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Ali Bongo Ondimba sillonne le sud du Gabon
Le président de la République, Ali Bongo Ondimba, poursuit, ce 10 septembre dans le Sud du pays, la série de visites de chantiers entamée le 7 septembre 2012 dans la capitale gabonaise avec l’étape de Glass et du Centre hospitalier universitaire de Libreville (CHUL).
Le président Ali Bongo Ondimba accompagné de quelques membres du gouvernement en tête desquels le Premier ministre, Raymond Ndong Sima, sillonne depuis la matinée de ce 10 septembre 2012 les chantiers lancés dans certaines villes du Sud du pays.
Inspection du réseau routier en chantier et réalisations diverses
«Le Chef de l’État a pu juger de la qualité des travaux menés sur les routes de ces régions, visiter les nouvelles structures médicales à Lambaréné ainsi que la pépinière de palmeraies d’Olam avant d’apprécier le travail lancé sur le tronçon Ndendé-Mouila. Il s’est aussi rendu sur le site de l’Académie militaire de Fougamou. Une nouvelle école des officiers d’active, construite à 65%, qui s’inscrit dans les efforts menés pour renforcer les capacités humaines dans les administrations», précise un communiqué officiel du Cocom, le service de presse de la présidence de la République gabonaise.
«Le président Ali Bongo Ondimba a suivi la route Lambaréné-Mouila. Il s’est ensuite rendu à Ndendé où il a salué le lancement des travaux de terrassement des 75 km qui séparent Ndendé de Mouila. Un projet de 70 milliards de FCFA, mené par une entreprise espagnole qui emploie plus de 100 ouvriers dont plus de la moitié sont gabonais. La route sera livrée en avril 2015. A Ndendé, le Chef de l’Etat s’est aussi vu présenter les travaux de voirie. 5 milliards de FCFA ont été investis pour améliorer les déplacements dans la ville», poursuit le communiqué
Le communiqué du Cocom souligne que «le renforcement du réseau routier dans la province de la Ngounié a été lancé en 2011 pour connecter davantage cette région aux autres provinces du Gabon, notamment l’Ogooué-Lolo et la Nyanga. Ce réseau vise aussi à réaliser une connexion vers le Congo dans le cadre de la route transafricaine (routes Ndendé-Mouila, Ndendé-Doussala, Ndendé-Tchibanga, Mbigou-Popa)».
985 millions de dollars ont été dégagés pour la construction et la rénovation de 601 km de routes. De même un budget de 1,280 milliards de dollars est destiné au démarrage de 803 km de routes. Ce qui portera, à l’horizon 2016, le réseau national de routes bitumées à 3663 km et favorisera 80% du trafic national de biens et de personnes, indique le même communiqué.
Inspection des infrastructures de santé
Au cours de cette visite qui intervient quelques heures après celle des chantiers de Libreville, Ali Bongo Ondimba a pu s’enquérir de l’état d’avancement des travaux inscrits dans le programme de la célébration en janvier 2013 du centenaire d’Albert Schweitzer, prix Nobel de la paix 1952. «Les infrastructures de santé de Lambaréné vont être renforcées grâce à la construction d’un centre hospitalier universitaire. Ce centre hospitalier aura pour missions : l’évaluation des problèmes de santé régionaux, l’amélioration des pratiques de soin, le développement de nouvelles technologies pouvant bénéficier aux populations et la formation d’un personnel compétent et qualifié. Il sera aussi le premier CHU africain en zone rurale qui plus est, un CHU international, puisqu’il s’agit d’une coopération entre l’Hôpital Albert Schweitzer, l’Hôpital régional de Lambaréné et l’Université de Tübingen», indique le Cocom.
