportunités aux jeunes passionnés de la balle orange.

A travers sa fondation Belle Vie, Blevie Meyia Lucchesi (photo) est investie dans l’accompagnement des jeunes dans le basket. © cnn.com

 

Pilier de l’équipe nationale de basketball, Blevie Meyia Lucchesi est engagée dans l’encadrement des jeunes pousses. A travers sa fondation « Belle Vie », la joueuse offre des opportunités aux jeunes gabonais de percer dans le basket. «Je veux utiliser mon association pour les éduquer au début parce qu’il leur manque des informations sur le basket-ball international… J’essaie de travailler avec mes anciens entraîneurs aux États-Unis. S’ils peuvent venir ici et leur enseigner» les fondamentaux, a confié Blevie Meyia Lucchesi à koamnewsnow.com.

Passionnée de la balle orange depuis l’adolescence, la joueuse de 25 ans passe énormément de temps au Gabon, pour entraîner et encadrer de jeunes joueurs de basketball en herbe. Avec sa fondation, elle souhaite jouer un rôle majeur dans l’avenir du basket au Gabon. Cette dernière espère également une collaboration franche entre le gouvernement, les associations de basket et les ONG, pour améliorer l’état du jeu dans le pays.

«J’aimerais travailler avec la Fédération gabonaise de basketball pour aider ces enfants (…) Parce que quand je vois des équipes comme le Sénégal, le Nigeria et le Cameroun qui réussissent dans leur organisation, je suis un peu jalouse», a-t-elle souligné.

Blevie Meyia Lucchesi est née à Ndendé, au sud du Gabon, avant de déménager en France à l’âge de six, où elle a joué pour plusieurs clubs locaux avant de rejoindre les États-Unis. Ses talents lui ont valu une bourse complète à l’Université de Bridgeport, dans le Connecticut, où elle a joué pour l’équipe universitaire et a même remporté un prix sportif. Elle a ensuite rejoint l’équipe d’entraîneurs en tant qu’assistante d’un étudiant et a obtenu un diplôme en commerce international à Bridgeport en 2017. Sa passion pour le basket l’a ramenée au Gabon, où elle organise des camps d’entraînement à Libreville, pour enseigner les bases du jeu.

 
GR
 

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