Dans le cadre de sa politique de responsabilité sociétale, le groupe Bolloré Gabon a offert, le 13 juillet, 500 moustiquaires imprégnées aux populations d’Akébé 2, dans le troisième arrondissement de Libreville.

Des employées de Bolloré sur le terrain, le 13 juillet 2019, à Libreville. © Gabonreview

 

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Le Groupe Bolloré Gabon s’est engagé aux côtés du Programme national lutte contre le paludisme (PNLP) pour combattre cette maladie. Placée sous le thème «Zéro palu Bolloré s’engage», cette initiative consiste à distribuer des moustiquaires imprégnées de longue durée  aux ménages et à les sensibiliser sur le mode d’emploi de ce précieux filet de protection et sur les risques liés au paludisme.

Le 13 juillet, les équipes conjointes du PNLP et de Bolloré ont distribué 500 moustiquaires imprégnées aux populations d’Akébé 2, dans le troisième arrondissement de Libreville. Vivant dans des zones enclavées ces populations sont, selon le PNLP, les plus exposées à cette maladie.

L’action du Groupe Bolloré Gabon s’inscrit dans la continuité des activités de la journée mondiale de lutte contre le paludisme, célébrée en avril dernier. À travers cette action, la société «veut contribuer dans le cadre sa responsabilité sociétale, au plan national de développement, d’assainissement des villes  et d’amélioration des conditions de vies des populations gabonaises», a expliqué Roselyne Toung, responsable relations sociétales de l’entreprise à Bolloré.

Les responsables du PNLP n’ont pas manqué d’exprimer leur satisfaction. Grâce à ce don, plusieurs ménages seront protégés contre les vecteurs du paludisme, cette maladie «devenue un danger public», a déclaré Diane Andy Igouwé, technicienne supérieure de santé exerçant au PNLP. Avant Akébé 2, cette entreprise avait distribué des moustiquaires imprégnées aux populations de Nzeng-Ayong, dans le 6e arrondissement de Libreville.

 
GR
 

1 Commentaire

  1. moundounga dit :

    Bjr. je suis franchement désolé d’apprendre que cette société n’a distribuée que 500 moustiquaires et cela dans un seul quartier de LBV. Seigneur BOLLORE c’est pas une SARL que je sache, ces actions devraient équivaloir à celle d’un gouvernement c à d dire la construction des hôpitaux, dispensaires et autres ou la fourniture a haute échelle de médicaments. Et puis statistiquement lorsque l’on distribue un produit a caractère préventif on tient compte de la prévalence de cette maladie sur la population. Manifestement cela n’a pas été le cas. Le PNLP est interpellé à ce niveau. Sur le lieu de distribution là aussi AKEBE 2 n’est pas le quartier ou la prévalence est la plus accrue en terme de palu a LBV. Enfin selon moi il fallait diviser ces 500 moustiquaires selon un échantillon représentatif d’au moins 1/4 de chaque population de chaque quartier, surtout la population des enfants de 0 à 5 ans ou les femmes enceintes. Amen.

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