Alors que l’on a célébré 10 octobre dernier dans le monde entier la journée internationale de la Santé mentale sous le thème «la dépression: une crise mondiale» et qu’à cette occasion, Gabonreview s’interrogeait sur ce que le Gabon fait de ses fous, l’un d’eux a brulé une voiture à Oloumi.
Le Président de la République gabonaise, Ali Bongo Ondimba, prend part, du 16 au 17 octobre 2012, aux Journées Européennes du Développement (JED) qui se déroulent à Bruxelles (Belgique). La rencontre est axée sur le thème de la «croissance inclusive et durable».
Alors que la classe politique gabonaise s’était mobilisée pour donner de la voix lors du sommet de l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF) qui s’est tenu du 13 au 14 octobre dernier à Kinshasa (RDC), la lettre adressée au président français, François Hollande n’a pas eu de réponse dédiée. Le chef de l’État français a préféré s’adresser à l’opposition «africaine».
L’histoire se souvient qu’il y a un an, Pierre Mamboundou, fondateur et président de l’Union du peuple Gabonais, UPG, principal parti d’opposition gabonaise créé le 14 juillet 1989 à Paris, a tiré sa révérence. De fort belle manière, ce natif de Ndendé, au sud du Gabon, aura, pendant de nombreuses années, donné du lustre à l’image de l’opposition politique de son pays.
Le Chargé d’affaires de la nonciature apostolique au Gabon, Monseigneur Chibuike Onyeaghala, est monté au créneau le lundi 15 octobre 2012 pour donner suite au communiqué de l’ambassadeur du Vatican près la République gabonaise, le Nonce apostolique, Monseigneur Jan Romeo Pawlowski, qui avait dénoncé l’usage abusif et usurpateur de l’identité d’évêque au Gabon. Pour Monseigneur Chibuike Onyeaghala, il n’y a que cinq évêques au Gabon.
La Commission nationale de lutte contre l’enrichissement illicite (CNLCEI) va déployer dès le lundi 15 octobre 2012, et ce jusqu’au 23 du même mois, des enquêteurs pour vérifier dans les administrations le respect de l’obligation de déclaration de biens des assujettis (autorité politique, autorité administrative, agent public, tout préposé statutaire, ou occasionnel de l’État).
Le porte-parole de la présidence de la République gabonaise, Alain Claude Bilié Bi Nzé, a entretenu, ce jeudi 11 octobre, les médias sur les dernières sorties du chef de l’État, Ali Bongo Ondimba. Il est revenu longuement sur la question de l’introduction de l’anglais dans le système éducatif gabonais, dénonçant au passage «l’acharnement systématique et sans fondement de certains médias français à l’encontre du Gabon à l’occasion de ses choix politiques».
Dans le cadre de la lutte pour la baisse des prix des denrées sur le marché, le président de la République gabonaise, Ali Bongo Ondimba, s’est rendu ce jeudi 11 octobre dans certains centres commerciaux de Libreville, pour voir si les mesures gouvernementales prises en la matière sont mises en application au profit des populations.
Lors d’une conférence de presse internationale, en réseau, avec une douzaine de pays de l’Afrique francophone dans lesquels la Banque mondiale (BM) est en activité, Shanta Devarajan, économiste en chef de la région Afrique pour cette institution internationale, a analysé la situation des économies de l’Afrique subsaharienne.
A l’occasion de la célébration des vingt ans de la Cour constitutionnelle, Marie Madeleine Mborantsuo, président de cette institution, s’est prêtée aux questions du quotidien Gabon Matin. Dans cet entretien, elle revient sur le cheminement de la Haute cour avant de parler de sa volonté de voir la biométrie intégrer le processus électoral au Gabon, et précise qu’elle souhaite la modification du mode de nomination des membres de cette Assemblée.