Le secrétaire général adjoint chargé de la jeunesse au Parti démocratique gabonais revient sur les assises de son organisme, livrant son appréciation du climat sociopolitique actuel et donnant une définition bien particulière du changement.

Vivien Amos Péa.  © D.R.

Vivien Amos Péa. © D.R.


 
Vivien Amos Péa durant les universités de l'UJPDG à Port-Gentil.  © D.R.

Vivien Amos Péa durant les universités de l’UJPDG à Port-Gentil. © D.R.


Gabonreview : Les universités de l’UJPDG ont eu lieu, pour la deuxième fois, à Port-Gentil. Quel but visaient-elles ?
Vivien Péa : Il vous souviendra que la première édition des universités de l’UJPDG s’était tenue à Koula-Moutou en août 2013, avec pour objectif de connecter physiquement les jeunes militants et non militants des neuf provinces, avec les responsables politiques, cadres d’entreprises, leaders d’opinion pour des échanges constructifs aux côtés du président de notre parti, Son Excellence Ali Bongo Ondimba. Ce rendez-vous d’exception permet, en effet, aux participants de comprendre, entre autres, les enjeux de notre développement, exprimer nos points de vue sur notre vision, notre réappropriation du rôle qui est désormais le nôtre, avant de soumettre aux dirigeants du pays face auxquels nous débattons, nos contributions, nos aspirations et nos exigences dans la finalité de forger le présent et labourer avec sérénité, patriotisme et responsabilité, l’avenir de la jeunesse gabonaise.
Nous ajoutons que ces Universités constituent, par ailleurs, comme je l’ai déjà rappelé, une plateforme interactive de dialogue intergénérationnel, empreint de tolérance mais aussi de créativité et d’innovation. Comme toutes universités, celles de l’UJPDG permettent, en outre, aux aînés, à ceux qui nous dirigent, et à ceux qui croient en nous, de nous partager leurs expériences par la transmission du savoir, savoir-faire et savoir-être.
Ce but a-t-il été atteint ?
Évidemment que les délégués venus de nos provinces et de la diaspora ont trouvé leur compte puisqu’à la clôture de ces assises présidées par le chef de l’Etat, nous avons soumis à ce dernier un plan septennal pour la jeunesse 2016-2023 qu’il a approuvé séance tenante après sa lecture, et en vertu duquel le septennat de la jeunesse fondé sur l’éducation, la formation pour l’emploi a été décrété. Ce qui me donne l’occasion de rappeler que ce septennat de la jeunesse est une victoire pour toute la jeunesse de la majorité républicaine qui a bataillé à nos côtés pour arracher au président la primeur de la décision. Une victoire évidemment pour toute la jeunesse gabonaise que j’invite à nous rejoindre afin que du simple effet d’annonce, nous passons à l’acte en prenant appui sur le travail judicieusement élaboré depuis trois ans déjà et qui nous a permis d’aboutir au PSJ. Le 26 juin 2016, vous l’aurez compris, est désormais inscrit dans les mémoires de l’histoire de notre jeunesse.
Vivien Pea 2En cas de réélection, Ali Bongo entend inverser la courbe du chômage des jeunes durant les sept prochaines années. Y croyez-vous réellement, ou s’agit-il d’une énième promesse électorale ?
Oui, j’y crois fermement. D’abord parce qu’il ne s’agit pas d’un plan rédigé dans la précipitation. Nous avons pris notre temps depuis avril 2013, date à laquelle nous sommes arrivés à la tête de l’UJPDG. La première étape exigeait de nous que nous allions à la rencontre de nos jeunes, dans les quartiers populaires, dans nos capitales provinciales, nos départements, districts, cantons et villages, pour dresser avec objectivité notre diagnostic tout en élaborant la radioscopie impartiale de cette jeunesse souvent en proie à l’inquiétude et au désespoir. Après les avoir écoutés, nous les avons associés à notre projet commun d’offrir à la jeunesse gabonaise une identité respectable. Aujourd’hui, le résultat est presque édifiant : vous voyez bien que l’éveil de la conscience jeune est largement au-dessus de ce à quoi on pouvait légitimement s’attendre il y a dix ans en arrière. La jeunesse acceptait probablement par naïveté, d’être caporalisée, manipulée, chosifiée, de porter les banderoles et jouer les têtes de gondole politiques. En 2016, elle aspire au changement. Le changement dans son quotidien, le changement dans les mœurs avec un besoin de retour à nos valeurs Bantu, le changement qui met en avant le travail, le goût de l’effort, le mérite par l’égalité des chances et le nivellement par le haut.