Infrastructures de production électrique et infrastructures agricoles
Le réseau d’installations visant l’électrification de l’axe Mouila-Fougamou-Lambaréné figurait également sur le chemin de l’inspection présidentielle. Ali Bongo Ondimba et sa délégation n’ont cependant pas fait d’arrêt sur le site du barrage en construction sur les chutes de l’Impératrice Eugénie, sur le fleuve Ngounié. Une infrastructure technologique destinée à produire 70 MW et au sujet de laquelle le Cocom, tout en tenant compte des autres projets, notamment du Gand Poubara, souligne que «l’objectif est de couvrir les besoins croissants du pays et de développer les activités socio-économiques dans les régions. Le gouvernement gabonais s’est fixé l’ambition de porter sa capacité de production énergétique à plus de 1200 MW en 2016 contre 390 MW aujourd’hui».
Le président n’a pas manqué, par contre, de marquer une halte à 15 km de Mouila, où se trouve la pépinière de palmiers de la multinationale Olam qui envisage de réaliser «50 000 hectares de palmeraies pour une production annuelle de 280 000 tonnes d’huile de palme qui devrait générer 700 emplois directs et 21 000 emplois indirects.» De même, il s’est «rendu sur le site d’une ferme agropastorale à Lébamba, l’un des 6 sites choisis pour développer la production de volailles et de légumes au Gabon. Ces fermes assurent la production d’aliments de base à bas prix sur le territoire gabonais.»
Tout au long de ce périple, le Chef de l’État a pu rencontrer les populations. «Les habitants ont rendu hommage aux efforts menés dans le pays pour l’amélioration globale des conditions de vie», relate le Cocom. Le président Ali Bongo «lancera aussi d’autres nouveaux chantiers», a indiqué le site gabonactu.com, citant une bonne source.
20 Commentaires
pas de « Conférence Nationale »! on attend 2016 pour juger mr ALI BONGO au terme de son mandat. qu’en deplaise ses detracteurs peut importe comment il a été elu. néamoins il a un programme d’action.
@Nababy. Du vent… Vous faites dans la méthode Coué…… Quel plan d’action ? Celui qui fait en sorte que le gabon soit géré sans loi de finances ? Celui qui fait en sorte que trois années durant la cour des comptes rejette les rapports financiers ? Montrez-nous dans votre plan d’action où est inscrit la course de bateaux ? Montrze-nous dans votre plan d’action où est inscrit le New York forum ? Vous confondez gesticulation, affairisme et action…. Vous êtes dans le mélange des genre permanent. Et le mélange des genres c’est ce que Blaise Pascal nommait « le ridicule ». heureusement qu’il ne tue plus…
@ nababy
Tu es atteint du syndrome de Stockholm.
Le syndrome de Stockholm désigne la propension des otages partageant longtemps la vie de leurs geôliers à développer une empathie, voire une sympathie, ou une contagion émotionnelle avec ces derniers.
Pour les jeunes,de ma génération. Donc moi en particulier,le président Ali bongo ondimba. Est sur le point de montré au monde entier,que l’émergence du Gabon n’est pas que discours.les actes posées,par lui font la fierté de tous les gabonais. Laisser nous avancés,pour juger il n’est pas l’heure . Svp Mr le président concentré sur les projets de tous les gabonais.pour l’avenir en confiance.
@ ofiga annicet guynoel
Que la presidence face un sondage democratique pour verifier la cote d’ALI Bongo par rapport aux 3 ans qu’il a pris le pouvoir.
mr ben ne rassure plus le peuple nmbreux cmme moi l’on remarqué. ns avons l’impression qu’il a peur de cette cns. ces visites j’en suis sur n’était pas au programme c’est parcequ’il voit que sa cote de popularité a largement baissé. meme snt entourage,croyez ou pas doute de lui.
De grâce soyons honnêtes, même si on n’aime pas l’autre, il faut reconnaitre ce qu’il fait de bien. Ces routes ne sont pas dans son village, ce sont des milliers de gabonais qui en profitent et en profiterons pendant des décennies;la critique stérile vous fait perdre la raison
@ manondzo
Il fait le minimum pour faire semblant, on connait bien le PDG.
C’est comme a la veille des elections on pose les 1eres pierres on contruit des routes qui durent le temps d’une election.
