Ali Bongo en Chine : Des honneurs et des accords

Au deuxième jour de sa visite d’Etat en Chine, le président de la République a été honoré par son homologue Xi Jinping au cours d’une cérémonie formelle au Grand Palais du peuple de Pékin, à la faveur de laquelle plusieurs accords liant le Gabon à la deuxième puissance économique du monde ont été signés. Ci-après, le retour de la Direction de la communication présidentielle.
Sous de hauts plafonds ornés de feuilles de lotus, une salle miroitante de ses marbres et balisée par des tapis rouges en lacis, a fourni le cadre d’un protocole d’accueil exceptionnel, à la hauteur d’une amitié née il y a quarante-deux ans. Hymnes nationaux, revue des troupes, aubade colorée d’une centaine d’écoliers : les deux chefs d’Etat pouvaient se retirer pour le traditionnel tête-à-tête précédant la signature d’une série d’accords.
Fruits du patient travail des diplomaties gabonaise et chinoise, ces textes témoignent de la densité renforcée de la relation : ce coup d’accélérateur souhaité par Ali Bongo Ondimba apparaît également comme un signe affirmé de confiance et de foi en l’avenir de la part de la Chine. Ainsi d’un accord de coopération économique et technique en vue de la réalisation du projet de réfection de l’Assemblée nationale, d’un accord relatif au projet de conception et de construction d’une voie de contournement de l’aéroport international de Libreville et enfin d’un protocole d’exécution triennal et multisectoriel destiné à porter plus avant l’accord de coopération culturelle signé en 1984.
Avant qu’un banquet d’Etat ne réunisse les deux délégations, les chefs d’Etat ont réaffirmé leur intention de promouvoir le dialogue et l’enrichissement mutuel entre les cultures, d’approfondir et d’élargir davantage les échanges économiques selon le principe du développement partagé, et d’encourager les investissements dans les infrastructures durables. Désormais, la relation gabono-chinoise s’inscrira dans le cadre d’un «partenariat de coopération globale».
Auteur : La Direction de la communication présidentielle

0 Commentaires
Bluf bluf
Hé oui!un partenaire ne cherche que son argent pas plus,et quand tu partira il feras la même chose avec le nouveau président,alors ce n’est que de l’usage diplomatique entre deux pays,diplomatie égale hypocrisie
Ce n’est pas parce qu’on aura changer de partenaire que l’on va forcement reussir. Le tout part d’abord de notre serieux. Ali Bongo etant un usurpateur, tocard, incompetent, ce partenariat avec la Chine ne profiter qu’a la Chine et non au Gabon ce qui donnera comme resultat une augmentation du barometre du rejet de la gouvernance d’Ali Bongo par la tres large majorité des gabonais. On ne peut pas construire un pays en comptant seulement sur l’apport intellectual et financier de l’exterieur.
Reconnaissance internationale
tout à fait surtout par un vice-ministre à l’accueil, mais bon le mendiant voleur ne peut pas être exigeant en +.
Reconnu par d’autre pays dictatoriaux c’est top
Ce n’est pas avec la France aussi qu’on va construire le Gabon sinon on en sera pas là,80% du pétrole Gabonais revient à Total《 la France 》que 20% pour le Gabon ALI l’a ramené à 40% voilà pourquoi la France voulait son départ avec certains complices Gabonais.
Total est devenue une entreprise privée mondiale, qui ne paie pratiquement plus d’impôts en France, il n’y a plus que le nom qui est Français. Son Excellence Ali Bongo est un Grand Homme clairvoyant et je lui souhaite beaucoup de réussites avec la Chine qui est une très Grande Puissance mondiale, la planète compte 7 500 000 000 habitants, la Chine 1 500 000 000 soit 20% de la population mondiale. La Chine investit partout dans le monde, les Chinois travaillent énormément, se contentent de très peu pour vivre, et ils ne sont pas plus malheureux qu’ailleurs malgré certaines traditions ancestrales que nous ne comprenons pas
« Sous de hauts plafonds ornés de feuilles de lotus, une salle miroitante de ses marbres et balisée par des tapis rouges en lacis,… »
Boouoh ! !
Et on voit qui est le vrai president du Gabon. Jean Ping l’Echoue du 27 Aout 2016 reste le president des reseaux sociaux, des qu’il sort de Facebook et compagnie, il redevient un citoyen normal qui voyage en vol regulier, sort comme tous les passagers par la sortie passagers est accueilli comme Fally Ipupa ou un pasteur par ses fans ou ses fideles genant les autres passagers. La realite est dure a acceptee, mais elle est la, implacable.
