Présidentielle 2016 : Nzouba Ndama à cœur ouvert
L’ancien président de l’Assemblée nationale répond aux diverses accusations portées contre lui : le supposé détournement des fonds de l’institution, Héritage et Modernité, ses soutiens dans le gouvernement, le «tout sauf les fang». Il évoque aussi ses rapports avec l’opposition ainsi que ses projets.
Gabonreview : On a parlé de violences policières le week-end dernier à Koulamoutou. Que s’est-il réellement passé ?
Selon les informations que j’ai reçues, quelques jours auparavant, les jeunes de la commune de Koulamoutou et du département de la Lolo-Bouenguidi avaient décidé d’organiser une marche de soutien à ma candidature. Ils ont introduit une demande d’autorisation auprès du gouverneur qui l’a refusée, demandant même que moi, Nzouba Ndama, je l’appelle pour appuyer cette requête. Je ne vois pas en quoi je pouvais m’atteler à appuyer cette requête, d’autant que je n’étais pas à la manœuvre pour l’organisation de cette manifestation. Samedi, les jeunes et les moins jeunes ont tenu à manifester leur appui au candidat Nzouba Ndama en organisant une cérémonie à partir de 13 heures à l’hôtel-résidence Paul Ndama. Cette cérémonie a duré jusqu’à environ 17h30, alors qu’au même moment le PDG (Parti démocratique gabonais, ndlr.) organisait aux mêmes heures une cérémonie à la place des fêtes. Tout s’est passé normalement dans cette concession privée. Au sortir de là, ils ont rencontré, au carrefour Baloba, près de 200 policiers envoyés depuis Libreville, qui barraient la route. Vous savez, quand des jeunes se retrouvent face à la police, le ton monte très vite. Il y a eu des échanges d’injures, des jets de pierres et des coups de grenades lacrymogènes.
Les échauffourées ont duré quelques minutes et la situation est revenue à la normale peu après. Un peu plus d’une vingtaine de jeunes ont été interpellés puis amenés au commissariat le temps du week-end, pour les libérer lundi soir. Je ne comprends pas : il n’y avait rien de violent, ils n’ont pas bravé l’autorité municipale encore moins l’autorité du gouverneur. Ils ont organisé leur cérémonie dans une concession privée. Ceci dénote, une fois de plus, la tendance du gouvernement à ne pas respecter les libertés publiques, notamment la liberté d’expression, qui donne droit à chaque Gabonais d’exprimer, dans le respect des lois et règlements, son opinion.
Dans ce contexte, comment vous sentez-vous dans votre nouveau rôle, surtout après avoir longtemps bénéficié des avantages liés au pouvoir et à votre ancienne fonction ?
Je me sens bien parce que c’est une libération, d’autant que ça commençait à peser lourd. Ça pesait lourd de voir que la situation de notre pays ne fait que se dégrader de jour en jour, et qu’à côté il y a des gens qui considèrent que le pays va bien. Je suis donc content d’être dans ma nouvelle situation. J’ai appuyé le régime un moment donné parce que j’estimais que c’était mon droit de le faire. Mais maintenant, le contexte a changé, les choses n’étant plus les mêmes.
J’ai lu quelque part que c’est parce qu’on perd les privilèges qu’on se retrouve dans l’opposition. Mais je n’avais pas perdu de privilèges puisque j’étais président de l’Assemblée nationale. J’ai décidé de perdre les privilèges que j’avais pour prendre une autre voie, qui consiste à se mettre aux côtés du peuple en souffrance.
Quelle est votre situation réelle aujourd’hui avec le PDG ? Depuis votre déclaration de candidature à la présidentielle, on n’a vu ni lettre de démission de votre part ni décision d’exclusion vous visant…
Lorsque quelqu’un dit qu’il se met en retrait du cadre règlementaire et statutaire du parti qu’est-ce que ça veut dire ? Je n’ai pas parlé Nzébi ou Puvi pour que les gens disent qu’ils ne m’ont pas entendu ou compris. J’ai parlé en Français. Dans ma lettre au secrétaire général du Parti démocratique gabonais, j’ai dit que je prenais congé du PDG. C’est encore une autre façon de parler, qui veut dire que je démissionnais. Mais vu que dans leur lubie habituelle, ils allaient dans tous les sens, en estimant que je n’avais pas à démissionner, j’ai fait une lettre datée du 14 avril dernier, au secrétaire général du PDG, pour lui signifier que ma lettre du 7 avril, ma mise en congé, valait démission à compter de cette date-là.
Vous vous attendez donc à perdre également votre mandat de député…
C’est conforme à la loi. Je ne suis plus député depuis cet instant. Il revient au ministère de l’Intérieur de saisir le bureau de l’Assemblée nationale, qui devrait à son tour saisir la Cour constitutionnelle, pour constater la vacance du poste.
Pensez-vous qu’avant la présidentielle des élections législatives partielles seront organisées ?
(Rire). Franchement, c’est loin d’être ma préoccupation principale. Allez poser la question au gouvernement.
D’aucuns vous reprochent d’avoir fait dans la langue de bois sur RFI lors de votre récente interview sur cette radio. Quand allez-vous changer de discours ?