Oui, j’y crois depuis fort longtemps parce que, comme l’indiquait la thématique de ces universités, nous pensons que le Gabon peut vaincre le chômage des jeunes par l’égalité des chances. Raison pour laquelle j’ai appelé la jeunesse à se rassembler, se fédérer et se mobiliser pour que cette ambition devienne une réalité. Elle ne le deviendra que si nous-mêmes nous portons cette cause, comme un père qui protège sa progéniture. Nous y croyons enfin parce que notre candidat est un homme de conviction, d’engagement et de parole. Il nous l’a démontré dans de nombreux secteurs pour lesquels il a engagé des réformes et réalisé des exploits auparavant jugés impossibles. Oui, si Ali Bongo Ondimba est réélu, nous allons inverser la courbe du chômage avec l’aide de Dieu.
Pourquoi ce plan qui semble salvateur à vos yeux n’a-t-il pas été élaboré au cours du mandat qui s’achève ?
Comme je vous l’ai déjà indiqué, nous n’avons pas voulu imposer aux jeunes des solutions. Il nous fallait les consulter directement, les écouter et surtout tenir compte de leurs propres convictions. Raison pour laquelle nous sommes allés à leur rencontre. Nous avons identifié les sources de précarité qui sont, d’ailleurs, connues de tous et partagées par tous. Puis, nous les avons associés à nos réflexions, déjà en organisant la première édition de Koula-Moutou en 2013, soit trois mois après notre arrivée à la tête de l’UJPDG, mais surtout trois mois d’occupation intensive du terrain. Et comme nous détestons la précipitation, nous avons pris notre temps de faire le tour du Gabon.
En 2014, avec le soutien du président et du secrétaire général de notre parti, nous avons initié une caravane interdépartementale sur la responsabilité et le patriotisme. Elle nous a aidés à renforcer notre stratégie et notre base de travail. En 2015, nous avons tout affiné et le président n’a pas attendu puisqu’il a aussitôt lancé le programme Graine (Gabonaise des réalisations agricoles et initiatives des nationaux engagés, Ndlr), dans plusieurs provinces et en parallèle le programme «1 jeune= 1 métier», afin de sortir de la déperdition et du décrochage, les jeunes de nos quartiers souvent victimes de leur précarité. Rien que ces deux programmes ont déjà connu un franc succès avec des résultats visibles et vérifiables. En 2016, nous avons soumis le plan septennal des jeunes au vote des participants qui, je le rappelle, étaient environ de 10 000 sinon plus.
Comment vous assureriez vous que ces recommandations seront suivies d’effet en cas de reconduction de votre champion ?
Déjà par anticipation, notre candidat m’a instruit de réfléchir à la constitution d’une équipe de coordination qui aura en charge le contrôle, le suivi et la mise en œuvre du plan septennal pour la jeunesse. Ce plan, je l’annonce déjà, sera pleinement intégré dans son programme politique pour les sept prochaines années et sera naturellement porté par l’UJPDG à laquelle s’associeront toutes les autres entités de jeunesse qui veulent bien y participer. Nombreuses d’entre elles nous ont déjà contacté et nous nous réjouissons de ce que la liste s’agrandit. Pour l’instant, nous allons nous battre sur le terrain pour la réélection de notre candidat puisque c’est la condition préalable pour que ce plan devienne opérationnel.
Vivien pea 1Vous aspirez de plus en plus à être ministre. Ça saute aux yeux. D’aucuns vous attribuent d’ailleurs l’introduction d’une recommandation qui fustige la loi qui impose un certain âge pour pouvoir accéder à la fonction de ministre. Que répondez-vous ?