Mon cher MANONDZO, piano piano comme disent les italiens doucement doucement. Attention à ce que vous écrivez. Je vis dans le H.O et je peux vous rassurer que les routes chez lui sont nickeles. Tenez, les axes Franceville-Leconi, en passant par Bongoville(chez lui hic!) sont BIEN GOUDRONNES. Ensuite, les axes Franceville-Akieni, en passant par Ngouoni sont BIEN GOUDRONNES. Et enfin, les axes Francevile-Moanda-Mounana sont BIEN GOUDRONNES. A ce jour, il ne reste que les axes Franceville-Okondja(jamais débuté) et l’axe Moanda-Bakumba (travaux débutés)
Alors votre assertion selon laquelle » ces routes ne sont pas chez lui » est complètement ridicule. Oui ce sont des milliers de gabonais qui en profitent et en profiteront d’avantage si tout était fait dans les règles de l’art et alors? Pourquoi ne va-t-il pas contrôler l’axe Ndjolé-Lalara, Bifoun-Kango, Okondja-Makokou,Koulamoutou-Mouila, Lopé-Alembé ou bien le chemin de fer qui est complètement pourri?
C’est pas au PR de la république de visiter les chantiers. Que fait son PM ou l’ANGT?
C’est la peur mon frère, la peur car l’opposition à organiser un forum au sud du bled et lui de s’empresser à vouloir faire augmenter sa côte de popularité dans cette partie du Gabon. L’avenir nous en diras plus lorsque l’opposition organisera un autre ressemblement.
Entre temps, portez vous bien…
@ Le fils du pays
Meme s’il nous offre le paradis, nous ne voulons pas d’ALI et du PDG
Apres un coup d’etat electoral ALI est consient que sa Rédemption et du PDG pense par des actes concrets porteurs de croissances pour tous les gabonains, mais « Le bien n’efface pas le mal » proverbe Gabonais.
Peut importe comment il a été élu? Alors on a compris!
@Boukoubi maixent(le vieux maixent)! par simple esprit partisan tu passe a coté de l’essentiel!et tu fais dans la langue de bois! tes « gens » qui sont allez au Forum de Mouila par voie terrestre on vu la qualité des travaux routier effectué!et je t’affirme que tout les projets en cours sont inscrits dans la lois de finances! encore tu te deroute en parlant de la course des bateaux ou le New York Forum Africa!penses tu que ce sont des projets? ne confond pas les choses! ici ont parle de la visite des chantiers « physique et concret » et pas de politique qui se fait uniquement a la « bouche ». meme si des carences existes dans leur realisation,il ya des projets. Mr Boukoubi, ces projets tu pourra les realisés quand tu sera president!!
@ nababy
C’est le devoir d’un chef d’etat, il le doit aux gabonais. Nous tiendrons compte lors du proces sur la gestion des revenus du Gabon.
@ nababy ,
Sans la pression de l’opposition ALI ne ferait rien, c’est pour cela qu’il faut une reelle democratie pour que le Gabon se developpe. L’opposition c’est la critique constructive, elle permet au pouvoir en place d’evaluer sa gestion, sa performence, c’est un element cle pour le gouvernement or au Gabon on assimile l’opposition a des rebelles ou des insurges qui veulent prendre le pouvoir par la force.Un pays se construit avec toutes les forces vives du pays.
@Nababy. Dites-mopi quand est-ce que le budget 2012 a été mis en place ? Je vous annonce qu’une loi de finances rectificative est en préparation alors que la loi initiale n’a jamais été exécutée…. Vous parlez des routes ? Mais, êtes-vous si naïfs que ça ? Comment Entraco, l’entreprise familiale fera pour vivre si on ne fabrique pas des parchés publics taillés sur mesure et échappant à tout contrôle et à toute règle de passation des marchés ? Savez-vous que Ndong Sima vient de bloquer 80 contrats passés de gré à gré, au mépris de toutes les règles ? Vous rêvez cher ami. Un Etat se gère avec des règles claires et vérifiables par tous. pas de l’improvisation et l’opacité…. Le reste ? De l’affairisme et de la gesticulation qui semblent vous convenir si bien….
