Année scolaire 2015-2016 : pas de bulletins de fin d’année ?
Les élèves des Lycées et collèges gabonais n’auraient toujours pas reçu leurs bulletins de notes du 3e trimestre de l’année qui s’achève, notamment pour non-paiement du prestataire en charge de leur impression.
L’année scolaire tirant à sa fin, les élèves des lycées et collèges de l’ensemble du territoire national ne seraient toujours pas rentrés en possession de leurs bulletins du troisième trimestre clôturant l’année scolaire 2015-2016. Si jusqu’à ce jour, le ministère de l’Education nationale et de l’Enseignement technique n’a pas encore clairement communiqué sur l’affaire, plusieurs sources affirment déjà que cette situation serait due au non-paiement, par l’État Gabonais, du partenaire ayant développé l’innovant logiciel Xgest. En charge désormais de la gestion de la vie scolaire au Gabon, ce logiciel commande également l’impression des bulletins de notes des élèves du secteur public. N’ayant jusque-là, rien perçu du montant sanctionnant la convention signée avec les autorités gabonaises pour la mise en place de ce logiciel, l’opérateur privé aurait donc décidé de suspendre toutes les prestations envers l’Etat.
Selon une source proche du ministère de l’Education nationale, Florentin Moussavou, le ministre, et son délégué, Janvier Nguema Mboumba, auraient, à ce qu’il semble, fait feu de tout bois, pour essayer d’obtenir de la Direction générale du budget et des finances publiques, le paiement des prestations fournies au sujet des bulletins de notes, notamment dans le cadre de l’innovant programme d’interconnexion XGest. À nce jour, ils n’auraient pas obtenu gain de cause. Chose qui les a amenés à affirmer que le retard de paiement n’incomberait pas à leur ministère. Une situation qui ne devrait pas laisser l’association des parents d’élèves sans réaction dans la mesure où nombreux d’entre eux voudraient savoir la situation scolaire de leurs enfants pour éventuellement à préparer l’année scolaire prochaine.
Auteur : Jean-Thimothé Kanganga
10 Commentaires
Bjr
Posez la question aux émergents a commencer par e sans papiers fixe et sa femme par correspondance(Sylvia)si e meme probleme si le meme probleme s’est posé au prythanee militaire.Ah j’oubliais que labas :vos enfants ont la chance d’etudier dans un environ sans greve.Excusez-moi « je suis foutu,vraiment je suis mort ».
Vous avez dit » egalité des chances » mon œil.Et avec un tel echec sur tous les plans un sans papiers fixes veut se presenter devant les gabonais pour solliciter un second mandat.Meme pas en reve cher compatriote IBUBU gabonais d »adoption.Aout 2016 ne sera pas Aout 2009 avec Sarkozy ton mentor
Nous sommes morts,nous sommes foutus.
Egalité des chances de merde
I am mort de rire!!!
égalité de chances pour les voleurs car eux ils peuvent se permettre d’envoyer leurs enfants dans des écoles hors du pays.
vraiment égalité de chance de m…
Je crois qu’on touche vraiment le fond au Gabon!!!
Pour les pays proprement dit en voix du développement pour un nouveau président, on dira honte a celui qui ne fait mieux que prédécesseur.Mais chez nous au Gabon comme père a été médiocre en 42ans et que l’on sache que tel père tel fils, nous dirons honte a Ali s’il ne fait pas pire que son père. Et voila!!!!
Un peu surpenant tout de même. Comment ça se fait que LTNOB ait à ce jour distribué les bulletins aux parents d’élèves et que cet article nous parle de non remise dans toute étendue du territoire.
Finalement, ce paiement se fait par établissement ou bien ?
Où est passé bili bi nzé à propos de Xgest? Dis que c’est en Jean Ping qui refuse de payer le jeune prestataire Gabonais!
L’égalité de chance que vous chantez à longueur de journée, se serai manifester deja par là. Je suis foutu, je suis mort!
Voila ce qui arrive quand le pays est géré au haut niveau par des étrangers. Voila la conséquence, aucun esprit de patriotisme. Ce qui intéresse ce petit groupe la c’est prendre l’argent du pays. Les pédégistes ont crées un monstre chercher vite un anti-dot pour détruire votre montre nous n’avons plus trop de temps.
C’est l’enfant du pauvre qui paye… pendant que ses parents chantent et dansent au passage d’Ali Bongo dans leur désuétude.
Il y aura égalité quand vos enfants apprendront avec les notre se soigneront avec les notre, feront au moins 50 tours à l’ONE sans trouver de travail, qu’on les narguera dans les hôpitaux publiques avec une carte Cnamgs dans les mains… Mais bon ça n’arrivera pas cher Mr Bongo, vous même n’avez pas connu cela.
Comme c’est curieux. Les commentaires pro-Ali ont curieusement pris du recul.