(Éclat de rire). Vous savez, nul ne peut empêcher les spéculations, les interprétations, les insinuations, les allusions parfois saugrenues surtout au Gabon, de certaines mauvaises langues. La mentalité gabonaise a ancré dans l’inconscient collectif le principe fallacieux selon lequel, lorsqu’on s’engage en politique ou lorsqu’on occupe des fonctions comme les miennes au sein d’un parti au pouvoir, la finalité ou l’objectif c’est le gouvernement. A mon sens, ce qui devrait interpeler l’opinion, c’est plutôt de constater que malgré mon titre ronflant de «secrétaire général adjoint du Parti démocratique gabonais en charge de la jeunesse», je demeure sur le plan professionnel, un salarié ordinaire d’entreprise. Je ne suis ni directeur général de société, ni dans un cabinet institutionnel ou ministériel, et je me sens très bien dans cette position sociale qui m’amène à faire mes classes normalement et gravir les échelons non pas grâce au parti, mais grâce à la mise en lumière de mes compétences professionnelles.
Le président Ali Bongo Ondimba qui est un homme très lucide mais surtout méticuleux, contrairement à ce que pensent une partie de l’opinion critique,  a tenu à ce que je sois et demeure un modèle de réussite sur les plans politiques et professionnelles pour une raison simple,  c’est que l’un des compartiments de sa vision  porte sur le changement de perception qu’ont les jeunes de la politique, lesquels se convainquent à tort que pour réussir et gagner plein d’argent au Gabon il faut faire la politique. Autrement dit, Ali Bongo Ondimba veut amener la jeunesse à comprendre que l’on peut exercer une fonction militante dans un parti politique sans pour autant nourrir de façon exacerbée, une addiction pour l’entrée au gouvernement. J’ai déjà eu la chance et le privilège de détenir, grâce aux Akandais, un mandat électif de conseiller municipal, cela me suffit largement.
Non, le gouvernement ne m’intéresse pas et, de toutes les façons, le président lui-même a d’autres projets plus intéressants et moins exubérants pour moi. Quant à la recommandation au sujet de l’âge requis pour entrer au gouvernement, il s’agit simplement d’une injustice que nous avons souhaité corriger et dont la première victime fut Ali Bongo lui-même dans les années 90. Sur ce sujet, nous avons son total soutien tout comme l’incohérence entre la majorité civile (21 ans) et électorale (18 ans), le président est d’accord pour ramener les deux à 18 ans.
Vous êtes le premier responsable de l’UJPDG. Or, il se trouve que le mouvement connait des tensions internes depuis plusieurs mois. Est-ce de cette façon que vous réussirez à faire réélire votre champion ?
Je suis probablement le dernier à me rendre compte qu’il y a des tensions dans cette structure que je dirige depuis trois ans maintenant avec des périodes de turbulence mais toujours le regard fixé dans l’objectif. Ce que vous dites n’est pas totalement surprenant surtout avec la vague de démissions que le parti a connue, certains sont peut-être tentés d’emboîter le pas à leurs aînés. Nous sommes en démocratie et chacun est libre de ses choix et les assume. En revanche, le PDG est un parti dans lequel la discipline est une religion, indépendamment d’être l’apanage du bon militant. Le véritable problème que nous avons à l’UJPDG en particulier, c’est que certains pensent disposer de la même autorité que le chef. Du fait d’avoir des «parrains» ou des «mentors» jugés puissants et dont ils répondent, ils se croient tout permis et se permettent parfois de le clamer à qui veut l’entendre. Sauf qu’avec moi, cette stratégie fondée sur le trafic d’influence ne fonctionne pas et ne fonctionnera jamais. En tout cas, pas tant que je serai à la tête de l’UJPDG.
Pour ma part, il n’y a que deux têtes de file au Parti démocratique gabonais: Ali Bongo Ondimba qui en est le patron, et Faustin Boukoubi qui en est le numéro 2. A partir du moment où Ali Bongo, par la voix du congrès, m’a transmis les pleins pouvoirs pour diriger la jeunesse de son parti, ceux qui refusent de l’accepter ont le choix entre se soumettre à la discipline du parti ou reprendre leur liberté. Personne ne les retiendra. Il y a tellement de jeunes dynamiques, engagés par conviction et déterminés pour ce parti que le départ de certains nous permettrait de favoriser l’égalité des chances.
