Présidentielle 2016 : John Kerry salue la promesse de transparence d’Ali Bongo
Le Secrétaire d’Etat américain a félicité le pouvoir en place pour son engagement à organiser des élections libres, justes et pacifiques le 27 août 2016.
Prenant note de l’appel lancé par le président de la République, aux acteurs impliqués dans l’organisation du scrutin présidentiel du 27 août 2016, John Kerry, a dit toute la fierté des Etats-Unis de voir cet engagement se concrétiser dans les huit prochains jours. « La transparence des institutions démocratiques et des processus du Gabon peut servir de modèle pour d’autres pays de la région. Les Etats-Unis apprécient son amitié avec le Gabon, et se réjouissent du partenariat continu avec vous à l’appui de la croissance économique et une bonne intendance environnementale, en particulier dans les domaines du changement climatique, de la foresterie durable, la gestion de la faune et de la protection de la diversité biologique », a-t-il déclaré.
En effet, dans son discours à la nation, le 16 août dernier, Ali Bongo Ondimba a demandé au gouvernement de la République de prendre toutes les dispositions pour s’assurer que les citoyens iront accomplir leur devoir dans la paix et en toute sécurité. « Le processus électoral en cours est conforme à toutes les dispositions de nos Lois et règlements en la matière. J’appelle tous les acteurs impliqués dans l’organisation de ce scrutin à s’assurer qu’il sera libre, juste et transparent. C’est à cet effet que le gouvernement de la République a sollicité et obtenu la présence d’observateurs internationaux », affirmait-il.
Cette déclaration du Secrétaire d’Etat américain, relayée par le journal en ligne jpupdates.com, n’abroge en rien l’assignation de la deuxième session du 114e congrès des États-Unis d’Amérique a adopté, le 12 juillet 2016, sous forme de résolution n° 821 aux termes de laquelle les pouvoirs publics gabonais sont invités à organiser une élection présidentielle transparente, pacifique, libre et équitable. Défendue par les parlementaires Smith du New Jersey, M. Engel, M. Royce, et M. Meeks, cette résolution vise à assurer la stabilité et la croissance à long terme du Gabon. Du moins, selon ses promoteurs.
7 Commentaires
Paroles. Paroles…comme disait la chanson.
Avec une république de voyous, il faut de véritables avertissements et un strict marquage à la culotte. Vous, Kerry, direz que c’est d’abord l’enfant de la France. Mais, la France, l’adulte et le petit voyou sont de mèche. Qui va surveillera qui? Qui ramènera qui à l’ordre. Bonnet blanc. Blanc bonnet.
L’unique adulte, peu impliqué à ce jour, est le peuple gabonais. Mais voudrait-il désormais son rôle en sortant de sa léthargie? Est-il prêt à tout? Se plait-il à boire le calice jusqu’à lie? On le saura bientôt.
Un discours flatteur..Cet imposteur croit qu’il peut divertir les américains, il se trompe; il ne nous épate pas non plus et on sait qu’il ment comme à son habitude. Il compte sur ses forces de défense pour mettre le pays en feu dès qu’il est battu, les signes ne trompent pas.
NOn NOn les USA veulent le prendre au mot. Tu as parlé de transparance, alors applique la. C’est la substance du message. Donc Ali est coincé et condamné à aller jusqu’au bout de cette logique. Il n’y aura pas de passage en force, il a donné des gages à la communauté internationale il doit donc s’y tenir c’est le message en filigrane vehiculé par les USA. Et si Ali acceptait volontairement de partir par la grande porte en acceptant dêtre battu à la regulière??? avez vous songé à cette hypothèse? Il peut aussi gagner à la régulière, même si les echos du terrain ne lui semblent pas favorables pour le moment.
Il est en train de lui dire simplement qu’ils le prendront au mot pardi ! Faut savoir lire a l’envers aussi.
Peuple Gabonais ne nous laissons pas distraire par l’occident capitaliste!
On parle d’élection et la substance du ce monsieur parle d’argent.Et dit que le modele gabonais d’Ali est un modele.Posons la question à cet homme;aux USA sont chef Obama n’a t il pas dû présenter un acte de naissance pour justifier de son éligibilité?Aux USA des membres de la société civile sont ils incarcérés pour avoir critiqué le president? Aux USA l’accès aux places publiques et aux medias d’Etat est il interdit aux aux opposants?Et on peut continuer avec des questions comme celles-là et ce monsieur ne pourra répondre que par la négative.Alors on se pose une autre question;pourquoi dit il que faire ça est un modele à suivre? Vous Gabonais,vous avez compris alors soyons vigilants et déterminés à faire partir Ali et son imposture.
Une dernière question à ce monsieur; peut on donner la nationalité à un ami pour en faire un directeur de cabinet du président-c’est à dire le mettre dans le secret- aux USA?
Pour que » le GABON soit un exemple pour les autres pays de la sous région », il faudrait donc, par contraste, que l’alternance se fasse et que ali reconnaisse sa défaite. Tel est en substance le scénario tel qu’attendu par les USA.
il sort d ou maintenant on est géré par les usa? d quoi les usa se mêle laissez ns faire notre election comme on veut truquee ou pas c’est a nous de gerer a notre maniere ts les dénouements possibles qui les a mis gardien du gabon, du monde j aime pas cette immersion des blancs
ali n a d ordre a recevoir de personne c est un president mm s il triche c’est le peuple qui le sanctionnera pas les usa
ns ne sommes pas de bebes