Il découvre que sa femme… est aussi sa sœur
Cette histoire invraisemblable relayée par le quotidien L’union, se passe à Port-Gentil où deux jeunes gens, ayant vécu une histoire d’amour couronnée d’une progéniture, ont décidé de s’unir devant Dieu et devant les hommes. Ils étaient frère et sœur.
Après des années de concubinage, ce jeune couple qui réside à Libreville a décidé de s’unir définitivement. Les deux tourtereaux qui ont eu plusieurs enfants et ne voulaient rien laisser au hasard, se sont rendus à Port-Gentil où réside le père de la femme afin que l’homme puisse demander la main de celle-ci et la bénédiction de son beau-père.
Arrivés dans la ville pétrolière, ils se sont directement transportés chez le père de la jeune femme. Au terme des salutations et autres civilités d’usage, une réunion a été convoquée avec quelques personnes au domicile du père de la femme, un vieil enseignant à la retraite, âgé de 79 ans.
L’enthousiasme des retrouvailles était de mise tant que la jeune femme racontait sa vie avec son concubin, pour enfin aboutir à l’objet de leur visite. Invité à se présenter, le fiancé s’est résolu à décliner sa généalogie, au terme de quoi, le père de la fiancée a baissé la tête, abattu. L’année et le lieu de naissance du prétendant au mariage mais aussi le nom de la mère du jeune homme, l’ont interloqué durant un bon moment, plongeant de ce fait toute la maisonnée dans le silence.
Le vieillard finira par se relever timidement pour reconnaitre qu’il avait eu un fils durant l’année de naissance de celui qui était devant lui, d’une femme du nom indiqué. Il avait été affecté dans une autre région du pays pour accomplir son service, alors que l’enfant n’avait que six mois. Et, dans cette nouvelle province d’affectation, il a eu, avec une autre femme, la jeune femme venue lui présenter son fiancé qui, du coup, s’avérait être son frère.
Un long silence va encore alourdir l’air avant qu’un autre sage présent à cette réunion ne prenne la parole pour aplanir ou dissiper le choc. Son intervention se résumera à indiquer que les temps ont changé, les choses ont évolué tout comme les coutumes ne sont plus si exigeantes. Pour lui, ces jeunes avaient vécu ensemble depuis longtemps. Ils avaient déjà eu des enfants, tout cela ignorant leur fratrie. On ne pouvait donc pas leur refuser de s’unir.
Reste à savoir ce qu’en dira la loi qui interdit l’inceste sans exceptions notables… si elle décide de s’intéresser à ce dilemme.
21 Commentaires
Mais ce qui est fait est fait. C’est la faute du pere en tout cas. voici encore une preuve d’irresponsabilite qui vient faire couler beaucoup d’encre et de salive. lorsqu’on prend la responsabilite de monter une femme en vue de faire un ou des enfants, alors il faut assumer jusqu’au bout. Ce n’est pas le premier de ce genre! Laissez les enfants convoler tel qu’ils l’ont planifie.
Ahem! vous jugez un peu trop vite et il n’existe aucun mode d’emploi dans la vie. Le père et la Mère sont aussi responsable l’un que l’autre
Situation très délicate en effet, car ici, il serait tout de suite plus intéressant d’aller au delà des questions triviales du type « Doivent-ils poursuivre leur relation » ? ou encore « la loi doit-elle sévir si les deux jeunes gens maintenaient leur idylle, malgré l’annonce de leur lien de parenté » ?
A mon humble avis, la loi dans son infinie sagesse se gardera bien de fourrer son nez dans cette affaire, n’y ayant pas été invitée par le biais d’une plainte ou d’une dénonciation.
En effet, coller un verdict à ce délicat dilemme conduirait à échaffauder une jurisprudence aux contours fragiles, en admettant toutefois que le lien génétique du viel homme et des deux jeunes soit établi scientifiquement et méthodiquement.
A pareille échelle de publication et de médiatisation, cette histoire de grande portée est une grande première. Il y a eu bien sûr des cas de parenté au deuxième, ou au troisième degré entre cousins issus d’une même généalogie, mais les cas de monopaternité ne se vivent pas tous les jours.
Par ailleurs, en l’absence de cette preuve génétique scientifique, il serait tout à fait facile à l’opinion populaire frileuse d’idées reçues, d’arguer que seules les mères des deux enfants connaissent le ou les véritable(s) père(s).. Alors, ce monsieur n’aurait plus que deux probabilités sur quatre d’être le père géniteur et les enfants auraient la même probabilité de ne pas être issus de cet homme, donc de ne pas être du tout parentés.
Il faut noter au delà de cette boutade, des préoccupations plus alarmantes dans la mesure où la parentée des deux jeunes gens est avérée et que le mariage est accordé sans considération de barrières. Deux ordres de difficultés surviennent ici :
– D’abord un problème identitaire de position et de participation.
Le père et sa famille interviendraient et se présenteraient comme pères de qui et beau-père de qui, de la fille ou du garçon ? Difficile, voire impossible de choisir sans léser des consciences.
