La ministre de l’Éducation nationale a reçu, le 12 mai 2015, la nouvelle représentante de la Banque mondiale. La rencontre a porté sur les difficultés du secteur de l’enseignement.

Ida Reteno Assonouet et Sylvie Dossou, le 12 mai 2015 à Libreville. ©Lawson/AGP

Ida Reteno Assonouet et Sylvie Dossou, le 12 mai 2015 à Libreville. © Lawson/AGP

 

La représentante de la Banque mondiale au Gabon a été l’hôte de la ministre de l’Education nationale. Au cours de cette entrevue intervenant dans le cadre d’un premier contact avec les autorités nationales, les échanges ont essentiellement porté sur la coopération entre le Gabon et la Banque mondiale. Il s’est essentiellement agi des moyens d’améliorer cette collaboration dans le secteur de l’éducation nationale. «Je suis ici pour d’abord mieux comprendre le secteur de l’éducation. Puis, voir comment on peut travailler un peu plus étroitement pour analyser davantage ce secteur qui me semble absolument important, et voir comment dresser les besoins y relatifs», a-t-elle indiqué.

Bien que renseignée sur le système éducatif gabonais, Sylvie Dossou a voulu mieux comprendre les raisons de la grève ayant récemment affecté le secteur. Elle s’est aussi interrogée sur les solutions intermédiaires mises en place pour atténuer le choc. La diplomate onusienne a marqué son intérêt pour la recherche de solutions efficaces aux difficultés du secteur en proie aux débrayages à répétition, aux phénomènes des salles de classe pléthoriques et à la problématique de la qualité de la formation. «Le Gabon a fait beaucoup de progrès qui concernent l’accès à l’éducation. C’est l’un des pays où on a des taux de scolarisation les plus élevés mais il en reste qu’il y a énormément de défis à relever, telles les questions du redoublement, la compétence, la formation des professeurs», a-t-elle souligné.

 

 
GR
 

8 Commentaires

  1. Pas Possible dit :

    de quel enseignement on parle au Gabon?

  2. Carl Nguema dit :

    Le gouvernement continue de réaffirmer son désir de satisfaire le domaine de l’éducation et de le rendre performant , je crois que ses efforts sont à saluer

  3. meradie ndossi dit :

    Pour une education forte et sans pertubation desormai

  4. Gaboma dit :

    Il est importa tant de noter que le président et son gouvernement multiplie des efforts pour que l’éducation sois moins perturbée . Et cette rencontre est à louer.

  5. THE WISE dit :

    Hormis pas possible, vous êtes tous des aliénés, vous trouvez normale qu’il ait des difficultés d’enseignement au Gabon, pendant qu’il n’y a aucune à s’offrir des chaînes de télévision internationale et des avions ? ça m’étonnerai que vous soyez de véritables gabonais, si c ‘est le cas, il vous manque cruellement de personnalité, et ça ne me surprend pas plus de la part des gabonais de votre catégorie.

  6. Kendal dit :

    Tout les moyens sont en place pour fortifier le secteur éducatif au Gabon

  7. Désiré dit :

    Quand on connait la discrétion pour ne pas dire la gene de la banque mondiale à s’immiscer dans les affaires intérieures du pays, cette démarche visant à vouloir comprendre ce qui se passe dans l’éducation nationale dans un pays aussi riche que le Gabon ressemble fortement à une mise à l’index, un vrai reproche sur la situation désastreuse actuelle. Ne croyez vous pas ?

  8. Jaboun dit :

    C’est intéressant de voir l’intérêt de la Banque Mondiale sur la question de l’éducation au Gabon

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