Présidentielle 2016 : les principes d’une bonne gouvernance, selon Nzouba Ndama
En pré-campagne, dans le Moyen-Ogooué, le week-end écoulé, l’ancien président de l’Assemblée nationale y a défini les principes d’une gouvernance démocratique, évoquant le «respect de l’Etat de droit, la justice équitable, la bonne gouvernance économique, la liberté d’expression et l’occupation des espaces publics».
En tournée de pré-campagne, dans le Moyen-Ogooué, le week-end écoulé, Guy Nzouba Ndama y a défini «les cinq critères pour être un bon président». Selon lui, la gouvernance d’un bon président se caractérise par le «respect de l’Etat de droit, la justice équitable, la bonne gouvernance, la liberté d’expression et l’occupation des espaces publics». A ses yeux, ces principes sont déterminants dans la gouvernance démocratique.
L’ancien président de l’Assemblée nationale a fustigé la gouvernance d’Ali Bongo, revenant sur des éléments tels que le carnaval des Brésiliennes, la super coupe de France, la venue de Lionel Messi, le New-York forun Africa (Nyfa), la course de motonautique, le moto show… De son point de vue, tout ceci a été «sans résultat».
Evoquant la réforme de la justice, Guy Nzouba Ndama a promis ne pas assurer la présidence du Conseil supérieur de la magistrature s’il parvenait à la présidence de la République, affirmant que son ambition est de «garantir une justice libre et pas aux ordres comme c’est le cas depuis longtemps».
Pour sa part, le président de l’Alliance pour le nouveau Gabon (ANG) a invité la population de Lambaréné «à prendre son destin en main en votant massivement le 27 Août prochain pour le candidat G2N – Guy Nzouba Ndama-». Le président d’Héritage et Modernité a, de son côté, dressé un bilan du septennat finissant. «Désastreux», a-t-il tranché, dénonçant les chantiers inachevés et le peu d’intérêt pour la construction d’écoles.
Alexandre Barro Chambrier a aussi parlé des routes, des hôpitaux, du logement social «dont on a même pas pu avoir la moitié des 7 000 logements promis par an alors qu’au bout de sept ans, nous attendions 35.000 logements». Naturellement, il a demandé aux populations de Lambaréné de voter pour G2N, «le candidat de l’espoir et de l’espérance».
Président de l’Assemblée nationale pendant 20 ans, Guy Nzouba Ndama a dernièrement quitté, avec armes et bagages, son poste et le Parti démocratique gabonais (PDG) pour faire acte de candidature à la présidentielle. Disant incarner «le Gabon d’abord, pour dépasser les clivages ethniques», il est, depuis lors, sur le terrain. Avant Lambaréné, il était dans les provinces de la Nyanga et de la Ngounié où il a sillonné villes, villages et cantons.
0 Commentaires
Toujours les paroles qui ne pèsent pas.nous ont veut le projet de société
Parcequ’est ce qu’a produit le projet de société du président le plus menteur et le plus démagogue du monde? Des logements en ruine avant qu’ils ne soient habités? Un tas de sable à la place d’une marina? Des milliers de diplômés sans emplois?
Mon beau-frère,
Tu vois , tu es rattrapé par tout ce que nous dénoncions depuis 2009.
Aujourd’hui,tu fais les frais de l’état de droit d’Ali, réalises ce que nous vivons depuis que ce type est aux commandes.
Conclusion, la loi ne doit jamais être taillé sur mesure, les institutions ne doivent pas être au service d’un homme…Tu as enfin compris?
je lance un appel à tous les candidats, il faut que nous repartions sur la rue pour montrer à Ali que nous ne craignons pas ses gaz lacrymogènes, il faut relancer les manifs, le 23 juillet doit se repeter toutes les semaines, il faut pousser le pouvoir dans ses derniers retranchements, histoire de donner d’Ali une image de dictateur abruti (oui il y en a qui sont intelligents).
Mon beau-frère, je n’aime pas tous ces rites, ces sacres, c’est du folklore, ça n’aide en rien, sinon, nous serions tous des zombis grâce au vaudou d’Accrombessi.
C’est de la distraction pure et simple
Vieillard, incapable de nous présenter un projet de société, quel partage parlez ? avec un salaire de 16000.000 par mois vous n’aviez rien fait à koula-moutou , ni partager tout cet argent c’est maintenant que vous parler de partage il faut arrêter le mensonge pour arriver à réaliser vos faux rêves il faudrait d’abord gagner l’élection et comment? Ali sera réelu au soir du 27 août 2016.
Cet homme a le culot de parler de principe comme s’il en a! Avec tout les gains qu’il a amasser qu’à t’il fait pour venir parler de principe de bonne gouvernance non mais dit donc arrêtez de vous foutre des gabonais
Le vieux Moukombo a eu le temps de nous donner ces techniques pour développer le Gabon , mais il a préféré faire la politique du ventre .