3e édition des Sambas professionnels : Sous le signe de la réalisation des rêves
La 3e édition du séminaire d’échange et de renforcement des compétences s’est ouverte le 30 mai courant, en présence des coachs, qui ont promis donner quelques outils aux participants pour la réalisation de leurs rêves.
Ayant promis, il y a quelques jours, que la troisième édition des «Sambas professionnels» se fera sur «une semaine pleine et intense», la gérante de 3MJ Consulting ne s’est pas dédite. Sitôt les intervenants arrivés à Libreville, elle a lancé le séminaire d’échange et de renforcement des compétences, en absence de Christine Kelly, la marraine de cette édition, qui aurait «un problème de santé». Tout en regrettant cette absence, ainsi que celle d’Aboubacry Ba, Josiane Maténé a remercié Pape Diouf, Amobé Mevegue, David Monfort, Joëlle Ededeghe Ndong, Vérone Mankou et Zakaria Fahim pour leur présence. Du 30 mai au 4 juin, chacun d’eux animera un atelier.
Amobé Mevegue a promis «parler du rêve». «Moba-Day, c’est l’académie du plus beau rêve africain», a-t-il affirmé, précisant que l’essentiel de son intervention portera sur la construction du rêve. Comment le matérialiser ? Quelles stratégies mettre en place pour ? Autant de questions auxquelles l’animateur et promoteur de la télévision Ubiznews s’efforcera d’apporter des réponses.
Joëlle Ededeghe Ndong entend «parler de (sa) passion, le journalisme». «On ne s’improvise pas journaliste. On l’apprend à l’école comme sur le tas», a-t-elle, d’ores et déjà, indiqué. Pour elle, il s’agira de «donner quelques clés pour devenir un bon et un excellent journaliste». «On parlera des bases et des genres à la portée du journaliste, tels que l’interview, du reportage», a souligné cette journaliste à TV5 Monde, passée par plusieurs rédactions aussi bien à la télévision, qu’à la radio ou la presse écrite.
Vérone Mankou espère communiquer sa passion pour le numérique dont il entend mettre en lumière l’importance et le rôle dans le monde actuel. Pour le président-fondateur de la société congolaise VMK, par ailleurs concepteur de la première tablette numérique et du premier smartphone africains, il s’agira de montrer que faire des affaires et gagner de l’argent est possible via le numérique. Autant dire qu’il entend justifier son pseudonyme de «Steve Jobs congolais».
Ayant souhaité continuer avec l’équipe qu’il a suivie lors de la précédente édition, David Monfort veut poursuivre leur formation. «Cette année, on ira plus loin. Nous les orienterons vers la réalisation d’un reportage, d’un film, tout en améliorant leur pratique dans la photographie dans une approche plus originale», a laissé entendre le directeur de «D-Agency»
Zakaria Fahim entretiendra les participants sur l’accompagnement des entreprises en croissance. Il leur donnera les outils pour obtenir des financements. Dans cette tâche, cet expert comptable, promoteur de «Hub Africa», sera accompagné du jeune entrepreneur Ismail Lahsini.
Pape Diouf entretiendra les participants sur les stratégies de promotion d’évènements sportifs et de gestion des carrières sportives. Accompagné par Yves Sawadogo, l’organisateur de «La nuit du football africain», il puisera sans doute dans son expérience d’agent de joueur et d’ancien président de l’Olympique de Marseille.
0 commentaire
Soyez le premier à commenter.