Y en a qui causent, y en a qui bossent, ainsi va le Gabon d’aujourd’hui…
@ Le Fils Du Pays
Mon frère tu perds ton temps en éssayant de mettre sur les rails les trains foirés. En effet, lorsque les raisonnements de certains deviennent trop prismatique à tel enseigne qu’ils refusent toute logique et toute norme, il faut simplement prendre distance. Ainsi donc, tu aurais séparé le bon grain de l’ivraie. On n’ y enseigne pas le bon sens, au dire de Réné Descartes : « c’est la chose la mieux partagée….». Si seulement, en simple petite observation de notre espace quotidien, ces gens pouvaient s’y lancer, ils comprendraient que le monde est dualiste. Et, qu’il doit y avoir un « équilibrum » de forces pour maintenir la balance. C’est d’ailleurs sur cette logique qu’est basée la théorie de relativité de Albert Einstein ; autrement dit, au moindre déséquilibre s’en suit la catastrophe. Cette realité fait poutant notre repas quotidien, il y a le jour et la nuit, l’homme et la femme ,le bon et le maivais, le pôle nord et le pôle sud ,l’Est et l’Ouest… pour maintenir cette balance. Même dans nos réations, nous agissons soi pour des raisons de respect, soi pour y apporter de la lumière, soi pou y mettre de l’ordre… tout ça dans le seul but, celui de trouver l’équilibre ou la paix. Ainsi dont, il nous revient de nous poser cette problèmatique : ne serait-il pas normal, pour les gens qui ont volé les sous du GABON, qui sont devenus multimillardaires sur son dos et qui le dirige depuis pratiquement un demi-siècle, d’être dans les obligations de le bâtir et le dévélopper pour trouver l’équilibre? Hélas ! les « émergents » aux visions staliniennes et fascistes manquent suffisamment de clairvoyance pour comprendre cette loi divine que DIEU a usé pour maintenir l’équilibre dans l’univers, et pourtant, étant cré en son image, nous devons faire usage de cette loi dans nos proportions humaines.
Les partisans de la critique stérile font preuve de ridicule! Pour certains d’entre eux, je me demande s’ils vivent au Gabon, ou s’ils suivent l’action gouvernementale en cours au Gabon. Beaucoup ne connaisse pas ou ignore les véritables avancées enregistrées en 3 ans au Gabon. Mais je vous comprend, ne vous inquiétez pas! Vous êtes nostalgiques d’un passé encore ressent durant lequel on parlait plus qu’on agissait! Comment MBA OBAME durant son discours du meeting râté au siège de l’ex UN peut dire » On casse les maisons des gens et on veut transformer le Gabon comme DUBAÎ » et il pose la question « Est-ce que les gabonais ont vraiment besoin de ça? » quelques idiots répondent « noon »! Ah bon?, le Gabon n’a pas besoin de développement? le Gabon n’a pas besoin de routes, d’hôpitaux, d’écoles…
Donc leur objectif est de continuer la politique politicienne qui fait que c’est « quelques amis qui se partagent le gâteau au détriment du peuple » eh ben si c’est le cas je vous répond que je suis contre cette conception tropicale de la gestion des affaires publique!! On est où là, on veut avancer ou reculer?…pauvre Gabon…certain n’ont pas encore compris que tu as changé et sont nostalgiques….Éveille toi GABON, une aurore se lève!!
Je réagis personnellement à propos des travaux de bitumage de la route Mouila/Ndéndé d’une distance de 75 Km, et dont le coût annoncé est de 70 milliards de Francs CFA. Alors vous voulez faire avaler à l’opinion nationale gabonaise que le coût de revient au Km est de 933,333 millions, alors que que le coût moyen au Km ne dépasse pas 400 millions. Voulez-vous alors nous parler d’une autoroute de 4X4 voies, avec des garde-fous et signalisation de sécurisation aux standards internationaux? Ou alors, il y a encore de la surfacturation derrière? De toute les façons, nous allons enquêter sur ce chantier. Qui vivra verra…