Je ne fais pas dans la langue de bois. J’ai une personnalité. Je suis moulé dans un bois. Je parle conformément à l’éducation que j’ai reçue. Je ne peux donc pas adopter le langage de tout le monde parce que cela participe de la mode. Ma rupture à moi, elle est là. J’ai rompu avec le PDG parce que la loi m’y obligeait et parce que le parti, dirigé par son chef suprême actuel, ne répond plus aux critères qui étaient ceux du PDG d’Omar Bongo dans lequel j’ai milité des décennies durant. Donc, ceux qui s’attendent à trouver en moi un discours guerrier seront peut-être déçus. Ce n’est pas dans ma nature. Je dis les choses en fonction de mon ressenti, de mon vécu et aussi en fonction de ma personnalité.
Les gens n’ont, par exemple, pas compris le fait que vous avez d’abord déclaré que la victoire d’Ali Bongo en 2009 n’était pas volée et que par après vous annoncez qu’on doit l’empêcher de tricher.
Beh, oui ! On doit l’empêcher de tricher, parce que je suis au courant de ce qui se trame aujourd’hui. Nous sommes au courant de ce que des compatriotes dans l’entourage du président vont, les week-ends, vers Mokoro pour y recruter des Congolais à qui il est allègrement donné des passeports et des cartes nationales d’identité pour que le moment venu, ils viennent voter. Tout ceci avec la complicité, semble-t-il, de la DGDI (Direction générale de la Documentation et de l’Immigration – ndlr). Alors, si on entreprend des manœuvres de cette nature, ça veut dire qu’on se prépare à tricher, parce qu’ils sont conscients de ce que le peuple gabonais les a vomis. Ils sont obligés d’aller chercher la main d’œuvre électorale à l’extérieur.
Vous dites devoir l’empêcher de tricher. Sans vous demander de dévoiler votre stratégie, êtes-vous sûr de réussir ce que l’opposition traditionnelle n’a pas pu faire depuis les années 1990 ?
Bien sûr que je ne vous dirai pas comment nous allons l’en empêcher, mais je vous rappelle que les Gabonais ne sont pas dupes. L’opposition sera représentée dans les bureaux de vote. Quelqu’un se présente dans un village avec un passeport neuf qui n’a pas un seul cachet de visa, on comprendra qu’il s’agit d’un passeport de complaisance. Et lorsque nous aurons réuni tous les éléments de preuve, les candidats de l’opposition pourront donner des consignes à leurs représentants pour empêcher ceux-là de voter.
Croyez-vous que les institutions joueront véritablement leur rôle cette fois-ci ?
Le rôle des institutions n’est pas d’aller contre la volonté populaire. Je pense que la situation actuelle est différente des précédentes. Les Gabonais sont suffisamment mûrs, les institutions chargées de réguler le processus électoral doivent comprendre qu’elles ne sont pas là pour aller contre la volonté populaire. C’est vrai que le ministre de l’Intérieur du président Ali (Bongo) a dit que tant qu’il sera là aucun opposant ne pourra battre Ali Bongo Ondimba. C’est d’abord une maladresse grossière, qui démontre, une fois de plus, l’amateurisme de ceux qui sont là. Il est également vrai, je l’ai appris récemment, qu’ils se sont donné comme mission de m’humilier en m’attribuant 5% comme dernier des candidats (à la prochaine présidentielle). Ce sont des manœuvres dont nous sommes au courant, d’autant qu’ils ne savent pas la boucler. Mais je crois au patriotisme de ceux qui composent la Cenap (Commission électorale nationale autonome et permanente – ndlr), à celui des membres de la Cour constitutionnelle, qui sont deux maillons essentiels pour éviter que ce pays que nous aimons tous, qui ne peut être remplacé par un autre, ne sombre dans des violences inutiles.
Je lance donc cet appel aux fonctionnaires du ministère de l’Intérieur, je pense qu’il est l’heure de dire que trop c’est trop ! Depuis l’indépendance, c’est la première fois que le Gabon se retrouve dans cette situation de cessation de payement. On disait que le président Omar Bongo était un fin politique mais un piètre gestionnaire, mais sous lui on n’avait jamais vécu pareille situation. Imaginez-vous qu’aujourd’hui l’Etat donne 10 000 francs par mois aux chefs de villages qui sont des auxiliaires de l’administration, mais ils ont des arriérés de deux trimestres. Les chefs de regroupements de villages qui touchent 20 ou 25 000 francs et les chefs de cantons 50 000 francs par mois, ont eux aussi des arriérés de salaire parce que l’Etat n’est plus en mesure d’honorer ses engagements.
Et pendant ce temps, le président de la République va annoncer à Koulamoutou, dans sa démagogie habituelle, lors du lancement du projet Graine dans l’Ogooué-Lolo, que les membres des coopératives percevraient chacun 100 000 francs par mois. Où est-ce qu’il va trouver l’argent, alors qu’il n’arrive même pas à payer les 10 000 francs qui sont dus aux chefs de cantons ? Saviez-vous que le 17 août dernier nos préfets et gouverneurs n’ont pas reçu un seul radis pour organiser la Fête nationale dans leurs localités ? Le pays est en perte de vitesse. Libreville qui était le centre des rencontres africaines est devenue aujourd’hui une ville banalisée. Combien de chefs d’Etat avez-vous ici en sept ans ? Cela démontre que le pays est complètement isolé sur la scène africaine. Et sur le plan économique, les entreprises souffrent, bien sûr, en dehors des entreprises de leurs amis. Tous les chantiers sont à l’arrêt parce qu’elles ne sont pas payées. Pourtant, quand j’étais député, on nous rabâchait à chaque fois que la dette intérieure avait été apurée. Ce qui était complètement faux.
