Prochaines étapes pour Assala Gabon

Les voyants sont au vert pour Assala Gabon, qui a réalisé une belle année 2019. Cette année-là, la société pétrolière a notamment dépensé plus 182,560 milliards de francs CFA auprès d’entreprises gabonaises, avec des contrats signés directement avec 309 entreprises locales. Une tendance qu’Assala souhaite poursuivre en 2020.

Assala veut faire aussi bien en 2020 qu’en 2019, où elle a notamment dépensé plus 182,560 milliards de francs CFA auprès d’entreprises gabonaises. © Assala Gabon

Communiqué

Port-Gentil, Gabon – aujourd’hui, Assala Gabon a publié les chiffres-clef de ses résultats 2019 en termes de contenu local. Cette société du secteur de l’énergie a dépensé plus de 182,560 milliards XAF (soit 310 millions USD) auprès d’entreprises gabonaises, avec des contrats signés directement avec 309 entreprises locales. Assala Gabon en 2019, c’est aussi 500 emplois directs, plus de 1 000 indirects, 35 stages ONE par l’intermédiaire de l’Office National de l’Emploi et 13 stages techniques pour les étudiants universitaires.

«Il s’agit de réinvestir et cette tendance se poursuit en 2020. Nous avons la chance d’être soutenus par des investisseurs qui croient en ce projet et qui sont pleinement engagés dans son succès à long terme. Le changement n’est jamais facile, mais nous sommes à un moment charnière dans la transformation de cette entreprise en une société qui a un véritable avenir à long terme», a déclaré Jean-Yves Grall, directeur d’Assala Gabon, à Gabon Review.

En 2017, Assala a repris des activités de production pétrolière qui ne disposaient pas de plateformes de forage et qui faisaient face à une production en baisse, soutenue surtout par des équipements anciens et peu performants, et dont le programme de maintenance accusait du retard. Plus de deux ans plus tard, il y a cinq plateformes de forage en place, la production est en hausse et l’entreprise a signé quatre renouvellements de permis de production d’une durée de 25 ans ainsi que trois nouveaux permis d’exploration.

«Notre histoire est positive, mais nous avons de nombreux défis à relever. Notre personnel et d’autres intervenants gèrent un nombre considérable de changements en s’adaptant aux engagements d’Assala en matière de meilleures pratiques issues des normes nationales et internationales, que ce soit dans les domaines de la sécurité, de la protection de l’environnement, des contrôles financiers ou de notre comportement professionnel en général. Mais tout cela nous renforce, afin qu’ensemble nous puissions nous adapter aux facteurs externes, comme par exemple le prix du pétrole qui est en dehors de notre contrôle», a expliqué Jean-Yves Grall.

Assala publiera en mars sa brochure présentant ses résultats 2019.