Naissance de «Héritage et modernité» : L’épreuve du feu pour Ali Bongo
Il pensait tout contrôler, tout maîtriser. Il croyait en finir facilement avec les ténors de son parti pour créer une nomenklatura qui lui serait toute dévouée. Le voilà confronté à une inédite fronde interne.
Il était convaincu d’agir à bon droit, sûr de tout maîtriser, tout contrôler, de pouvoir en imposer à tout le monde en toute circonstance. Ses proches minimisaient tout, balayaient toutes les remarques d’un revers de main. Parti, argent public, administration publique, institutions, armée et même pays amis : Ali Bongo pensait disposer de tous les soutiens, maitriser tous les leviers du pouvoir. Et pourtant, sur le front politique, le pays s’est progressivement enlisé dans un climat de «guerre civile froide», marqué par une impossibilité d’établir une quelconque discussion constructive entre l’opposition et la majorité au pouvoir. Sur le front socio-économique, le mal-être des populations se fait de plus en plus visible et tous les chantiers d’infrastructures sont à l’arrêt. Raillé sur son état-civil à controverse (lire par ailleurs ««Affaire Péan» : Quand l’opposition raille la majorité»), empêtré dans les révélations sur la pieuvre Delta Synergie (lire par ailleurs «Suite aux révélations sur Delta Synergie : L’idéal démocratique et républicain en danger»), le voilà confronté à une dissidence interne à son parti politique (lire par ailleurs «Présidentielle 2016 : Des élus et cadres PDG pour la tenue d’un congrès extraordinaire»).
Prime au perdant et second couteau
Dans la révolte de certains élus et cadres du PDG, le fond du débat réside dans… la gouvernance d’Ali Bongo (lire par ailleurs «Gouvernance Ali Bongo : La contestation jusque dans les rangs du PDG»). Tout au long des six dernières années, le principal écueil à la réussite d’Ali Bongo aura été… Ali Bongo. Rétif à toute opinion dissidente, voulant tout changer pour ne rien changer, si peu enclin à s’entourer des poids lourds de son parti, il a laissé le sentiment de ne travailler qu’avec des affidés. Désireux de se constituer une nomenklatura à lui, il a donné l’impression de vouloir tout régenter par décret et de ne jamais reconnaître les mérites ou sacrifices des siens. Sa gouvernance pourrait lui coûter cher. Très cher. Trop cassant, trop direct, trop enfermé dans ses certitudes, trop replié sur un cercle réduit, pas assez empathique, pas assez manœuvrier, pas assez ouvert, pas assez compris des membres de son parti. Les députés en sont encore à s’étonner de ce rendez-vous manqué avec le bureau de l’Assemblée nationale, motivé par un voyage à l’étranger. Les sénateurs ne se remettent toujours pas du choix porté sur un second couteau pour diriger une institution aussi prestigieuse. Les ministres, actuels ou anciens, interrogent sans fin la légitimité du directeur de cabinet du président de la République, cherchant à comprendre pourquoi doivent-ils en référer à lui ou lui rendre compte.
Goutte à goutte, ces petits riens ont creusé la roche, laissé une marque indélébile au sein de la famille PDG. Le vaudeville ayant entouré la désignation de l’actuel maire de Libreville a définitivement édifié de nombreux militants : l’arrivée de la huitième sur une liste battue à la tête du Conseil municipal de la capitale a renforcé certains dans l’idée que quoi qu’ils fassent, jamais leurs mérites ne seront reconnus, jamais leurs efforts ne seront récompensés, qu’il y aura toujours une préférence pour les membres du «clan» ou pour les personnes dont on ne peut redouter une quelconque autonomie de pensée et d’action. Aujourd’hui, de nombreux militants PDG sont convaincus de l’inanité du travail de terrain. Considérant la légitimité, le soutien constant et renouvelé de la base comme le fondement de la force d’un leader politique, ils ont du mal à donner du sens à cette sorte de prime au perdant, à ce refus de traiter les individualités selon leurs poids politiques.