Vous avez récemment déclaré qu’Ali Bongo avait violé le serment constitutionnel. Qu’est-ce que vous entendez faire pour l’amener à le respecter ?
Je pense que c’est un problème d’honneur personnel. Lorsqu’un président de la République a juré de respecter la Constitution, de respecter et de faire respecter l’Etat de droit, il lui revient de tirer les leçons. Notre jeune compatriote Jean-Pierre Oyiba avait été d’une dignité exemplaire. Lorsqu’il était directeur de cabinet, il avait été cité dans l’affaire relative aux détournements à la BEAC (Banque des Etats de l’Afrique centrale – ndlr), il avait démissionné de ses fonctions pour se mettre à la disposition de la justice. Le premier magistrat de ce pays, qui avoue à ses concitoyens que l’acte de naissance qu’il a produit en 2009 était un faux, a-t-il le courage de regarder en face ses compatriotes ? Si lui même n’a pas le sens de l’honneur, c’est qu’il n’en aura plus jamais.
Que répondez-vous à ceux qui soutiennent que vous disposez d’un réseau dormant de personnalités importantes, dans la haute administration et le gouvernement, prêtes à vous suivre, de même que le groupement Héritage et Modernité ?
(Sourire). Je constate que mon ombre fait peur. Et si mon ombre fait peur, je crains qu’ils ne deviennent fous, parce qu’ils me verront partout. Je dois dire que contrairement à ce que les émergents ont affirmé, je ne suis ni le promoteur ni l’animateur de Héritage et Modernité. J’ai découvert la naissance de ce groupement comme tous les Gabonais. J’ai été écœuré, j’ai ressenti même de la nausée quand j’ai entendu le ministre de la Communication, je préfère ne pas citer son nom, dire (sur RFI) que les caisses de l’Assemblée nationale sont vides parce que j’aurais utilisé les finances de l’institution pour acheter les députés qui ont démissionné. Ce monsieur devrait avoir honte de lui-même, parce qu’il n’arrive pas à la hauteur des chevilles des députés démissionnaires, en matière de probité morale. Ils n’ont, d’ailleurs, aucune leçon à recevoir de ce monsieur. Et si ce monsieur veut bien, je ferai diffuser dans les journaux les reconnaissances de dette qu’il a eu à signer auprès de certaines personnes. Ces messieurs sont des pères de familles responsables. Ils ont pris leur décision en toute liberté. Je n’ai donc pas eu à intervenir. Je n’y suis pour rien ! Je crois qu’eux-mêmes m’entendent, et je ne pense pas qu’ils aient dit quelque part que j’étais leur promoteur.
Et vos supposés réseaux dormants au sein du gouvernement actuel ?
Il y en a qui ont perdu le sommeil. Ils se disent : «tel est l’ami de Nzouba, tel autre est son sympathisant». Mais ce n’est pas la peine qu’ils aient peur de mon ombre. Je n’ai pas demandé à qui que ce soit de me suivre. Si quelqu’un est membre du gouvernement, il est membre du gouvernement. Pourquoi voudraient-ils que Nzouba les influence pour qu’ils partent de là ? Non. Moi, je ne suis pas responsable de ce qu’il pourrait advenir à telle ou telle administration. Il y a des fonctionnaires qui me suivent mais ils sont libres. Mais si un ministre veut bien me suivre, je ne dirai pas «non». Je l’accueillerai avec beaucoup de plaisir. Il faut que ces gens-là arrêtent de prendre leurs rêves pour des réalités.
Un sujet récurrent à votre sujet est celui du détournement de budget de construction de l’annexe de l’Assemblée nationale. Qu’en est-il exactement ?
(Grave). Cette affaire, c’est M. Moulombi qui l’avait lancée, je ne sais plus en quelle année. Entre 2007 et 2009, il y a eu des inscriptions de 1 milliard de francs par an, au titre de la construction de l’annexe. Les études y relatives – je n’ai pas le chiffre en tête – ont coûté de l’argent. Premièrement, je pense que la société qui a eu à faire des travaux dans le bâtiment de l’Assemblée nationale est là. Elle a des factures. Nous sommes arrivés au palais Léon Mba en juillet 2001 et dès octobre 2001 nous avons vu des fuites d’eau partout. Avec les inscriptions qui sont arrivées en 2006 ou 2007, nous avons utilisé une partie de l’argent pour faire les réparations. Vous pouvez allez constater que les carreaux que vous voyez sur les murs ne sont pas les carreaux d’origine, parce qu’on a dû casser tout ce qui existait pour crépir d’abord les murs avant de reposer les carreaux. Depuis lors, nous n’avons plus de fissures ni les fuites que nous avions auparavant. Il y a eu beaucoup d’autres travaux.
