Ali Bongo Ondimba à la tête de la Cemac
Le Gabon assurera la présidence tournante de la Commission économique et monétaire de l’Afrique centrale (Cemac) par le biais de son chef d’État, Ali Bongo Ondimba, qui a été porté à la tête de cette institution sous régionale par ses pairs à l’issue de la rencontre de Brazzaville.
Ouvert le 24 juillet 2012 dans un contexte de «renaissance de la Communauté» comme l’a indiqué le président de sortant de la Cemac, le président Dénis Sassou N’Guesso du Congo, à l’ouverture des travaux, le 11e sommet des chefs d’État de la Cemac s’est achevé vingt quatre heures plus tard sous un nouveau visage devant faciliter l’intégration de cette partie du continent, en retard par rapport à ce qui se fait chez les autres.
Les dossiers soumis à l’examen des chefs d’État ont tous été abordés, notamment, l’adoption du rapport d’étape du Programme des réformes institutionnelles (PRI) dans son intégralité ; la question de la sécurisation du financement de la communauté par la Taxe communautaire d’intégration (TCl) ; et les dossiers communautaires, à savoir celui relatif à la compagnie de transport aérien Air Cemac, de l’évolution de la mise en circulation des passeports Cemac biométriques, et de l’exécution du Programme économique régional (Per).
Compte tenu de son principe de rotation, la présidence de la Cemac a été dévolue au président gabonais, Ali Bongo Ondimba qui, l’assurera avec la volonté de ses pairs de le voir initier des réformes afin que les actions de l’institution ne soient pas que des projets mais finissent par être des réalisations concrètes et porteuses d’espoir pour la communauté tout entière.
«La conférence a réaffirmé le principe de rotation intégrale aux postes de dirigeants des institutions communautaires avec effet immédiat. Elle a décidé, toutefois, que le pays qui abrite le siège d’une institution communautaire ne peut prétendre occuper le poste de premier responsable de cette-ci. En outre, elle a décidé du principe d’un mandat unique non renouvelable», indique le communiqué final de la rencontre de Brazzaville.
Le nouveau président en exercice devra par ailleurs s’atteler durant son mandat, à amener les États à poursuivre les efforts déployés pour la finalisation de leur programme économique régional (PER) adopté en 2010. Lequel est destiné à faire de la sous-région un espace économique intégré et émergent où règnent la sécurité, la solidarité et la bonne gouvernance.
La 12e session ordinaire de la conférence des chefs d’État de la Cemac dont la date reste à déterminer se tiendra à Libreville. Cette institution a été créée en 1994 sur les cendres de l’UDEAC. Six chefs d’État ont pris part aux travaux de Brazzaville : François Bozizé de la Centrafrique, Obiang Guéma de la Guinée Équatoriale, Idriss Deby Itno du Tchad, Paul Biya du Cameroun, Ali Bongo du Gabon et Denis Sassou N’Guesso du Congo.
0 Commentaires
Ce n’est pas une victoire diplomatique. Comme à la tontine,c’était simplement le tour du Gabon. Et l’Union vient nous faire une pleine page avec ça. « Porté par ses pairs », cette phrase de l’Union qui fausse tout est même reprise par Gabonreview. Ça ne pouvait être que le tour du Gabon, faut pas nous laisser croire que le petit dernier laissé par Bongo 1 a le respect de ses caciques de voisins. Ils s’en fichent tous, mais font avec lui malgré eux.
So what ? It dones’t seem to be funny in GABON, actually nothing is working as Ali Bongo and its government pretend it. For instance, the entire economical engine is paralized so is the political system deep in fiasco. Ali Bongo sticks around with conning staff to play its joker cart, which is already known as a BUSTER LIAR in BLING BLING univers.
This guy in Ali Bongo name firmly refuses to develop GABON and take care of issues of the population, most of these problems regard standard of living, while Gabon appears to be an oil country and has within other significant raw materials including manganese, uranium, iron, timber etc…Gabon has actually only about 1,6 millions people, but the money is spent for trivial matters and stupidities. Also part of that money is stolen by Ali Bongo regime.
Speaking to trips, Ali Bongo is the champion, so why the hell would he have to show his face on every corner of the planet ? And why Ali Bongo seems to be cheerful everytime he travels to meet other famous actors outside GABON ? Some people would say that this meeting was important perhaps necessary as it talked about CEMAC. Ladies and gentlemen, yes is my answer but, the bottom line is that Ali Bongo is in his make, a « party boy ». However, it does’t and will not cause any problem to Bongo to keep it up, he has done it since 2009. This has become his behavior and the only thing he has done as A LOOSER and A JOKE.
Gabonreview devrait arrêter de publier ce type, ce farfelu, qui a pourtant récemment écrit en Francais sur ce même forum. A moins que vous soyez un site bilingue et dans ce cas donnez-nous le lien ou le bouton pour accéder à votre version anglaise. On n’imagine pas liberation.fr publier ce type de réaction. Ce n’est pas parce que l’anglais est devenu la 1ère langue d’échange qu’il faut laisser des emmerdeurs, qui lisent bien le Francais, venir polluer le site avec leurs farce de frimer. Pour commenter 1 article écrit en Francais, il fait l’avoir lu en Francais et une réaction, c’est aussi un partage avec les autres lecteurs. Avec qui ce type qui se croit malin partage-t-il? Encore un étudiant qui n’a rien compris à ce qu’est un forum.
Pour votre gouverne Gabonreview, la constitution du Gabon spécifie bien que la langue de travail au Gabon c’est le Francais.
Antchouet le Maboul a raison. Ce type qui a récemment dit ici qu’il sera président du Gabon est un farfelu. Ça doit être un étudiant trop content de pouvoir enfin écrire en Anglais. Faut pas le publier parce qu’au fond il se masturbe et ne partage avec personne. La démocratie c’est pas l’insularité, c’est être avec les autres, partager, discuter, se chamailler même, mais dans le respect des règles et la règle ici c’est que le Francais est constitutionnellement la langue de travail du Gabon, celle que doivent utiliser les Gabonais pour commercer entre eux.
N’importe quoi
La CEMAC est en danger !!!! Ce type va créer l’agence sous-régionale de la monnaie, puis l’agence sous régionale de la finance puis l’agance sous régionale de je ne sais quoi…. Comme toujours, il va croire que c’est un nouveau jouet. heuresement que cette fonction est purement honorofique et n’a rien d’opérationnel. Deby est président de la CEEAC, plus large que la CEMAC, mais cela n’en fait nullement un grand. Donc, sachez raison garder chers émergents
je crois qu’ils sont fous ces dirigeants de la CEMAC.Ali BONGO n’a rien à faire dans son pays pour s’embrouiller encore avec ce machin de la CEMAC.Les gabonais ont déjà du mal à manger car leur président ne partage pas ou ne sait pas le faire ce n’est pas les populations des pays membres de ce machin qui verront les retombées.Mais quel critère a permis son élection car si c’est au niveau national c’est nul.
Gabao.kool
27 JUILLET 2012 À 11 H 46 MIN
Mais c’est comment!!!
Tu veux impressionner qui avec ton anglais?
Tu n’as pas appris a écrire l’anglais, même pas honte.
Tu dois certainement avoir docteur google en poche,
mais tu devrais prendre des cours afin de vérifier avant d’envoyer ton commentaire.
Tu ne vois pas que c’est très mal traduit!!!
Inspire toi de ton Président qui lui a un anglais +20, ce n’est pas ton cas mon parent.
C’est triste.