Au hit-parade des responsabilités, Ali Bongo caracole en tête. Depuis son accession à la présidence de la République, il a fait son choix : la rupture à tout prix avec les personnalités de l’ère Omar Bongo Ondimba. Les ténors du PDG n’en finissent plus de tomber les uns après les autres. Simplice Guédet Manzela, François Engongah Owono, Paul Toungui, Laure Olga Gondjout, Richard-Auguste Onouviet, Idriss Ngari, Honorine Dossou Naki, Jean-Norbert Diramba, Angélique Ngoma, Georgette Koko… : ils sont nombreux à être passés à la trappe, à ne pas avoir obtenu ce à quoi ils étaient légitimement en droit de s’attendre ou à avoir été victimes de traitements peu valorisants voire dégradants. Sans doute, Ali Bongo pensait-il s’affranchir des barons de son camp en les écartant du jeu ou en essayant de réduire leur influence ? Totalisant, près de trois décennies dans les arcanes du pouvoir, il a pourtant assez d’expérience pour savoir que la politique se joue surtout face au peuple, sur le terrain et pas uniquement dans les arrangements d’arrière-boutique ou combinaisons administratives et institutionnelles.
Garants du bongoïsme originel, continuateurs du président-fondateur
Ali Bongo sera inévitablement le principal perdant d’une implosion du PDG. Cette assertion, il doit en avoir conscience. Combattu par une opposition consciente de la nécessité de préserver son unité, cloué au pilori par une société civile pugnace, il ne peut se permettre le luxe d’un front intérieur. Certes, il peut compter sur le soutien du Mouvement gabonais pour Ali Bongo Ondimba (Mogabo) ou de l’association Renaissance. En revanche, les institutions ne peuvent lui être d’aucun secours à ce stade. L’armée non plus. Pis : au regard du nombre d’élus engagés dans cette opération, les oukases et menaces d’excommunication seront nécessairement contreproductives. Peut-on valablement songer à exclure toutes ces personnalités sans créer un véritable séisme au Parlement voire dans de nombreux conseils départementaux et municipaux ? Peut-on prendre le risque de provoquer des législatives et locales partielles en plusieurs endroits sans ébranler tout l’édifice partisan voire toute la mécanique institutionnelle du pays ?
Déjà, en revêtant, pour la plupart, le pagne du PDG à l’effigie d’Omar Bongo Ondimba, les initiateurs de «Héritage et Modernité» ont décidé de se poser en garants du bongoïsme originel, en continuateurs du président-fondateur de leur parti. Une manière subtile de dénier ou de disputer à leur «distingué camarade» le statut d’héritier et de reprendre à leur compte la marque PDG. Manifestement, Ali Bongo ne peut traiter ce cas par-dessus la jambe ou en proférant des menaces. Désormais, il doit s’ouvrir davantage, aller au-delà de son premier cercle, voire de son parti. En clair, seule une véritable concertation nationale peut lui permettre de refaire l’unité de son parti autour de lui. Autrement, ce sera la chienlit et l’implosion, avec tous les risques sous-jacents, à quatorze mois d’une présidentielle de toutes les incertitudes. A un acte politique, Ali Bongo doit répondre par l’action politique dans toute sa finesse. Pour lui, c’est l’épreuve du feu, en somme. Entretemps, il pourra toujours méditer cette maxime de Raymond Aron : «En politique on ne choisit que ses ennemis, on ne choisit pas ses amis»…
0 Commentaires
ALI est incapable de comprendre le pourquoi d’une telle fronde .
Nous assistons a la longue agonie du PDG .
Pour ma part , je reste convaincu que le moment n’a pas été choisi au hasard , la rentrée prochaine nous offrira la seconde étape de ce décollage inédit …..!!!
laver la tête du singe c’est gaspiller le savon
Vous ne pouvez pas changer Ali, il peut prendre tous les conseillers en communication de France et de Navarre, cela ne changera strictement rien à son comportement.
Attendez de voir sa réaction face à cette fronde, des têtes vont tomber!
rien à foutre! c’est un groupe des vieux lâches à la recherche de la caronnette. lorsqu’on n’est plus d’accord avec quelqu’un on prend ses distances et va s’exprimer au lieu de pleurnicher comme des gamins et affirmer encore sa loyauté au distingue camarade. espèces de poltron.