Deuxièmement, il y a que les gens confondent. Il existe une différence entre l’inscription et le décaissement réel. Il se trouve que le Trésor a accumulé des arriérés budgétaires que l’Assemblée nationale n’a pas pu toucher. Cette accumulation d’arriérés est égale à 36 milliards de francs. Vous pouvez aller interroger le ministre Magnagna qui me l’a dit lui-même : lorsqu’il avait été nommé ministre du Budget, l’une des premières choses qu’il a eu à faire, c’était de vérifier si l’Assemblée nationale avait été intégralement payée, comme certains l’affirmaient, m’accusant d’avoir détourné. J’espère qu’il ne se dédira pas. Il a constaté lui-même que le Trésor était redevable à l’Assemblée nationale. Pour ma part, je n’ai pas voulu faire beaucoup de bruit au sujet de la qualité du bâtiment pour ne pas nuire à la diplomatie gabonaise par rapport au pays ami qui avait construit ce bâtiment. Pour le reste, le ministre m’a informé, en 2014, de ce que le président de la République avait ordonné l’annulation de tous les arriérés budgétaires. Il ne fallait donc plus compter sur cet argent. J’ai dit «OK», tout en faisant un courrier de traçabilité pour prendre acte de la décision. Et voilà où nous en sommes.
Que répondez-vous à ceux qui vous taxent d’anti-Fang ?
Je crois que j’ai été suffisamment clair dans l’interview que j’ai accordée à La Loupe. Ceci est parti de 2009, pendant les travaux du Comité permanent du bureau politique du PDG, lorsque nous devions examiner les candidatures. Il y en avait dix. Et sur les dix, il y avait un nombre important de candidats qui étaient d’ethnie Fang. Ma décision d’appuyer activement la candidature d’Ali Bongo a fait dire à certains que j’étais anti-Fang. Peut-être qu’ils comptaient sur mon soutien, mais ils n’avaient alors qu’à le solliciter et j’aurais examiné leur demande. Mais je mets quiconque au défi de m’apporter un élément sonore ou écrit par moi où j’aurais dit «tout sauf les Fang».
A en croire certains, votre stratégie serait de faire partir Ali Bongo du PDG pour vous en accaparer avec vos soutiens et amis. Y a-t-il là une once de vérité ?
Non. Je suis candidat indépendant. Si les Gabonais m’accordent leurs suffrages, durant un mandat je ne pourrais pas être le chef d’un parti politique. C’est contraire à la loi. Donc si mes amis d’Héritage et Modernité, qui m’appuient et me soutiennent, se battent pour conserver le PDG, ça c’est leur affaire. Ce n’est plus ma préoccupation majeure.
Quels sont vos rapports aujourd’hui avec l’opposition traditionnelle ?
Ben, je suis le nouveau venu dans l’opposition. J’ai trouvé que cette opposition était divisée en deux tendances. Je ne privilégie aucune des deux, je suis en bon terme avec les membres de l’opposition que j’ai trouvés. Je vais entreprendre une visite de courtoisie à des leaders de partis que j’ai trouvés sur la scène, pour les saluer et leur dire qu’aujourd’hui notre combat est le même, c’est-à-dire se battre pour l’instauration d’une vie démocratique apaisée, pour qu’on arrête de diviser les Gabonais entre eux, et pour se battre afin que les Gabonais retrouvent la joie de vivre d’il y a quelques années.
Croyez-vous également à la nécessité d’une candidature unique de l’opposition ?
Au stade actuel cela me paraît difficile, parce qu’avec les divers courants qui traversent l’opposition il sera difficile de réaliser ce rêve d’une candidature unique. Mais en tout état de cause, je pense qu’il convient de limiter le nombre de candidat parce que cela ne pourrait que fragiliser l’opposition. N’oublions pas que nous allons à une élection à un seul tour. C’est le candidat qui aura le plus de suffrages qui l’emportera. Or, s’il y a trop de candidats au sein de l’opposition, cela émiette l’électorat.
Pouvez-vous assurer aux Gabonais que vous veillerez à mettre en place un Etat de droit si vous êtes élu en août prochain ?
Pour donner des gages à mes compatriotes, le premier acte que je poserai sera de réunir la classe politique pour que nous nous entendions sur une plateforme destinée à réguler la vie démocratique dans notre pays. Je n’utiliserai pas le fait du prince qui consiste à décider unilatéralement d’une révision constitutionnelle ; dire aux députés «faites ceci, faites cela». Non ! C’est la classe politique et la société civile qui s’entendront pour dire «voici les scories qu’il faut faire disparaître de notre Loi fondamentale». Une fois que nous seront d’accord là dessus, je ne vois pas comment est-ce qu’un citoyen, président de la République soit-il, peut se mettre au-dessus de tous pour imposer son point de vue et prétendre que le pays doit fonctionner selon son rythme à lui. Je peux donc vous assurer que ce sont la classe politique et la société civile qui décideront des instruments à mettre en place pour réguler notre démocratie.
0 Commentaires
Tu es menteur? Heritage et Modernite c’est toi. Mais admet le car ton plan A a rate maintenant c’est ton plan B. Et tu as bien dis TSF tout sauf fang. Devant samplis et Mboubou Yakou qui
La repete a Boukoubi, et devant desire ename a la cite de la democratie.
Il ne s’agit d’injurier, mais d’apporter des arguments constructifs. Dommage pour notre pays que l’injure et la calomnie soient les arguments les plus usités par certaines personnes. Si vous n’êtes pas d’accord avec ce qui est dit, et c’est votre droit le plus absolu, ne dites pas menteur, comme si vous vous adressez à ce je ne sais pas qui. Apportez le preuve de ce que vous réfutez. Ce n’est pas pour faire polémique, il y en a déjà trop. Merci
arrêtez de nous distraire avec çà! nous savons tous que que ce concept a été inventé par andré mba obame (qui n’est pas à un coup tordu) pour s’attirer l’électorat fang, qui généralement ne vote que pour le ressortissant de son ethnie, et lui faire comprendre que le pdg est « tous sauf les fang ». nzouba ayant soutenu, de manière décisive, ali bongo ondimba; il se trouve que les pdgistes et ses autres adversaires lui attribuent la paternité de cette ineptie pour lui aliéner l’électorat fang! voilà tout!
