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La Conasysed en grève générale illimitée
A l’issue de son assemblée générale du 29 septembre dernier à Libreville, la Convention nationale des syndicats de l’Education nationale (Conasysed) a initié un mouvement d’humeur jusqu’à nouvel ordre.
- L’assemblée générale de la Conasysed, le 29 septembre dernier. © Facebook.com/marcel.libama
Alors que la rentrée des classes n’est toujours pas effective sur l’ensemble du pays, la Convention nationale des syndicats du secteur de l’éducation nationale (Conasysed) a décidé de décréter une grève générale illimitée. Réunis en assemblée générale le 29 septembre dernier à Libreville, les enseignants fédérés au sein de ce syndicat reprochent au gouvernement de ne pas respecter et appliquer les engagements pris lors des précédentes négociations de décembre 2013.
- Etablissement scolaire vide, le 30 septembre 2014 à Libreville. © Facebook.com/marcel.libama
Selon le délégué administratif de la Conasysed, cette grève a pour but d’«obtenir du gouvernement la construction de 400 salles de classes promises par le chef de l’Etat, le payement de la Prime d’incitation à la performance (PIP), la suspension immédiate de la transformation des écoles primaires en Collège d’enseignement secondaire, les vacations et le respect de tous les engagements du gouvernement». «Pour la Conasysed, avant d’envisager la rentrée de classe, les élèves et les personnels ont besoin de mesures immédiates», précise Marcel Libama, qui ajoute : «Les réformes sont un enjeu pour les élèves de la maternelle à l’université, pour leur famille et l’ensemble de la société, ainsi que pour tous les personnels de l’éducation. C’est pourquoi la Conasysed lutte pour une réelle amélioration de l’école publique pour tous et toutes».
La convention syndicale réclame, par ailleurs, des postes budgétaires pour près de 2000 enseignants du pré-primaire en poste depuis 15 ans et qui ne perçoivent à ce jour que 80 000 francs en guise de pré- salaire. Les enseignants exigent aussi la mensualisation de la Prime d’incitation à la fonction enseignante (Pife). Cette prime est normalement payée une fois l’année au mois de mai. Le versement des arriérés de salaires des certains enseignants en fonction depuis plus de 10 ans et l’épuration des primes de surveillance des examens d’Etat figurent aussi au nombre des revendications du syndicat.
Avant la clôture de l’année scolaire 2013-2014, la Conasysed avait déclenché une grève pour ces mêmes revendications provoquant une paralysie des établissements durant près de 2 mois. Le gouvernement avait finalement accepté de satisfaire les doléances des enseignants mais jusqu’à présent pas grand-chose n’a été fait, selon la convention syndicale. Reste à savoir qui sera l’interlocuteur des enseignants au sein du gouvernement vu que celui-ci ne compte toujours pas de ministre de l’Education nationale.
23 Commentaires
dommage que chaque année ns vivons les mme pb. cette fois ci n’accepter plus de promesse. attendez la satisfaction totale avant toute reprise des cours afin que l’école gabonaise retrouve ses lettres de noblesse. toutefois faite le nécessaire de signaler tout ls pb qi mine l’éducation au Gabon.s’il fau sacrifier cette année alors faite le!
Ah Libama wa banda?Abeyi ohhhh!!!djika mbana bè tchè likoli
Que le gouvernement defende les interets des jeunes eleves pris en otage par ces professeurs tous doctorats en Greve. La methode Reagan ou Tacher.
1)Declarez le lock-out de tous les etablissements publics
2)Virez les tous
3)Re-engagez les sur la signature d’un document stipulant que toute greve rend leur statut caduc.
Et que les Berets Rouges s’occupent des recalcitrants.
Par la meme occasion, que le Parlement vote un moratoire de 5 ans interdisant toute greve de toute nature sur le territoire Gabonais. Il y va du salut de ce pays.