Tres objective analyse de Roxanne. La fronde des modernisateurs est symptomatique d’un système qui a privilégié la théorie de l’enfermement au profit d’un groupe qui avait déjà averti par Onanga Y Obegue a franceville ne voulant pas faire du vieux avec du neuf. En clivant ainsi les rapports au sein de leur parti sans que le chef ne sache faire la part des choses, cela a naturellement emmené les autres à refuser de n’être que des faire valoir face à des gens sortis de nulle part pour venir s’enrichir scandaleusement sur le dos des Gabonais. Accrombessi détourne et fait des placements financiers à l’étranger avec les fonds de l’Etat, Liban Soleiman en fait de même en étant le pourvoyeur des grands événements à très grands frais, Otandault le DGB se pavane en Rolls Royce noir (0-69339) à Paris et coûte à l’état des centaines de millions pour ses seuls billets d’avion entre Libreville et Paris pour y retrouver sa famille tous les week-end etc. Là aussi les modernisateurs ont t-ils tort de parler? Mapouya êtes vous Gabonais? Ou habitez vous?
Roxane a bien dit,le problème d’Ali c’est Ali lui-même car il n’a pas la capacité et la hauteur pour la gestion d’un pays.c’est un acte de bravour posé par les élus PDG.
Gabonreview en lisant votre article j’ai l’impression que vous êtes le porte parole de ce groupe de frondeur. Le Président a encore le droit de mener sa politique comme il l’entend quitte à en tirer,lui aussi, les conséquences.
« l’arrivée de la huitième sur une liste battue à la tête du Conseil municipal de la capitale a renforcé certains dans l’idée que quoi qu’ils fassent, jamais leurs mérites ne seront reconnus, jamais leurs efforts ne seront récompensés, qu’il y aura toujours une préférence pour les membres du «clan»…
« …Aujourd’hui, de nombreux militants PDG sont convaincus de l’inanité du travail de terrain. Considérant la légitimité, le soutien constant et renouvelé de la base comme le fondement de la force d’un leader politique, ils ont du mal à donner du sens à cette sorte de prime au perdant, à ce refus de traiter les individualités selon leurs poids politiques… »
Romain Blachier nous disait:
» Les régimes qui fonctionnent au népotisme militant finissent mal. Ceux qui s’abstiennent trop de l’engagement ne font plus de politiques »
Au GABON , les leaders doivent devenir des « connecteurs » entre les personnes et les idées. Taire la question, dissoudre la vraie opposition ou les courants dans un parti, créée une vraie crise d’intelligence dans la compétition politique car, la diversité des voix et l’expression de points de vue nouveaux,sans la restriction imposée par les frontières classiques de la dictature, de la fonction,de la hiérarchie,de la discipline du parti,de la technologie,de la permanence et du lieu géographique jouent un rôle de plus en plus important dans l’établissement de la stratégie d’une société globale et locale.
Dans un environnement instable et incertain, une des mesures les plus importantes qu’un leader puisse prendre est d’aider son organisation à dégager les bonnes questions au bon moment. Une de leurs principales responsabilités consiste à créer des infrastructures de dialogue et de participation qui encouragent les autres, à tous les niveaux, à élaborer des questions pertinentes et à rechercher des démarches novatrices et pas jeter l’opprobres sur les autres. Il est aussi indispensable que les leaders envisagent de créer des systèmes de récompenses qui encouragent les membres de l’organisation à sortir du cadre des frontières organisationnelles pour découvrir le type de questions incisives qui créent un objectif commun et des connaissances nouvelles.
Il est temps d’accorder une grande valeur aux questions qui ouvrent « nos portes fermées «, car une question non posée est une porte fermée sur l’avenir. Un système vivant évolue en acquérant une identité cohérente, en établissant des connexions au sein de réseaux complexes de rapports et en assurant une large diffusion de l’information dans l’ensemble de l’organisation. De la même manière, les systèmes humains évoluent naturellement dans le sens des QUESTIONS qu’ils soulèvent.
Il incombe à chacun de bien voir la manière dont l’art et l’architecture des questions efficaces peut aider notre Partie à déterminer la voie qu’elle suivra à l’avenir, et d’utiliser des processus, des outils et des technologies qui appuient cette évolution. C’est en effet la seule façon pour les organisations de pouvoir cultiver à la fois les connaissances requises pour assurer son succès politique, économique immédiat et la sagesse dont elle a besoin pour s’assurer un avenir durable.