C est dommage que tu ne sois ebloui que par des effets d’ annonce.
On a beau voyager dans la monde entire, vendre du vent, recevoir des intentions…si a la fin y a rien de concret, il n ya a aucune raison de rentrer en transe mon tres Cher Lepositif.
Can Mal organise
greve partout
Enseignement pas de rentree comme il faut
etc…etc…etc…La liste est trop longue
okoss, rendez vous a l’evidence, les effets d’annonces c’est votre Echoue du 27 Aout 2016 et vous ses affides qui les faites. Ooooh ABO ne voyage plus oooooh!!! Ooooh il a peur de voyager oooh!!!
1-Sommet des Chefs d’Etat de la Francophonie a Madagascar ABO est la, c’est le temps de voyager en tant President du Gabon.
2- 1ere visite d’Etat du president reelu, c’est le temps d’aller en Chine et etre recu avec tous les honneurs qui vont avec: avion officiel, aeroport officiel, honneurs militaires et tapis rouge, etc. quand le l’Echoue lui, prend Air France en passant par le salon VIP de l’aeroport de Libreville (que n’importe qui peux acceder en payant seulement 12000 Frs CFA) et atterri a Charles de Gaullle et non au Bourget (aeroport officiel ) et sort par la porte « mououki’ que tous les passagers empruntent et est accaclame comme un artiste ou comme un pasteur… l’evidence est la. On sait qui est le president du Gabon.
Moi je dis OUI il est fort parcourir autant de kms pour aller prendre juste la poisse et revenir oui il est PR……dans vos rêves mais c’est encore rien More 2 come…..
Bigbily ne nous dit pas qu’elles sont ses sources d’information. Donc il ment. La France obtient tout ce qu’elle veut du pouvoir de Libreville.
Tant que le France n’a pas parlé, Libreville spécule. La Chine c’est pour demander à Paris de parler. Et la c’est bien réfléchi, un point un trait.
On est fait président exclusivement par son propre pays et non par un pays tiers.Les parades hors d’un pays d’une équipe tyrannique vomi par son peuple relèvent de la concussion à l’échelle internationale!
C’est lui le Président élu du Gabon, que ça vous plaise ou pas!
D abord il n a jamais été élu et Si il l était il ne se prendrait pas des vestes en mondiovision comme a Madagascar,ou au Cameroun toi aussi….. et ça ce sont les faits sans mise en scène aucune.
Dites à BONGO ALI : A beau parcourir le monde à la recherche de soutiens , il finira par etre porté disparu . C’est le peuple souverain qui légitime un président et non les soutiens exterieurs.Qu ‘on le veuille ou pas d’ici peu on parlera des BONGO au passé ; ce n’est qu’une question de jours .Le pouvoir appartient à DIEU et DIEU C’EST LE PEUPLE .( MALI – BURKINA – LE CONGO au premieres heures de l’indépendance ).
je croyais que c’est Ping qui attend les soutiens extérieurs.On attend tous la proclamation des présidentielles par l’UE qui les organisées
Zero….
Ali Bongo ibubu le Faussaire
La fausse identité du président gabonais, longtemps connue des barons du pouvoir, l’oblige à multiplier les documents censés prouver sa légitimité. Mais, aujourd’hui, les langues se délient…
En 2009, pour contourner l’article 10 de la Constitution, Ali Bongo s’est présenté à la présidentielle gabonaise en arborant un faux certificat de naissance, comme il l’a reconnu le 11 janvier 2015 sur RFI. Grâce à un scrutin truqué et le soutien sans faille de Nicolas Sarkozy, il l’a emporté.
Avec un nouvel acte de naissance, aussi faux que le premier, et au risque d’enflammer le pays, il entend à nouveau être candidat à celle du 27 août prochain. Car Ali Bongo n’est pas le fils biologique du couple Bongo. Lequel, n’ayant pas fait les démarches pour l’adopter après son arrivée du Biafra, en septembre 1968, a préféré lui fabriquer un faux état civil. La nationalité d’Ali Bongo est donc incertaine. Ce n’est qu’un sans-papiers vivant au Gabon, un SPF («sans-papiers fixe»), selon l’expression assassine de Chantal Myboto, une des nombreuses ex-compagnes d’Omar Bongo.
Contrairement à la légende devenue vérité d’Etat, l’actuel président gabonais n’est pas né le 9 février 1959 à Brazzaville. Voilà fort longtemps que cela est connu des principaux barons du régime. Pour mon livre Affaires africaines, publié en 1983, j’avais recueilli leurs confidences qui, dès cette époque, m’avaient permis d’affirmer que «la propre épouse du président gabonais n’a pas […] d’enfant.»