Direction générale des Impôts : Gabin Otha-Ndoumba installé
Nommé lors du Conseil des ministres du 2 octobre, Gabin Otha-Ndoumba a été installé dans ses fonctions de directeur général des Impôts le 7 octobre, par le secrétaire général du ministère de l’Economie et de la relance. Remplaçant à ce poste François Auguste Akomezogho, le promu appelle ses collaborateurs à cultiver « l’éthique et l’esthétique du métier fiscal ».
Après sa nomination lors du Conseil des ministres du 2 octobre dernier, le nouveau directeur général des Impôts a été installé le 7 octobre par le secrétaire général du ministère de l’Economie et de la relance, Edith Ekiri Mounombi épouse Oyouomi. Gabin Otha-Ndoumba qui remplace à ce poste François Auguste Akomezogho, promet de se mettre à la tâche. «L’heure n’est point au discours. Chacun sait combien notre administration a toujours été importante», a-t-il dit à ses collaborateurs. Pour lui, l’atteinte des objectifs de la direction générale des Impôts (DGI) ne pourra se faire que si les agents de cette administration donnent chaque jour le meilleur d’eux.
«Cela suppose que chacun à son niveau d’implication observe rigoureusement les principes que sont l’assiduité, la ponctualité, la courtoisie envers les collègues et les contribuables, l’honnêteté, le devoir de réserve», a-t-il exhorté. «En un mot, l’éthique et l’esthétique du métier fiscal», a-t-il conclu. Décrit par son prédécesseur comme un «travailleur acharné», Gabin Otha-Ndoumba, a rappelé le secrétaire général du ministère de l’Economie et la relance, devra dans le cadre de la politique de relance du pays s’appuyer sur «la ressource humaine», pour l’atteinte des objectifs fixés. A juste titre, Edith Ekiri Mounombi l’a invité à la «prendre en compte, pour mener à bien cette nouvelle responsabilité confiée par le chef de l’État».
Rendant hommage à François Auguste Akomezogho, désormais conseiller technique au ministère des Transports, de l’équipement, des infrastructures et de l’habitat, Edith Ekiri Mounombi qui a loué son «esprit d’équipe», a estimé que son «expertise n’est plus à démontrer», au regard de son apport au sein de l’administration fiscale.
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