Cyclisme : Les organisateurs de la Tropicale à l’UCI
Une délégation conduite par le coordonnateur général de la Tropicale a été reçue par le président de l’Union cycliste internationale (UCI), le 8 novembre à Aigle, en Suisse. Une rencontre au cours de laquelle le patron de l’organisation mondiale s’est engagé à participer dans l’évolution de l’épreuve cycliste gabonaise.
La délégation de la Tropicale conduite par Benjamin Burlot (à gauche) autour de David Lappartient (centre), le 8 novembre 2018 à Aigle, en Suisse. © D.R.
Les organisateurs de la Tropicale Amissa Bongo ont été reçus au siège de l’Union cycliste internationale (UCI), le 8 novembre à Aigle (Suisse). Composée de Benjamin Burlot (coordonnateur général de la Tropicale), Sosthène Ndong (conseiller du ministre des Sports), Igor Simard (administrateur général du FNDS) et Philippe Crépel (directeur sportif de la Tropicale), la délégation a été reçue par David Lappartient (président de l’UCI) et Frédéric Magné (directeur général du centre mondial du cyclisme).
Cette rencontre a permis de situer l’importance de l’épreuve la plus réputée du continent africain sur l’échiquier du calendrier mondial. La course cycliste a toujours été un événement précurseur depuis sa création en 2006, permettant ainsi pour la première fois dans l’histoire du cyclisme des confrontations directes entre les équipes professionnelles de premier niveau et les meilleures sélections africaines.
A l’aube de sa 14e édition, en 2019, «la Tropicale peut se vanter d’avoir créé des vocations sur l’ensemble du continent africain, d’avoir permis l’émergence de talents qui ont trouvé place dans les plus grandes structures professionnelles du World Tour, et d’avoir offert au cyclisme africain une véritable crédibilité sportive», ont soutenu les organisateurs de cette épreuve sportive.
Conscient de cet enjeu, David Lappartient a confirmé le rôle majeur de la Tropicale Amissa Bongo. Dans ce sens, les réformes du cyclisme professionnel lancées par la nouvelle équipe dirigeante de l’UCI devraient permettre à la Tropicale de se bonifier. Ces réformes vont lui permettre de trouver «une place encore plus visible et plus conséquente dans une classification supérieure, susceptible d’attirer les plus grandes équipes», ont souligné les organisateurs de la Tropicale.
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