Monsieur Nzouba, si et si vraiment vous aimez ce Pays comme vous le dites. Dites la vérité aux gabonais sur ce que savez des origines du BOA. Comment allez au élections sans connaître sa situation identitaire, vous l’avez si bien dit, lui même avait déclaré qu’il avait présenté un faux acte de naissance, donc pourquoi parler d’aller au scrutin sans lui demande de fournir une véritable pièce d’état civil. J’espère pour vous que le BOA perde cette élection s’il réussit son coup de force, sa vengeance ne connaîtra pas de limites. Vous avez tiré le vin, il faudra le consommer sans modération aucune.
@Diana calendre. Ce qui le cherchait connaissent maintenant le nom de la bêtise : le vôtre. Que ne savez-vous pas sur les origines de BOA que les gens doivent encore vous dire ? Que n’avez-vous pas entendu de la bouche de Chantal Myboto et L-P Ngoulakia ? Qu’est-ce qui vous permet de croire que Nzouba en sait plus qu’eux ? Vous, que savez-vous des origines des enfants de votre voisin de bureau ou de votre chef ? Pourquoi Nzouba en saurait sur Ali ???? Chantal Myboto, intime du père d’Ali et Ngoulakia, cousin d’Ali, n’ont pas assez parlé ?
Lekori, vous dites Myboto et Ngoulakia ont parle ok, mais que propose Nzouba d’ aller aux élections avec un Apatride? Sans papiers fixe. Ne serait-il pas une manière d’encourager les effets boomerang de 2009.
Diana calendre a raison. Jusque là Nzouba Ndama ne dit pas à l’opinion s’il compte empêcher la validité de la candidature d’ABO du fait que celui-ci a violé la Constitution et qu’il a lui-même dévoilé au monde entier qu’il avait usé de faux documents.
Nzouba ne cesse de dire qu’il va empêcher ABO de tricher. Ce qui veut donc dire qu’il sera en lice au niveau de la CENAP. Nzouba n’est plus dans le système au pouvoir, comment va t-il empêcher la tricherie ? AMO l’avait promit en 2009 à ses électeurs avec son fameux plan B, il ne l’a pas fait. Au lieu de fatiguer les gens avec ces promesses de plan B,c’est maintenant qu’il faut fournir des preuves à l’opinion que ABO est disqualifié pour la course à la présidentielle, au lieu de revivre le scénario de 2009 où c’est toujours le peuple qui subit la répression sanglante de l’armée.
Jusqu’à maintenant, les discours de GNN ne sont pas convaincants. Il est tabac de la même pipe que Louis Gaston Mayila.
Bravo Monsieur le président.Dites de cette façon,les choses ont le mérite d’être claires.Je suis néanmoins convaincu que quelques apprentis sorciers a la solde du pouvoir auquel j’appartiens ne manqueront pas,sans preuve de poursuivre leurs traditionnelles accusations sans fondement.car a moins d’étayer vos dire avec des éléments de fait ou de droit avérés le bon sens nous commande de nous taire.je ne suis pas un soutien de monsieur nzouba mais il a le mérite d’être clair notamment a propos de l’argent de l’annexe de l’assemblée.les explications qu’il donne sont les mêmes que j’ai entendues au ministère du budget et a la primature auprès de gens influents.
NZOUBA NDAMA est fâché contre Ali BONGO ONDIMBA parce que ce dernier a fait revenir Samuel NGOUA NGOU au Gabon. Depuis Omar BONGO ONDIMBA, chaque fois que l’hypothèse de faire entrer NGOUA NGOU au gouvernement était évoquée, il faisait tout pour que ça n’arrive pas. NGOUA NGOU sortait avec sa femme d’origine Camerounaise avant son départ du Gabon. Il a peur que devenu un grand quelqu’un grâce à Ali BONGO, NGOUA NGOU reprenne du service. C’est pourquoi il parle de trahison et d’humiliation. Que les amis de NGOUA NGOU lui disent de faire très attention à sa vie. Mokombo en veut à sa vie, car il a peur que sa belle Lucie ne retourne à ses premiers amours. Si vous analysez le discours de NZOUBA NDAMA en omettant l’équation NGOUA NGOU, vous faites complètement fausse route. Lucie habitait déjà chez NGOUA NGOU avant qu’il ne rencontre sa femme actuelle. NGOUA NGOU est donc la cause principale de la démission de NZOUBA NDAMA. Il était fatigué de le voir au Palais ou à d’autres manifestations officielles où il était obligé d’aller avec sa femme qui ne cessait de regarder avec gourmandise son ancien « gars ».
Clair,net et précis. Quand un veut abattre son chien on l’accusé de rage. Mais si je ne m’abuse, l’une des épouses de Nzouba est fang, non?
Bonanza, elle est camerounaise.
On peut etre Fang…et Camerounais. Comme on peut etre Fang et Gabonais, Fang et Equato-Guineen, ou bien?!
On est d’abord Fang avant d’être camerounais, équato-guinéen ou gabonais.
Elle est Camerounaise… C’est l’Ex de Samuel Ngoua Ngou du temps ou il étais syndicaliste. Et cette Cam tape toujours avec Samuel depuis qu’il est conseiller du Pr. Voila pourquoi Nzouba par d’humiliation et de trahison dans ses discours !!!!
