Santé pour tous pour le «sport pour tous»

Convaincu que le sport est un facteur de bonne santé, l’ONG Santé pour tous lancera, le 22 octobre prochain à Libreville, son programme «Santé pour tous en Afrique» concourant à l’amélioration de l’espérance de vie des populations du continent.

Marathon. © fr.infosgabon.com

Fondant son action sur la preuve irréfutable que la pratique du sport est un gage de bonne santé, l’ONG Santé pour tous s’est engagée dans une politique favorisant la pratique des activités physiques et sportives par le biais les programmes la «caravane sportive» et la «journée de détection de jeunes talents». Deux initiatives qui seront lancées le 22 octobre prochain à Libreville.

Selon le président de l’ONG, en effet, le sport participe à améliorer l’espérance de vie, réduire la morbidité et la mortalité, diminuer ou prévenir les risques liés aux maladies chroniques. La pratique du sport de masse devra être vulgarisée pour les jeunes, comme pour les moins jeunes», a estimé Eric Richard Ella Bekale.

Concrètement, la «caravane sportive» se déroulera chaque samedi et offrira aux populations une occasion de prendre part à une séance de sport gratuite dans les lieux retenus à Libreville. Après la capitale, l’opération s’étendra aux chefs-lieux des autres provinces du pays, a révélé le responsable de Santé pour tous en Afrique.

«Nous lancerons la campagne de sport dans tous les quartiers populaires de Libreville, nous mettrons un monitor de gym dans chaque quartier tous les samedis de 6h30 à 8 heures pour que les gens puissent avoir accès au sport. Ils plusieurs personnes qui aimeraient pratiquer du sport, mais qui n’ont pas les moyens d’aller en salle», a affirmé le Eric Richard Ella Bekale.

Concernant la «journée sportive de détection», l’ONG entend, à travers ce programme, réveiller les talents qui sommeillent chez les jeunes gabonais. «Il s’agira d’organiser des compétitions pour toutes les différentes disciplines pratiquées au Gabon, au cours de cette opération les fédérations pourront explorer les plus doués et les prendre en charge», a conclu Eric Richard Ella Bekale.

Le sport est un vecteur de prévention primaire. Il convient dès lors de développer l’offre des clubs et des associations sportives et de loisir sur l’ensemble du territoire national, au bénéfice de tous.