– Ensuite, malgré l’amour que se vouent ces jeunes, l’impact psychologique de cette annonce brutale de parenté va déterminer la nature de leurs sentiments, de leur affect et de leur comportement. Vont-ils alors vivre éternellement avec l’insouciance et la dévalorisation de ce lien, sinon qu’en serait-ils de leur union de leurs enfants sils finissaient par mettre en avant ce lein de parenté ? That is a mystery, so wait and see. Entre temps, peace and love.
Mais vraiment n’importe quoi agne,lol vous avez aligné juste des mots pour faire bien.Je suis morte de rire par vos commentaires.Vous êtes trop fort.Vous êtes un vrai gaboma!
J’ai manqué de terminer mon commentaire par la proposition suivante : S’il n’est établi qu’une parenté de fait sans investigations scientifiques, seules les familles maternelles des deux jeunes peuvent célébrer un éventuel mariage, auquel la famille paternelle (gardant une position neutre et même effacée)ne prendrait pas part. Par ailleurs la célébration de ce mariage devrait pour préserver les convenances, conduire à la rupture des deux enfants avec la famille paternelle.
Autre scénario, si le garçon a grandi depuis sa petite enfance auprès d’un homme qui est passé à ses yeux comme son père et si celui-ci est toujours en vie et garde ce lien avec le jeune homme, on peut léguer à ce père là le droit d’aller demander la main de la fille à la famille maternelle de celle-ci.
Seulement, en cas de test d’ADN en faveur de la monopaternité, la relation entre les deux jeunes gens serait à classer irremédiablement comme une relation incestueuse dès la publication du lien de parenté.
Restera au couple seul, d’organiser et de planifier l’éducation des enfants de sorte qu’ils ne vivent pas de traumatisme face à la consanguinité de leurs parents.
Escusez moi d’intervenir,mais votre anaylse est débile,dans cette histoire je ne vois pas de polémique qui emmène à diserter autant.Les gabonais vous aimez employer des grands termes pour ne rien dire.Pardon parler le français simple.
Où sont les grands termes la dedans. C’est vous autres là qui cachez les choses aux enfants. Looooooooooooooooool.
mais AGNE au moins a fait des suggestions mais vous vous ne faites que critiqué sans proposé c’est moche. vous êtes une gabonaise de l’ancien temps nous avons besoin des gens comme AGNE pour faire des propositions qui pourront faire avancés le pays et non des gens qui ne font que critiqués sans faire de propositions. changez de comportement et réfléchissez un tout petit peu. bonne chance
A qui incombe la faute Le père ou les enfants ?
1) D’une part au père car n’ayant pas cherché à savoir le devenir de ses enfants bien que naturels. IL s’est contenté de ceux de la maison car estimant pour lui qu’ils étaient plus importants que ceux du dehors ce qui est faux car les statistiques ont démontré que ceux abandonnés réussissent socialement contrairement aux soit disant légitimes que l’on pouponne pour ne rien donner de ce que l’on attendait d’eux après maintes efforts et sacrifices. Moi qui vous parle, j’en suis un cas patent de ces rejetons car je suis un médecin. J’ai été élevé par mes oncles maternelles et ma grand mère paix à son âme. Aujourd’hui mon fameux père revendique sa paternité. Face à cet inconnu quelle serait votre réaction. Rien que du rejet et un dégout total pour cet individu. Je me rappelle bien car témoin oculaire lorsque NTOUTOUME EMANE renvoya son géniteur qui était venu lui gratifier de cadeaux quand il fut nommé 1 er Ministre. IL lui posa la question suivante: Qui es tu ? ce dernier répondit: ton père. Réplique: Ah bon ? mon père est décédé il y a quelques années car faisant allusion à son oncle maternel. Sans ménagement, il lui botta les fesses car l’ayant considéré comme un imposteur. A vous les parents bordels comme des chiens rassemblez vos bâtards afin qu’ils se reconnaissent afin d’éviter des enfants incestueux. En tant que médecin, les tares chez ces derniers se développent très vite contrairement à un couple n’ayant aucun lien de consanguinité
2) D’autre part, aux enfants que remarquons nous? une rencontre d’une virée nocturne et hop c’est la position canapé et le lendemain c’est ma femme ou mon mari. Bon sang, pourquoi y a t il une telle déperdition dans notre pays de nos traditions, de nos us et coutumes. Quoi l’argent ? Peu importe de quel groupe ethnique auquel vous appartenez.. La première chose quand deux individus se rencontrent s’est d’abord s’identifier pour tisser une amitié. Raison pour laquelle autrefois les fiançailles chez les Fangs tardaient soit 2 ou 3 ans avant d’aller à la mairie. Cette procédure consistait au couple à mieux se connaitre en un mot une enquête de moralité chez les deux partenaires. A cause de l’argent, deux jeunes de même ethnie bien que de villages différents s’accouplent. Un ESSANGUI d’OYEM ne peut pas contracter un mariage avec une ESSANGUI de Mongomo chose impossible car ils sont frère et soeur bien que de pays différents. Je vous encourage dans cette voie et le GABON ne sera peuplé que de mongol, de débiles mentaux. Vive l’émergence avec sa destruction de nos valeurs morales.