Tous ces politiciens qui veulent être locataires du bord de mer : Jean Ping, Casimir Oye Mba, Guy Nzouba Ndama, Alexandre Barro Chambrier, Ali Bongo Ondimba trouvent que les gabonaises ne sont pas assez bien pour en faire leur épouse légitime, elles ne sont bonnes que pour être des maîtresses.
Lors des campagnes électorales, ces épouses étrangères restent confortablement dans leurs villas climatisées, c’est d’autres personnes, y compris leurs rivales gabonaises qui mouillent le maillot pour qu’elles deviennent première dame du Gabon. Et ce sont elles qui profitent de l’argent du Gabon pour investir dans leur pays d’origine et à l’Occident.
Après Pauline Mba et Joséphine Bongo, à quand une prochaine première dame Gabonaise de souche ?
Ce n’est pas de la xénophobie, c’est « Gabon d’abord ».
Donc plébiscite populaire et massif pour Ndong Sima Raymond:d ou PC Maganga Mouss!
Elle est fang de quel village du Gabon. Elle est de mère boulou du Cameroun, et de père français. Elle est française. Et puis, comme Jean Marie Le Pen, quand on lui dit qu’il est raciste, il répond toujours que son chauffeur est noir. N’est-ce pas. Nzouba Ndama dit que c’est parce que un grand nombre de candidats à l’élection présidentielle était fang en 2009 qu’il a soutenu Ali Bongo Ondimba. Qui dit mieux? Le rejt des Fangs chez Nzouba est connu de tous. Il aura le salaire de son ethnisme anti-fang bientôt. Il ne perd rien à attendre l’élection présidentielle.
Je confirme. Il aura ce qu’il mérite ce NZOUBA.
Au sujet de la multitude des candidatures de l’opposition, le l’ex PAN répond « …Mais en tout état de cause, je pense qu’il convient de limiter le nombre de candidat parce que cela ne pourrait que fragiliser l’opposition »? Le journaliste aurait du répliquer, je le fais: Monsieur Nzouba êtes-vous prêt à sacrifier votre candidature au profit d’une autre de l’opposition afin de parvenir à une candidature unique? C’est toujours facile de penser que ce soient les autres qui sacrifieront les leurs. Pourquoi ne positionnez-vous pas le jeune ABC comme vous l’avez fait farouchement pour le SPF en déclinant le TSF? A l’époque, dans l’Ogoué-lolo ce slogan était visible sur les banderoles de la campagne. Expliquez-nous pourquoi et par qui? J’espère que tu ne solliciteras pas le soutien de ceux (TSF) que tu as rejetés hier pour le guignol SPF (sic). Alors, tel est pris qui croyait prendre!
Qui va voter pour Nzouba le Cocu national ? Tous le monde sauf les Fang !!!
Bongo père « piètre gestionnaire et fin politicien », voilà en mon sens la seule différence avec Bongo fils qui serait piètre politicien et piètre gestionnaire… M. Nzouba, je suis mal à l’aise devant des personnalités de votre trempe qui découvrent que le Gabon va mal seulement depuis 2009. Pour ma part il va mal depuis l’arrivée au pouvoir de celui que vous adulez encore à ce jour, votre éternel regretté Omar. J’ai coutume de dire que le manque d’hopitaux, de routes bitumées, d’écoles etc ne date pas de l’arrivée des émergents. La cessation de paiement, Ondo Ossa en parle depuis belle lurette. C’est donc l’échec de toute la classe politique, vous en tête, car vous n’avez pas joué votre rôle de premier député durant près de vingt ans. Si aujourd’hui vous vous êtes enfin réveillé de votre léthargie, eh bien ayez la sagesse d’aller vous asseoir dans votre village, car il n’y a que là-bas que vous aurez des gens prêts à tomber pour vous, même s’ils ne sont pas en mesure de dire pour quelle raison, parce que des traces de de votre long règne il faudrait les chercher à la loupe. A bon entendeur…
Monsieur Nzouba Ndama, vous dites :
« Mais je mets quiconque au défi de m’apporter un élément sonore ou écrit par moi où j’aurais dit «tout sauf les Fang». »
Vous avez raison, l’element sonore ou écrit n’existe pas. On retrouve-la l’ADN du PDG avec le fameux « qu’ils le prouvent » qu’Ali Bongo nous sert concernant ses faux papiers.
Sur le même sujet, dans la Loupe vous dites que cela viendrait de ce que vous n’avez pas soutenu la candidature de Eyeghe Ndong, Mba Obame ou Oye Mba en 2009 devant le Comité Permanent.
Mensonge et falsification de la réalité. En 2009, Mba Obame n’etait pas candidat à la candidature au PDG, il n’avait donc pas besoin de votre soutien devant le Comité permanent. Par contre Ona Ondo était lui candidat à la candidature, mais comme il faisait partie de votre plan pour faire passer Ali Bongo et qu’il est votre soutien au Gvt, vous ne le citez pas.
Je vous mets au défi d’obtenir de Ndemezo’Obiang ou de Jean Eyeghe Ndong une déclaration qui attesterait que le TSF ce n’est pas vous. L’un et l’autre étaient présent au Comité permanent du PDG en 2009 et l’UN et l’autre ont soutenu Ping et demandé qu’il n’y ait pas de candidat Fang à cause du TSF dont ils vous attribuent la paternité. En d’autres termes, ces deux responsables politiques peuvent sans difficulté vous confondre en TSF.
