«Akya» : L’histoire d’une rencontre entre le Gabon et l’Auvergne
Un an après son passage à «The Voice» sur TF1, la gabonaise Fabienne Della-Moniqua a récemment initié une tournée à travers la France en vue de promouvoir son premier album.
Après son passage remarqué à l’émission de télé-crochet «The Voice», sur TF1 en 2014, Fabienne Della-Moniqua entreprend depuis janvier 2015 un tour à travers la France dans l’objectif de promouvoir son tout premier album intitulé «Nonga», dont la plupart des morceaux est interprétée en dialecte Myéné et en anglais. Avec son compagnon Yvan Bultez, un musicien aux multiples facettes, la chanteuse d’origine gabonaise qui est arrivée en France en 2000, a fait le parti de former un duo dénommé «Akya», dont la principale influence est la pop world. «Il y a un petit peu toutes mes influences dans ma musique, c’est vraiment un mélange plein de couleurs», a confié au site de FranceTV la jeune femme, ancienne élève du conservatoire régional de Clermont-Ferrand.
Au sujet de l’usage fréquent du dialecte gabonais dans ses chansons, Fabienne Della-Moniqua a expliqué : «Moi, je chante en Myéné (parce que) ça vient plus facilement (et) ça correspond à l’univers d’Akya, très soul et très calme.» Le duo a annoncé son prochain concert pour le vendredi 6 mars 2015 à L’auditorium de Brasac les Mines, avant le retour à la Maison de la culture de Clermont-Ferrand le 2 avril 2015.
1 Commentaire
« …l’usage fréquent du dialecte gabonais… » ???!!! si c’est le MYENE que vous appelez dialecte,alors dites-moi de quelle langue il serait une variété ? le MYENE est une langue à part entière! tout comme l’espagnol,l’anglais,le fang ou le bambara.pourquoi ce reflexe de dire systématiquement « dialecte » dès qu’on parle d’une langue africaine? ou « case » quand on désigne une habitation en afrique?comme dire « brousse » quand on parle de l’arrière pays en afrique.nous on parlerait des dialectes et des patois et c’est des occidentaux qui parleraient des langues? même en ville on vivrait tous dans des cases alors? le mythe du bon sauvage quand tu nous tient… c’est insultant !