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Jean Ping regagne Libreville ce mercredi
L’ancien président de la Commission de l’Union africaine (UA), le Gabonais Jean Ping, était attendu à Libreville, le mercredi 25 juillet, selon une source du ministère des Affaires étrangères.
Après sa défaite face à son adversaire sud-africaine, l’ancienne ministre des Affaires étrangères, Dlamini-Zuma, le 15 juillet dernier au 4e tour de scrutin dit de «tous les espoirs» selon les observateurs politiques africains, l’ancien président de la Commission de cette institution panafricaine, le Gabonais Jean Ping a regagné Libreville ce 25 juillet où il devrait rester une douzaine de jours avant de repartir à Addis-Abeba clôturer son rapatriement matériel.
«L’ancien président de la commission de l’UA aurait dû batailler fort pour assurer sa réélection car avec la nouvelle politique du président Ali Bongo Ondimba, il n’aura aucune place dans l’équipe gouvernementale de son pays, encore moins à la tête de l’une des institutions du pays. A moins qu’on lui crée un poste, car rien n’est impossible pour les dirigeants de notre pays», a commenté le journaliste gabonais Arnaud Tchombo de La Nouvelle République en réaction à l’annonce du retour de Jean Ping.
Selon le site Internet Infosplusgabon, Jean Ping devrait être sollicité pour d’autres missions tout aussi “palpitantes” que celle qu’il a eue à conduire en Éthiopie durant son mandat à la tête de la commission de l’UA. Une perspective qui vient taire les mauvaises langues qui prédisaient déjà une retraite précipitée pour le diplomate et ancien membre du gouvernement gabonais de l’ère Omar Bongo Ondimba.
La défaite de Jean Ping le 15 juillet dernier a permis deux choses pour l’institution panafricaine, notamment, avoir son nouveau président de commission et de comprendre la situation de division entre les dirigeants des États membres de cette maison de l’Afrique. Toutes choses qui expliqueraient l’échec de l’institution dans la résolution de certains conflits sur le continent à l’exemple de la Côte-d’Ivoire, de la Libye et aujourd’hui de la RDC, du Mali pour ne citer que ces cas de figure.
9 Commentaires
Qu’il vienne soutenire ALI Bongo dans la mauvaise gestion du Pays.
on parle d’union africaine alors que c’est une institution où il ya des clans partisans. Dommage pour notre chère Afrique!
Qu’il vienne cirer les pompes de son beau-frère comme il a commencé à le faire en 2009 quand il s’est tu alors qu’on massacrait ses parents à Port-Gentil et comme il l’a si bien fait pour son beau-père. Cirer les pompes ? là au moins personne ne peut lui dénier une compétence inégalable
Pour bon nombre d’observateur de la vie politique internationale africaine et éprise des valeurs de solidarité, et de bonne gouvernance. la défaite du président Jean Ping était prévisible dans la mesure ou sur la 50 des pays qui constituent l’UA le lobbying anglophone été plus puissant que le lobbying francophone.
Il faut savoir les données ont changé car les anciens acteurs qui ont permis l’éléction du candidat Gabonais au leadership de cette instution n’etant plus sur la seine politique africaine, il ne faillait pas s’attendre a un miracle car les choses étaient déjà faite avec la candidature de l’Afrique du sud qui comme nous le savon est sur le continent le leader sur tout les plans.
Je pense que le Président Jean Ping donc le bilan a la tete de l’UA n’est pas aussi négatif que l’on pense.
Monsiuer Ping est un Diplomate de haut rang, et il a un carnet d’adresse qui va etre utile pour l’Afrique mais aussi pour notre pays.Je pense que c’est un grand cadre africain que les UN aurons besoin de son expérience dans la prise des grandes décisions futures pour l’Afrique et le monde.
En somme, le president Jean Ping a encore des beaux jours devant lui.
Monsieur le président félicitation et courage
Qu’est-ce que le Gabon a gagné avec PING ?
PING est simplement un membre du PDG qui travaille pour le PDG et non pour le Gabon.Il y a eu des meutres à POG Ping n’a rien dit parce qu’il soutient ALI.
c’est un grand diplomate, avec une longue carrière, qu’il vienne se reposer tranquillement dans son pays qu’il a servi et représenté au niveau internationl,comme il l’a si bien à « Pluriel »
Il faut avoir l’honnêteté de reconnaître que M. Ping ne pouvait pas gagner cette élection. Ce n’est pas une question de lobbies. Tout cela est parti du Gabon. il pesait trop lourd dans la balance et de nombreuses personnalités pensaient le déstabiliser sans savoir qu’il deviendrait encombrant pour eux tous. Souvenez-vous des articles d’une certaine presse gabonaise. notamment les médias de certaines personnes qui sont à la présidence de la République.
C’est cela qui a mis le feu au poudre et les autres diplomates ne dorment pas. ils relaient les infos dans leur pays. Ils suivent les mouvement dans le pays plus que nous, c’est à partir de là que PING avait échoué. Je crois que lui même, il le savait.
Mais comme le pouvoir est comme l’opium, au lieu de se désister, il a tenu à foncer tête basse alors qu’il voyait bien le mur de l’hypocrisie. C’est là d’ailleurs que les hommes politiques gabonais n’ont pas de tact. Il aurait même démissionner et laisser ce poste.
maintenant qu’il est au « chômage », vous aller voir qu’il va venir au pays chercher à générer un autre petit pouvoir. Or, il gagnerait simplement à se reposer et à faire valoir son expérience comme les américains et les anglais dans les universités. Mais vous le verrez malheureusement faire le pitre dans un poste qui n’a ni de fonds ni de respectabilité.
C’est ça notre Gabon, on ne sait pas abandonner lorsque ça nous abandonne.
Qui ne risque rien n’a rien et le fait de refuser de risquer ,c’est dejà risquer. levons nous et disons non à la poliques itulitariste. le Cercle de Reflexion des Jeunes Leaders est ouvert pour toi qui a un mot à dire..02.44.63.62
Jean Ping n’a aucune vision politique pour le GABON. Une opposition qui critique sans apporter des proposition concrète n’est là que pour distraire le peuple .. Les Gabonais sont des personnes réfléchies et savent faire le bon choix..
Laissons les divisions et ensemble bâtissons notre beau pays. Passer des années à contester au TROCADERO à Paris ne changera pas le GABON. Unissons nous pour un GABON fort..
Jean Francis ATSASSAGA