Vous dites dans la Loupe avoir une épouse et Fang et des enfants Fang. Ce qui est exact. Tout comme Blaise Louembe et Régis Immongault dont les 2 épouses sont Fang. Cela ne vous a pas empêcher en mai-juin 2010 de faire campagne à Mulundu contre Paulette Missambo en disant que c’est la femme des Fang et qu’elle appartient à un Parti de Fang, l’Union Nationale.
Vous ganeriez à reconnaître qu’au cours des 20 dernières années, par opportunisme politique, vous avez participé à la stigmatisation de l’ethnie Fang afin de l’ecarter du pouvoir politique. Maintenant que vous vous trouvez dans la situation de solliciter les suffrages des Gabonais, de tous les Gabonais, le risque est grand pour que les Fang disent :
TSN : Tout Sauf Nzouba.
Personnellement, je trouve cela absurde, mais c’est à vous et vous seul que vous devrez vous en prendre.
J’ai été au Bureau politique de 2009, j’ai dit et je répète: hormis Adiahénot, tous ceux qui étaient concernés (dont Paulette Missambo) par la désignation du candidat du PDG ont TOUS choisi Ali Bongo Ondimba; que ceux qui ont été avec moi ce jour m’apportent un démenti; arrêtez de raconter n’importe quoi!
Donc Oye Mba et Eyeghe Ndong ont eux-aussi voté pour Ali ? A un moment donné, il faut savoir se taire.
En 2009, Paulette Missambo à fait valoir la close de conscience lorsqu’on a voulu la contraindre à voter pour Ali. Adiahenot a refusé de voter.
Vous n’etes pas le seul à y avoir été.
@La fille de la Veuve, bien dit…Et toc !
d’après ce que vous racontez, c’est clair que vous n’étiez pas là. Les candidats à la candidature ne pouvaient pas voter, vous aussi! c’étaient les non candidats comme Nzouba, Boukoubi, Missambo, Adiahénot, Mboumbou miyakou…..
Après le choix, le Bureau politique national a été convoqué, et Boukoubi a rendu compte du choix du candidat. Dans son compte rendu, il a lu, 2 fois la phrase suivante: « …en dehors d’un membre qui s’est abstenu pour des raisons d’éthique, tous les autres ont choisi le camarade Ali Bongo Ondimba… ». Ne connaissant pas le nom de ce membre, tout le monde pensait que c’était Missambo, car on connaissait son idylle avec Oyé Mba. Mais voilà, pendant les échanges qui s’ensuivirent, Adiahénot s’est dévoilé, en proclamant que c’est lui qui n’a pas voté pour Ali. Oyé Mba a même claqué la porte avant la fin de la réunion, il venait de réaliser que même sa « femme » avait choisi Ali. Ceux qui ont été ce jour, pas ceux à qui on a rapporté, ne me démentiront pas.
Mike, ABC ne pourra pas labourer dans l’Ogooué Lolo comme peut le faire Nzouba. Que Nzouba se présente d’abord, puis on verra à la veille du scrutin. Question de stratégie électorale Ok?
@ GR les questions posees sont pertinentes et cashs. Elles refletent bien les questionnements que les gabonais ont a l’egard e nzouba.
Merci pour ce moment.
Le peuple sortira toujours vainqueur car c’est la voix de Dieu.qu »il est facile de se moquer des gens le seigneur vous le fera payer.
Nzouba n’est pas le seul à avoir l’esprit tribaliste tous les gabonaisle sont sur tout les Fangs , suivez ce que la tortue fait quand il arrive dans un département miniteriel il vient avec les siens et les met dans les de responsabilités même s’ils ne les méritent pas prenons l’exemple l’époque où il était Ministre de l’agriculture , de la CNS et maintenant à la Santé et aux Affaires Sociales où il a enlevé tous les Bolobs à la tête du CHU D’OWENDO pour les remplacer par les médecins Fangs qui ont commencé à voler les équipements en direction de leurs cliniques privées, à l’instar de ce qui s’est fait au CHU de Libreville et d’ANGONDJE. C’est ça le Gabon
J’ai appuyé le régime un moment donné parce que j’estimais que c’était mon droit de le faire. Et ton devoir entant que représentant du peuple, tu l’avais mis aux toilettes. Ah non j’allais oublier tu as dit dans une de tes interviews que c’était par respect pour Omar que tu avais soutenu le fils, comme si Omar était le créateur du Gabon. Pardon Mr Nzouba je sais une chose vous avez placé vous pouvez aussi déplacer. pour le reste ne vous en faites pas votre ombre vous fera aussi peur, c’est juste une question de temps.
le Gabon a besoin de ce monsieur pour avancer, dans la politique on a besoin du vrai. Nzouba est vrai c’est un compatriote un homme d’état capable de diriger le Gabon. Il me rappel Myboto c’est le genres des hommes quant ils sont prie une décisions c’est jusqu’au bout,
Bravo Paul.
Un vrai homme d’état qui a servit le pere pendant des décennies, et comme si ce n’etais suffisant, il a rempiler pour un autre mandat de 7 ans avec le fils, au détriment du peuple.
Voici le genre d’homme d’état visionnaire dont le Gabon a absolument besoin pour son Avancer. Belle Analyse: 10/10.
