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Port-Gentil : Le MPR et la candidature d’Ali Bongo
«Ali Bongo Ondimba ne sera pas candidat s’il ne présente pas un acte de naissance authentique». Tel est l’essentiel du message délivré, le samedi 23 avril dernier à la Chambre de commerce de Port-Gentil, par Féfé Onanga, président du Mouvement Populaire des Radicaux (MPR), à la presse nationale et internationale.
Féfé Onanga (micro) lors de son intervention. © Gabonreview
Pour le leader du MPR, le président Ali Bongo ayant lui-même reconnu, au cours d’une émission de RFI, que l’acte de naissance présenté dans son dossier de candidature lors de la présidentielle de 2009 est un faux, il devra cette fois présenter un acte authentique, qui ne souffre aucune contestation. Sinon, le MPR et les autres forces politiques qui soutiennent le candidat Jean Ping feront tout pour obtenir, de manière pacifique, a-t-il précisé, que la candidature d’Ali Bongo à la prochaine présidentielle ne prospère pas.
L’assistance. © Gabonreview
Comment cela se passera-t-il ? L’orateur n’a pas souhaité développé les stratégies qui seront mises en œuvre pour atteindre cet objectif. Il a simplement indiqué qu’en 1963, Fulbert Youlou, défunt président du Congo-Brazzaville, fut débarqué sans effusion de sang ; tout comme Blaise Compaoré, récemment, au Burkina Faso. Pour Féfé Onanga, c’est le pouvoir qui prépare un passage en force, car, s’est-il interrogé, « le pays n’est pas en guerre, pourquoi acquérir autant d’armes ? », allusion faite à la commande d’armes de guerre récemment révélée par la presse.
Féfé Onanga s’exprimait au lendemain de la mise en place dans l’Ogooué-Maritime d’une coordination devant organiser la prochaine tournée du candidat Jean Ping dans cette province et dans laquelle le MPR prend une part active, son président en étant le porte-parole communal. Selon lui, la position officielle du candidat Ping et de ses partisans est celle d’une élection présidentielle à laquelle ne doit pas participer Ali Bongo Ondimba, à moins qu’il ne présente un acte de naissance indiscutable.
0 Commentaires
« le pays n’est pas en guerre, pourquoi acquérir autant d’armes ? ». Certes cela n’est pas une priorité actuellement vu tous les problèmes sociaux non résolus. Mais est ce que l’achat des armes se fait seulement pendant la guerre ? Ne serait-elle pas une vieille commande non livrée ?
Une vielle commande non livrée? Tu rigoles, Just. Ali prépare un passage en force, et tu le sais aussi bien que moi. Mais sache que toutes les armes du monde ne peuvent pas éteindre la soif de liberté qui anime les gabonais en ce moment. Hasta la victoria!
Féfé…osssouououououou….
Ce pays devient même quoi? Des Féfé Onanga aussi parlent? du foufou à la sauce tomate.
Parle pour toi. Le pays appartient à tout le monde. Si tu n’as rien à dire, laisse Féfé Onanga s’exprimer. C’EST SON DROIT LE PLUS ABSOLU.
@Bouka Rabenkogo…osssssououououou…
Tu as raison , Maganga raconte des betises.
Pierre Manganga, Féfé est un Homme de conviction qui a décidé de mené un combat pour la libération de son pays, tu gagnerais à l’écouter au lieu de porter des critiques stériles.Grandissez un peu et laissez votre petit confort pour regarder ceux qui souffrent au tour de vous, si vous pouvez bien sûr
FEFE ONANGA a des couilles; lui au moins ose parler alors vous chuchotez dans des cuisines. Qui es-tu pour juger un patriote tel que FEFE ONANGA? Vous plaignez que le Gabon soit aux mains des étrangers y compris notre économie et vous avez le culot de critiquer les vaillants fils du pays qui risquent leur vie en dénonçant; mais vous êtes quel genre de personne? vous voulez quoi au juste?
Justement c’est pourquoi les citoyens comme FEFE se battent pour redresser notre pays qui est en perdition depuis qu’ALI est à la tête du pays. Fèfé est claire tant qu’ALI n’aura pas présenté son extrait d’acte de naissance authentique il n’a pas de place dans cette élection, notre constitution est claire là dessus.
En soutenant ALI vous trahissez votre pays est c’est une honte.
Je pense en effet, qu’au lieu de passer tout son temps à traiter les autres de tout et de rien il faut parfois se demander ce qu’on apporte pour le pays. Nous accordons beaucoup de temps caché derrière nos ordinateurs pendant que les autres font l’histoire. Je loue le courage et la détermination des hommes comme ce ONANGA qui depuis ne baisse pas les bras.