En outre, je suis parfois victime de mon âge par rapport à la moyenne. Beaucoup sont plus âgés que moi et pensent que le droit d’aînesse prime sur le grade. Autrement dit, ce sont eux mes «grands», ils considèrent alors que je dois me plier à la volonté de leurs petites majestés. Et comme je suis un légaliste, ma seule référence, ce sont les statuts du parti et les instructions que me donnent le président et le SG. Enfin, je voudrais rappeler à ces jeunes camarades que nous devons penser d’abord à la victoire de notre candidat. Car l’intérêt de notre famille politique et la victoire de ce dernier sont au-dessus de nos petites personnes. Ressaisissons-nous, la jeunesse nous observe.
Vivien Pea 4Votre appréciation de l’action menée au sein des mouvements de jeunes de l’opposition dans le cadre de cette pré-campagne électorale…
Nous avons un point commun avec la jeunesse de l’opposition, c’est la sincérité dans notre engagement pour le changement. C’est en tout cas mon observation. Cependant, ce qui me déçoit davantage, c’est la méthode que certains jeunes de l’opposition utilisent pour porter leur message sur le terrain : apologie de la haine, philosophie de la terreur, menaces et invectives permanentes, agressions physiques de nos militants, destruction de biens publics et privés, trouble à l’ordre public et j’en passe. Comme je l’ai souvent exprimé publiquement, la valeur et la grandeur d’un leader se mesure dans sa capacité à bâtir et non à détruire. Je crois en la sincérité de leurs angoisses, en leur volonté de voir ce pays changer et se transformer. Mais je crois surtout qu’ils font confiance aux mauvais acteurs politiques qui leur font passer les mauvais messages à la population. Parce que contrairement à Ali Bongo Ondimba qui propose à la jeunesse gabonaise une offre politique plus sérieuse et concrète, l’opposition quant à elle ne lui offre que des armes pour qu’elle s’autodétruise. Aucun projet politique à la crédibilité irréfutable, aucune ambition pour cette jeunesse qui veut vivre décemment, gagner dignement sa vie, fonder des familles dans la sérénité et la stabilité sociale, améliorer son environnement et surtout compter parmi les décideurs.
A ce jour, il n’y a qu’Ali Bongo qui a envoyé des signaux dans ce sens. L’opposition préfère le divertissement et la fiction en crétinisant la jeunesse pour mieux la manipuler.
Depuis quelques temps, il se dit que votre mère est harcelée. Est-ce que cela ne vous effraie pas ? Vos fonctions ne vous permettent-elles pas de solliciter une protection rapprochée ?
Effectivement, notre pays gagne en intolérance avec les attitudes de notre opposition qui préfère intimider et menacer plutôt que d’aller à la conquête de l’électorat avec une offre crédible et meilleure que celle du PDG. Je suis menacé de mort à cause de mes convictions et parce que j’exerce ma liberté d’opinion, de conscience et d’expression. Dans mon propre pays, je n’ai plus le droit de sortir de chez moi en sécurité, parce que ceux qui veulent prendre le pouvoir ont décidé d’éliminer physiquement tous les proches et soutiens d’Ali Bongo Ondimba. C’est d’ailleurs un fait rare dans le monde où un partisan du pouvoir se sent en insécurité dans son pays en raison de ses opinions politiques. Il paraît que c’est la «Démocratie Nouvelle» telle que la conçoit l’opposition gabonaise de 2016.
En revanche, je voudrais mettre en garde toutes ces personnes qui manigancent dans le secret, que non seulement le président de la République est informé, les ministres de l’Intérieur, de la Défense, de la Justice le sont également, mais aussi les organismes internationaux de défense des droits de l’homme, y compris la CPI. Les auteurs de ces tentatives sont peu à peu identifiés. Si quelque chose m’arrivait à moi ou un de mes proches, il ne sera pas difficile pour les juridictions nationales et même internationales de les inculper. Les leaders politiques de l’opposition seront d’ailleurs les premiers à devoir rendre des comptes à la justice internationale. Maintenant qu’ils le savent, je leur recommande vivement de prendre leurs responsabilités.