Mon frere tu semble oublié que ces dernier ont plusieurs enfants et veulent s’unir. Ce n’est pas de la faute des enfants ça c’esst sur du perer surment aurais t’il dur cherche à s’occuper de son fils ou même à le voir.
Bref c’est juste l’irresposabilité de la mere et du pere du pretandant epoux.
Je pense qu’il faut faire un test ADN pour confirmer si les deux tourtereaux sont bien consanguins. On sait bien comment les choses se passent chez nous pour ce qui est de l’attribution d’un enfant a un pere. Il arrive que la femme elle meme ne sache pas qui est le veritable pere de son enfant. Si le test ADN confirme le lien de sang, cela deviendrait de l’inceste et ce mariage doit etre annule au nom de la moralite et pour des raisons medicales. Je n’arrive pas a comprendre que certains ici encouragent a une union entre ces deux etres malgre s’il est avere qu’ils soient freres. Imaginez les tares qui vont naitre du fruit de 7 union. Les enfants peuvent paraitre normals, mais vous allez voir des signes de debilites et autres tares se manifester dans leur vie. Si par contre ils n’ont aucuns lien de parente, qu’ils s’unissent alors devant Dieux et les hommes.
Et comment on a su qu’ils étaient frères ? Parce que je me méfie de la presse gabonaise. L’Union a mis la photo d’un serpent à 3 têtes alors que cette histoire s’est passé en Indonésie. Nos journaleux ont trop d’imagination pour remplir les pages.
c est histoire sont fréquentes au GABON on ne peut en vouloir a ces individus du moment ou le père a fuit ces responsabilité sil prenait au moins les nouvelles de cette enfant il aurait su son cheminement. et aurait éviter ce scandale
Le vin est tiré, il faut le boire. Cette situation n’est pas une nouveauté au Gabon.Les deux enfants doivent arrêter la relation amoureuse.Pourquoi condamner le père qui allait d’une affectation à une autre.Souvent, les femmes gardent silence et attribuent la paternité à un autre homme pour des raisons économiques, c’est un secret de polichinelle. Le père a reconnu l’existence des 2. Dans quelles circonstances sont nés les enfants? Personne n’a de réponse, on aura beau spéculer, tout est mystère. ça n’arrive pas qu’aux autres…Regardons devant…
Ce genre de scenario est d’actualité chez nous…
Le fait ou devrais je dire le pire est déjà commis,mais pour ma part y’a bien trop des questions sans reponses dans cette histoire..
Voici ce qui me fait appel dans cet article « Après des années de concubinage…..Les deux tourtereaux(…)ont eu plusieurs enfants » Alors je me demande à cette suite….Le mari n’avait il jamais dit sa genéalogie à sa femme?…..La femme n’était elle pas au courant du nom de sa belle mere?(ce qui je crois devais arriver au oreilles de son pere)…les enfants n’allaient ils pas ou ne parlaient ils pas de leur grd parents paternels?….la mere du mari n’a t-ellle jamais raconté l’histoire de sa naissance à son fils?
Trop de question……
Dure réalité que celle que vie ce couple.Aujourdhui cè le couple,demain un autre. »l’enfer c’est les autres ».Je pense et j’estime que face à une telle depravation des moeurs involontaire,il serait bien de se mettre à la place du couple.Le vin est certe tiré,faut il forcement le boir jusqu’à la lie?Je pense que non,car il n’est pas interdit de se troùmper,mais de persister dans l’erreur.à bon entendeur,salut!
Laissez les se marier! Si pendant toutes ses années vous n’avez pas pu arreter cette relation, ce n’est pas aujourd’hui que ca s’arretera. Les enfants sont nes,est ce qu’ils ont des anomalies? Pourquoi en auraient ils quand les parents seront maries? S’il fallait qu’ils en aient ca devait se produire depuis la naissance du 1er enfant. Les deux se sont aimes pendant tant d’annes,ont eu des enfants et vous croyez que pour vos beaux yeux ils vont arreter leur relation?! Même s’ils ne se marient pas,ils continueront leur relation peut etre même avec un autre enfant a l’appui alors ca aura servi a quoi d’empecher leur union?! Laissez les donc s’unir et continuer tranquillement leur cheminement!
je pense qu’il faut faire un test d’ADN avant tout. au moins on sera situé. si le test s’avère positif alors je pense que la loi ne pourra pas les mariés. devrons dans ce cas envisagé une rupture et planifié l’éducation des enfants.
[…] GabonReview […]
Tchouooooooooooo
Sens vous mentir, moi je dit que le tore est au deux jeunes amoureux et à leurs parent. s’ils étaient intelligent(e) il devraient mieux faire de connaitre chacun d’eux les parents avent de sa aventurier a avoir même des enfants. Vraiment c’est décevable pour nos familles qui vivent dans la malédiction. En gros terme je dirais qu’ils sont mot die les deux famille. Mais d’une par c’est pas aussi la faute aux amoureux .