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Mort soudaine du président Ghanéen John Atta Mills
Le président John Atta Mills, qui dirigeait le Ghana depuis 2009, est mort brusquement le mardi 24 juillet à 68 ans. Ce décès ouvre une période d’intérim jusqu’à la présidentielle prévue en décembre dans ce pays présenté comme un exemple de démocratie en Afrique de l’Ouest. 
Le président Ghanéen, John Atta Mills, est décédé, le mardi 24 juillet, à l’âge de 68 ans. L’information a été confirmée par l’Agence officielle d’information du Ghana, citant un communiqué de la présidence de ce pays.
Selon le communiqué le président est décédé d’une «mort soudaine et prématurée», quelques heures après être tombé malade et emmené dans un hôpital militaire de la capitale, Accra. La nature de sa maladie n’a pas été précisée. Mais des sources concordantes indiquent que John Atta Mills souffrait d’un cancer de la gorge qui a dégénéré ces derniers mois. L’un de ses assistants a confié que le chef de l’État s’est plaint de douleurs dans la soirée du lundi 23 juillet.
Le mois dernier, en effet, Atta Mills était aux États-Unis pour un «check-up médical de routine», selon l’expression officielle. Surtout qu’avant ce voyage, au cours duquel il a également rencontré le président américain Barack Obama, il avait rejeté les rumeurs concernant son état de santé.
Professeur d’université spécialisé en fiscalité, John Atta Mills dirige le Ghana depuis Janvier 2009, après avoir remporté l’élection présidentielle de 2008. Auparavant il a servi comme vice-président du Ghana de 1996 à 2000. Il a été candidat à la présidence à trois reprises : en 2000, 2004 et 2008. En tant que président, Atta Mills a supervisé le début de la production pétrolière dans son pays.
Il avait l’intention de briguer un second mandat en Décembre. Selon la constitution du Ghana le vice-président John Dramani Mahama devrait prêter serment en tant que remplaçant du président décédé.
4 Commentaires
Voici un bel exemple de démocratie,le vice président John Dramani Mahama a preté serment dans les heures qui ont suivi le décès du président sans qu’il n’y est des troubles ou remu-menage dans le pays:pure respect de la constitution,mais pour nous là?Enfin vraiment!!!
je crois que il ne faut pas confondre les choses, la constitution de ce pays dans ce cas est tres différente de la notre.
il ne faut pas aussi confondre les choses et les pays. le Ghana et le Gabon en matiere de Democratie c’est le jour et la nuit.Dans ce pays on ne decide pas de blaguer avec la loi fondamantale.Le Ghana je crois bien est l’un des pays en Afrique noire qui a connue son indepence vers les années 58-9. Pour finir il faut aussi tenir compte de leur passé,c’est tres important dans l’analyse de cette transition que c’est un pays qui a souffaire avec plusieur coup d’etat. Donc je crois que c’est pas le cas du notre.
Nous osons esperer que apres le déces du Prf Att Mills que le pays continu de rester dans pays et la stabilités politique, économique; etc…
Que Dieu preserve ce pays.
2 faits remarquables: 1-Atta-Mills est mort dans un hôpital ghanéen; 2-dans sa succession, aucune considération familiale.
Oh le Gabon, pauvre Gabon!
ton 2 eme point est discutable.
je crois que il faut definir d’adord le terme familial.
L’actuel president Ghaneen est de la meme famille politique de le feu.Donc frere il faut bien faire la difference dans tes appréciations des faits. Merci et bonne journée.