Pour ma part je vois pas de crise mais un moyen d’affinés nos forces le plus tôt avant d’entrer dans la bataille, car nous avons tous un même candidat
………..nous avons tous un meme candidat . Dis tu !
SI NOTRE CONDITION EST BASSE LA FAUTE N’EN EST PAS A NOS ETOILES, MAIS A NOUS MEME……….
… La maison est endormie, rien ne bouge, même la nuit semble s’éterniser……
… on ne naît pas mauvais, on le devient !
SHAKESPEARE !
Gabonreview ne fait pas du favoritisme et n’est pas le porte parole de quelqu’un . Alors à arrêter de dire des bêtises. Quand on a rien a dire on la ferme.
Je crois que ce peuple est quand même terrible; on a longtemps pleurniché qu’il y avait trop de vieux qui occupaient des places auprès du PR maintenant qu’il fait place aux jeunes, ce même peuple n’est plus d’accord. Mais nous le soutenons toujours pour ses actions que ça plaise ou non à ces vieux pour qui j’ai du respect, ils peuvent d’ailleurs se reposer tout en donnant des astuces aux jeunes qui les remplace. C’est comme ça que ça fonctionne.
Quoi d’étonnant ! A l’époque où OBO règnait en maître absolu, Alain avait déjà créé un courant au PDG. Ce type a la phobie des anciens ( surtout des vieux ) comme si lui aussi ne vieillit pas. A cette allure,le pays risque de connaître une paralysie sans précèdent. Enfin……..
Je soutiens en partie l’analyse de Ditsona. C’est en fait la matérialisation d’un vieux conflit qui s’est révélé lors de la tenue de la Conférence nationale avec deux tendances au sein du PDG : d’un côté les « Caciques » et de l’autre les « Rénovateurs ». Seulement, les choses ont évolué. Ali est Aujourd’hui Président de la à République et Président du Parti. Le MOGABO qui évolue aujourd’hui (avec la bénédiction d’Ali) proche de l’ancien courant des à Rénovateurs a pris le risque de défier les « anciens » du PDG qui eux ont l’avantage de maîtriser le terrain politique.
À mon avis, Ali rêve debout s’il estime qu’il peut remporter la prochaine présidentielle dans ces conditions. Que valent les Bile bi Nze, Onanga Y ‘Ombegue, Moubelet, Mekamne…pour convaincre les Gabonais de soutenir une politique de l’Emergence en panne et engluée dans des contradictions les plus flagrantes? Allons y à l’essentiel: pourquoi ces derniers ne créeraient-ils pas un parti présidentiel et laisser le vieux PDG avec ses anciens? Je crois qu’Ali n’a certainement pas la donne politique. Rien n’indique qu’il soit en mesure de relever le défi de l’élection présidentielle de 2016. Je suis par contre convaincu qu’il le sait .La France aussi y compris l’Opposition gabonaise. Après on rentre dans le cercle des « initiés » qui ont l’art de combiner leurs intérêts partisans avec les illogismes …,. toujours au détriment du petit peuple..
Et pourtant, tout peuple est considérable, considérable.
Vraiment je ne pensais pas les gabonais aussi naïfs que cela. Un bonhomme Barro silencieux quand il bouffait au gouvernement se réveille pour dire qu il est le défenseur du peuple de la prospérité des gabonais. Mais diantre pourquoi n avoir pas défendu ces points vue quand il était au gouvernement ?
Maintenant dites que retient on de Barro dans ses passages au niveau des différents départements ministériels?
Acte de bravoure pour ces hiérarques. reste maintenant qu’ils tiennent jusqu’au bout, car, la finalité c’est amener leur distingué camarade à revoir les choses dans le bon sens et susciter le développement du pays par tous.
Pour la vie démocratique de mon pays, je m’en réjouis de ce courant dans le PDG.
Mais en ma qualite d’emergent, ententez bongoiste, je suis inquiet. Car le développement du moins la construction d’un pays est differente de la conquête du pouvoir ou sa conservation.
Ça me permet de dire aux gens de mon camp de faire attention à erreur politique. Les anciens ont montrés leurs limites, mais je crois qu’ils nous sont nécessaire pour 2016.
