Pressée par le président de la République d’améliorer les conditions de vie des populations, en résolvant notamment la question de l’insalubrité dans la totalité des grandes villes du pays, la Première ministre a lancé jeudi 5 novembre les travaux de la commission interministérielle dédiée à la cause, qui sont censés aboutir à une meilleure gestion des ordures ménagères au Gabon.   

Rose Christiane Ossouka Raponda (milieu), lors de la réunion du 5 novembre 2020, à la Primature. © Facebook/R.C. Ossouka

 

Confrontée au phénomène de l’insalubrité dans la totalité des grandes villes du pays, Rose Christiane Ossouka Raponda a réuni jeudi dans son cabinet plusieurs ministres, dont celui de l’Intérieur et celui en charge de la Décentralisation, ainsi que les maires des communes de Libreville d’Owendo, d’Akanda et de Ntoum. Cette réunion qui intervenait après la visite d’Ali Bongo dans certains quartiers de Libreville la veille était essentiellement axée sur le phénomène d’insalubrité courant dans la totalité des grandes localités du pays. Mise sous pression par le président de la République, la Première ministre souhaite trouver une solution plus ou moins définitive à cette problématique devenue une question de santé publique.

«Le chef de l’État a rappelé son exigence d’améliorer les conditions de vie quotidienne des populations partout au Gabon. Je conduirai en conséquence, et avec détermination, l’action gouvernementale», a assuré sur sa page Facebook la cheffe du gouvernement, qui a décidé de mettre en place une commission interministérielle exclusivement dédiée à cette question. L’objectif de cette commission, précise Rose Christiane Ossouka Raponda, est de «mobiliser tous les moyens et les énergies nécessaires afin de garantir la propreté et la salubrité dans les différentes localités du Gabon».

Placés sous la conduite du ministre d’État Lambert-Noël Matha (Intérieur), les travaux de cette commission à laquelle prend également part le Haut-commissaire à l’environnement et au cadre de vie devraient débuter lundi 9 novembre pour aboutir à un plan directeur à soumettre à la Première ministre dans les prochains jours, précise ce vendredi 6 novembre le quotidien L’Union.

 
GR
 

5 Commentaires

  1. Serge Makaya dit :

    Pressé par ke président CACA défunt Ali Bongo ? Mais Ossouka Raponda, dis-lui de rendre d’abord les milliards qu’il a détourné, et tu feras du bon boulot. Même depuis l’enfer où il se trouve actuellement, il continue à nous emmerder. A Ntare Nzame !! Ça te faire FOUTRE ALI BONGO. Reste dans HADES avec tes démons. Pitié !!

  2. Serge Makaya dit :

    Octobre 2018 – Octobre 2020: 2 ans déjà que BOA est MORT. Et on continue à nous faire croire qu’il est vivant. Et 2023 pointe à l’horizon. A Ntare Nzame !!

    • Serge Makaya dit :

      Le QUAI D’ORSAY et le roitelet du Maroc veulent à tout prix nous faire croire que BOA est vivant. C’est bien. Mais nous, gabonais d’aujourd’hui, sommes des cartésiens. Aussi, nous vous demandons juste qu’il fasse une conférence de presse d’au moins une heure pour dissiper nos doutes. Et tout rentrera dans l’ordre.

      Mais je pense que vous ne le ferez pas car il est déjà en état de décomposition très avancé depuis plus de deux ans maintenant. Pauvre BOA. A Ntare Nzame !!!

  3. SERGE MAKAYA dit :

    Pauvre Rose Christiane Ossouka Raponda ! Ne vous arrive t-il pas de penser que Sylvia-Bongo JOUE avec vous comme une marionnette ? A Ntare Nzame !!!

  4. blemz dit :

    On nous parle de « grandes villes » du Gabon…
    Combien a-t-on de « grandes villes » dans notre village???

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