M.NZOUBA, votre tous sauf les fangs va vous rattraper à l’élection. Votre tout sauf les fangs est connu de tout le monde dans le grand nord, au nord Est au centre et à L’Ouest. Ne compté donc pas sur le Grand Nord,L’Ogooué Ivindo,l’ESTUAIRE, l’ogooué maritine et le moyenne OGOOUE dans ces pays Fangs on vous répondra tout SAUF NZOUBA.
Mr Nzouba Laissez ABC mener le combat face à ABO, il fera mieux que vous. Vous savez ce que vous avez semer pour que nous soyons là aujourd’hui. Dieu rendra à chacun selon son travail.
Pure Startegie Politique
Nzouba ne sera jamais le prochain president que nous attendons tous.
Son seul positionnement en pays Nzebi c’ est d’ affaiblir Ali au cas ou sa candidature serait acceptee.
J’ emettais deja l’ idee comme quoi pour vaincre le PDG et Ali, il fallait 3 candidats de l’ opposition>
Un Fang pour le Nord, Un Miene pour le centre et un Nzebi au sud.
Les FANG ont un peu brule les etape en se mettant derriere PING
Le tour est joue et Ali peut dire aurevoir au palais
« … lorsque nous devions examiner les candidatures. Il y en avait dix. Et sur les dix, il y avait un nombre important de candidats qui étaient d’ethnie Fang. Ma décision d’appuyer activement la candidature d’Ali Bongo a fait dire à certains que j’étais anti-Fang…. » Vous étiez combien à soutenir tel ou tel candidat? Voilà vraiment la preuve par la règle de trois que vous avez dit et soutenez TSF
Mais puisque je vous dis que tous avaient choisi Ali, en dehors d’Adiahénot qui s’était abstenu.
Mais ils s en doutent mon frère. Tu ne l as pas encore compris?
Le pays est dans une impasse, prêt a exploser, mais se qui m’inquite plus, c’est la légèreté assourdissante avec laquelle nos pères et nos grand peres réagissent… Que des bassesses, du bruit et rien d’autre… Mon Dieu sommes nous donc tout seul face à ses assassins?
Le vieux avec tout le respect, vous n’avez pas encor atterri, le sol est encor loin en bas, tellement vous étiez tout en haut. Nous on ne souffre pas depuis 2009, on a toujours souffert.
Si la lucidité revient maintenant, Dieu merci, ça fait un problème en moins. Mais de grâce, détourne/pas détourné, TSF ou pas…. c’est pas notre problème. Vous savez pourquoi vous quittez le navire, notre priorité cest d’améliorer nos conditions de vie… Aussi simple.
bien dit, le plus important est de savoir quoi faire et comment faire
il vaut mieux parler en image, car l’orthographe et la grammaire sont à désirées
Je crois que l’heure n’est pas à « qui est gabonais tribaliste ou qui ne l’est pas ». L’heure est d’abord à la mise en place d’une stratégie de la victoire du peuple. Ensuite, les griefs faits aux uns et aux autres seront implacablement traités, et le Gabon mettra en place une nouvelle politique d’accès aux cabinets ministériels (cabinets techniques et cabinets politiques). Je suis persuadé que la culture des choix par la « vassalisation » comme cela se fait jusqu’à présent, avec la prégnance familiale, tribale, ethnique, devrait connaître une réelle inflexion.
Tout ceci procèdera de la volonté des futurs dirigeants du Gabon.
Parlons des éléctions à venir et la triche que compte organiser Ali et son PDG. Ndzouba sait très bien que depuis Bongo père nos frères du Congo et du Cameroun ont toujours voté pour le compte du PDG. A moins que la méthode ait changé,mais de ce que je connais, cette fraude est organisée avec le concours de la DGDI qui octroie aux frontaliers des passeports valables 6 mois. Il s’agit en général pour le Haut Ogooué des Tékés,Mbérés(Obamba) et Zébis, de la Nianga,(Vilis) de la NGounié(NPounous)de l’Ogooué Lolo( Zébis, Puvi) et de de l’Ogooué Ivindo(Kotas, fangs) pour le simple fait que que ces langues sont parlées de part et d’autres des deux pays.
La même opération se fait aussi du côté du Cameroun et la Guinée Equatoriale( fangs) moyennant CFA.
Dites vous bien que cette méthode est l’apanage des politiciens du congo, du Cameroun du Gabon qui importent toujours du bétail électoral à chaque occasion pour venir gonfler leur électorat.
Pour mieux surveiller ce phénomène pendant les élections, il serait intéressant qu’en plus de son passeport ou CNI, que chaque electeur présentât son acte de naissance à l’entrée de chaque bureau de vote pour vérifier que chaque électeur est bien Gabonais. Ce n’est qu’une proposition.
Il rentre dans le système en 1975 en 1997 jusqu’en 2016 président de l’assemblée nationale c’est à quelque mois de l’élection présidentielle qui vient dire qu’il ne reconnait plus le président actuel c’est juste de la trahison c’est un lâche traite
pour une fois laisser le peuple choisir son président et pour cela nous espérons que l’opposition mettra vraiment en place des strategies contre la fraude élètorale et évitera le trucage des votes..sauver se pays qui se meurt
Après avoir asséché les caisses de l’assemblée nationale pendant 19 ans,tu enleves ton corps
Même si Ali est impopulaire,saches que vous aurez des comptes à rendre aux gabonais concernant l’argent du gabon.