De plus, le discours de changement de méthode me semble incompatible avec les agissements de certains.
Pour finir j’attire l’attention de mon champion. Monsieur Ali Bongo, de ne pas faire distraire ses grandes ambitions pour notre pays. lesquelles ambitions ont persuadées des gens comme moi. Par des gens dont les valeurs sont beaucoup moins élevées. Ce qui risque de compromettre le projet d’émergence.
Moussavou EYI,
Je passe sur le premier paragraphe , je vais m’amenuiser sur le dernier.
Tu te declares emergent , moi je suis Gabonais simple ( donc partout ou le gabon est caliné, pouponné…)
Tu dis que ton champion c’est celui la
moi je te dis que le mien c’est MOUKAGNI IWANGOU.
Mon champion met KO le tient .. il est né a mouila, habite akanda, il veut repondre de ses actes , il a echappé a un empoisement…
Tu viens nous traités de gens de pas de valeurs, ou moins elevées,
MY HO MY , c’est quoi les valeurs dont il est question dans ta tete?
Oui, nous n’avons pas de valeurs, parce que :
– nous vivons de notre labeur
– nous ne mentons pas
– nous ne voulons pas regarder nos freres en chiens de faïences
– nous ne voulons pas travestir les us et coutumes de notre pays
– nous aimons notre pays et voulons sont developpement
-…..
– nous voulons preserver le pacte republicain
Et vous , vous avez de la valeur, par ce que :
– vous vous imposez de force
– vous detruisez notre communauté de destin
– vous importez les coutumes que nous ne connaissons pas
– vous prenez les gabonais pour du gibier
– vous prenez le budget de l’etat pour acheter des glaces
– vous ne respectez pas les vieux
– vous endettez les generations futurs sans arret
– vous etes entrain de ternir l’image du gabon dans le monde
– …..
SI NOTRE CONDITION EST BASSE LA FAUTE N’EN EST PAS A NOS ETOILES, MAIS A NOUS MEME……….
… La maison est endormie, rien ne bouge, même la nuit semble s’éterniser……
SHAKESPEARE !
Yo AZOTH ! it takes a nation of millions 2 hold u back !!!
We are all in the gutter, but some of us are looking at the stars. [Nous sommes tous dans le caniveau certains regardent les étoiles] Oscar Wilde
M.moussavou Eyi si tous les gabonais pensaient de la même façon que vous je suis sûr que notre pays d’ici 2030, changera dans tous les plas, votre raisonnement est celui d’un citoyen qui sait faire l’analyse de manière equilibrée. Pas ceux qui passent leur temps à souhaiter le chaos du PDG ou du Projet du President.
Ces petits mouvements au sein du PDG , ils pensent rien qu’à leur propre INTERÊTS et non de la population, et le grand nombreux entre eux etaient déjà habituer à gaspiller des millions par jour et miliards par mois donc quand ils n’ont plus ses avantages du passé sous l’ere OBO.On rêve de créer des micros mouvements pour impressionner le president pour qu’il nomme les leaders des ses mouvements c’est ça leur objectifs de ces leaders.
Tu as une vision surannée de la politique, partant de la gestion d’un pays et des hommes.Tout pour toi se résume autour des postes et des intérêts,le pays va mal et toi tu refuses de voir la véracité des faits,c’est triste. Ce mouvement montre bien qu’il ya des intelligences au PDG et non seulement des fabriqués de votre acabit. L’évolution des choses prend une tournure irréversible pour votre champion et vous,réfléchissez et prenez des décisions qui s’imposent.
Ils ont fabriqué un monstre qui avait pour mission de garder les portes de leurs forteresses de richesses mal aquises. Dieu veillant, le monstre se retourne désormais contre ces créateurs et les dévorent les uns après les autres.
Chers dirigeants-usurpateurs, pensiez-vous sincèrement que cet homme, avec les qualités qu’on lui connait, vous ferez allégeance une fois devenu tout puissant roi du Gabon! De grâce, dorénavant, projetez-vous dans l’avenir, même les bêtes sauvages pensent à demain!
pfff heritage et modernité, ca me fait penser a amour gloire et beauté la serie moutouki des blanc, non les types s ennuis dans leur petite vie