Gabon-USA : Le coup de main de Cynthia Akuetteh à l’association Dorcas

Dans le cadre du Programme spécial d’auto-assistance, l’ambassadeur des États-Unis près la République gabonaise, est allée, le 19 mars courant, faire un don de matériel à cette association d’action sociale dont l’activité consiste à aider la jeunesse à acquérir des compétences professionnelles.

 
Cynthia Akuetteh, a joyeusement répondu à l’invitation des responsables de l’association Dorcas, à Belle-vue 2 dans le 3^ème arrondissement de Libreville. Cet instant s’est traduit par la remise des machines à coudre cette structure dont l’activité consiste à aider la jeunesse à acquérir des compétences professionnelles. «Cette vision d’encourager l’effort, la fidélité, le goût de l’excellence, ce cœur qui va à la recherche de qui réconforter et relever, cette sensibilité de mère, ce sont là quelques caractéristiques qui vous révèlent comme une personne particulière qui ne suit pas des chemins tout tracés», a indiqué la représente de la directrice empêchée. «Merci d’avoir permis que chaque fille soit devant une machine ce qui favorise l’assimilation rapide l’enseignement», a-t-elle ajouté.

Le dévouement et la détermination de l’association à travailler pour l’amélioration des conditions de vie de la communauté n’ont pas laissé la diplomate américaine insensible. «Pour cette raison l’ambassade des États-Unis à Libreville vient d’ouvrir les candidatures pour le programme spécial d’auto-assistance de l’ambassadeur 2015», a confié Cynthia Akuetteh. Selon elle, chaque année, ce sont des subventions de l’ordre d’un à trois millions de francs qui sont accordées aux associations œuvrant dans les domaines de l’agriculture, de la protection de l’environnement, de l’éducation, de la formation professionnelle et plus généralement dans le développement.
En 26 ans d’existence, l’association Dorcas a formé et redonné espoir à plus de 2000 jeunes filles-mères et jeunes hommes grâce à des formations aux métiers de la coiffure, de l’esthétique et de la couture. Plus de 500 personnes ont suivi les cours d’alphabétisation et certaines ont été présentées au Certificat d’études primaires (Cep).