Je suis peut-être militant d’un parti qu’ils ont tous choisi de combattre, mais qu’ils n’oublient pas que c’est dans le pays des droits de l’homme appelé France, que j’ai fait toutes mes classes. Cette France qui est ma deuxième patrie n’acceptera jamais que ma vie soit sacrifiée sur l’autel de l’avidité du pouvoir. Pour la protection rapprochée, je vais me renseigner d’abord sur les procédures.
Ali Bongo perdant au soir du 27 août prochain. Que fait l’UJPDG, que fait son responsable et que deviennent les nombreuses associations qui ont fleuri à quelques semaines de la campagne présidentielle, surtout que certaines d’entre elles ne cachent pas leur volonté d’écraser l’UJPDG ?
Il faut dire que je n’envisage pas ce cas de figure, même pas en me rasant (rire). L’UJPDG et son responsable sont en campagne depuis trois ans pour gagner au soir du 27 août 2016, et non pour perdre. Cette possibilité n’est pas envisageable pour nous. Nous sommes confiants et le terrain ne ment pas. Pendant que nous enrôlions nos militants et nos sympathisants, l’opposition donnait le mot d’ordre contraire à ses partisans. Aujourd’hui, je me demande bien sur quel électorat vont-ils compter pour se faire élire puisqu’à priori leurs militants ne sont pour la plupart, pas enrôlés.
Quant aux associations qui fleurissent à quelques semaines de la présidentielle comprenez-les. Elles sont dans le «money time» : chacun cherche à se remplir la panse et profiter au maximum du franc électoral. Je préfère faire confiance aux associations qui, aux côtés du Parti démocratique gabonais et des partis de la majorité, ont enrôlé massivement leurs membres au moment où cette phase était exigible pour tous les états-majors politiques. Elles sont plus crédibles que celles qui sont nées à quelques semaines de la campagne présidentielle, avec pour but d’organiser pour le compte de leurs donneurs d’ordre, de la figuration dans les meetings de campagne et distribuer des gadgets ou des billets de banques aux jeunes «prestataires de services» qui leur servent d’alibi pour être financées à l’emporte-pièce, brouillant au passage tout le travail de conscientisation que nous avons abattu pendant des années.
Actuellement le président de la République me fait l’honneur de l’accompagner dans sa tournée républicaine, et j’ai l’agréable surprise de constater que notre passage a porté ses fruits. Je réalise en outre, que le PDG est véritablement un phénomène sociologique. Il est implanté partout, même dans les endroits les plus inimaginables du Gabon. C’est la preuve que quelles que soient les conditions, les associations trépasseront, mais le parti demeure. D’ailleurs Ali Bongo Ondimba lui-même nous a donné rendez-vous en 2018 pour célébrer le cinquantenaire du PDG.
Pour celles qui envisagent d’écraser l’UJPDG, je ne répondrai que par un seul adage : «C’est le cube maggi qui fait la publicité, le sel est serein».
 

 
GR
 

4 Commentaires

  1. Meradie ndossi dit :

    Vivien Pea déterminé pour la bonne cause et le seul bon sens

  2. Jean nzela dit :

    Ali Bongo reste et restera le candidat des jeunes , tous les jeunes viennent de valider la candidature de Ali Bongo .

  3. Patricia Ndong dit :

    La jeunesse est au centre des préoccupations du Chef de l’état et j’ose croire que pour ce nouveau septennat la jeunesse attend plus d’action ! Merci Amos pour ce combat que tu mène pour les jeunes

  4. Axelle MBALLA dit :

    La jeunesse au centre des préoccupations d’Ali BONGO?
    – Combien d’universités construites, et pourtant promises par lui-même?
    – Un jeune = 1 métier, sinon = 1 emploi!!! ahahaha!!
    – Combien des collèges et des lycées construits?
    ou sinon!!! Combien des lycées et collèges manquent de professeurs à l’intérieur du Gabon? Ce jeune là de l’UJPDG!!! il se donne tant de mal!!! Normal; ilest un pur produit du PDG et des cercles feutrés et fermés d’Ali BONGO-ACCROMBESSI et consorts… Persuadez-moi du conbtraire!

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