Le ministre de l’Éducation nationale, Patrick Moughiama-Daouda, a renvoyé sine die la Journée nationale de l’Enseignant, en raison de la pandémie du coronavirus. L’édition de cette année avait pour thème la «violence en milieu scolaire».

Le Covid-19 a dissuadé le ministre de l’Education nationale à renvoyer sine die la journée nationale de l’enseignant. © D.R.

 

Prévue ce 23 mars, sous le thème «la violence en milieu scolaire», la Journée nationale de l’Enseignant a été renvoyée sine die par le ministre de l’Éducation nationale, Patrick Moughiama-Daouda, en raison de la pandémie du coronavirus.

Célébrée le 23 mars de chaque année, à travers des conférences-débats, marches des syndicats de l’éducation nationale et autres activités d’ordre pédagogique, cette journée avait été instituée en 1992 en hommage à Martine Oulabou. Enseignante et syndicaliste, Martine Oulabou était tombée le 23 mars 1992 à Libreville, à la suite d’une intervention policière lors d’une marche syndicale menée avec plusieurs de ses collègues pour réclamer les meilleures conditions de travail.

 
GR
 

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