#Le Petit Librevillois#, tu as raison, ensuite il faudra obliger tous les gabonais à adhérer au PDG, supprimer canal + et obliger tous les gabonais à suivre la RTG1. Le vote doit être obligatoire et tous les autres partis politiques supprimés. Seul ya ali doit se présenter. les Berets Rouges doivent traquer les jeunes filles qui portent des mini-jupes, les chômeurs et les faux étudiants que l’UN envoi dans la rue. Envoyer tous les jeunes gabonais dans l’armée pour faire disparaitre le chômage, les filles doivent être envoyées en mariage. Les prisonniers doivent être exécutés afin d’éradiquer le banditisme.Merci #Le Petit Librevillois# pour tes solutions. Tu es un génie
Bien dit ! le petit gabonais, on voit bien que tu vit au Gabon , un pays ou règne une dictature qui ne dit pas son nom, tu es un vrai petit gabonais qui trop souvent ne voit pas plus loin que le bout de son nez. Heureusement que l’espoir fais vivre et que ce règne prendra fin tôt ou tard que tu le veuille ou pas. nous d ‘ici la nous véhiculons le rêve que tous les gabonais ont des droits et que le gouvernement et ceux qui le dirige sont la pour garantir l’égalité de chance pour l’éducation de tous dans les meilleurs conditions!!!! Gabon d’abord et non plus moi même d’abord!
Je suis très d’accord avec la CONASYSED. Je suis parent d’une élève qui doit faire la Terminal D cette année, mais je déplore le niveau d’enseignement actuel au Gabon. S’il faut sacrifier une année pour mettre en place les réformes réclamées par les enseignants afin de rehausser le niveau d’études, je suis pour.
La médiocrité de l’enseignement depuis la maternelle, le primaire, le secondaire puis l’université est manifeste sur le marché du travail au Gabon. L’Administration gabonaise est gangrénée par des incompétents aux faux diplômes, c’est pourquoi le service public est nul et corrompu. Même dans les sociétés privées (surtout dans le Tertiaire) le service laisse à désirer. Tout cela est dû à la mauvaise qualité de l’enseignement et la formation reçus. Le système PDG a rendu le Gabon malade (d’où l’insulte : bête comme un gabonais). Il est temps de soigner ce cancer dont souffre le Gabon : aux grands maux, les grands remèdes !
Un seul mot PATHÉTIQUE. Puisse Dieu nous donner la force de trouver des solutions pour les générations futurs.
Le petit librevillois ne sais vraiment pas ce qu’il Dit. Le gouvernement gabonais reste tjrs loin des promesses qu’il fait six divers partenaires syndicaux et six travailleurs. A ce jour si le gouvernement ne se plie pas autant Que les cours ne reprennent pas non plus
Petit librevillois pauvre con
Petit librevillois tu as oublier que l’on doit éliminer tous les pauvres, pour qu’il n’y ait plus de pauvreté au Gabon,envoyer en exil tous les opposants et les chômeurs,un agent de béret rouge pour surveiller chaque famille et traquer quiconque oserait s’opposer au schéma actuel de la gouvernance chaotique du pays.Il y va du salut de ce pays. Je pari que tu n’es pas gabonais toi.Que Dieu te garde!!!
Moi aussi je pense qu’il n’est pas gabonais. Ce pays est celui que nous ont légué nos ancêtres, nous avons l’obligation de le préserver
Vive la paix sociale émergente…
Chaque début d’année c’est la même rengaine, vous nous fatiguez Conasysed! Comme toujours vous allez rentrer dans vos petits souliers et on terminera l’année tant bien que mal, parions!
Chaque année c’est la même rengaine, vous nous fatiguez conasysed! Vous allez d’ici là rentrer dans vos petits souliers et on terminera l’année tant bien que mal, comme d’habitude, parions!
Ce que tu dis est vrai Manondzo. Pourtant les revendications de la Conasysed sont légitimes et les parents d’élèves comptent sur les enseignants grévistes pour faire fléchir le gouvernement afin d’apporter les réformes nécessaires pour que l’Education nationale du Gabon retrouve ses lettres de noblesse. Mais la Conasysed finit toujours par rentrer dans ses petits souliers sans qu’il y ait eu la solution de leurs revendications.
Si Ali n’a pas construit les 400 salles de classes qu’il a promises l’année dernière, ce n’est pas d’ici décembre qu’il va le faire. Depuis que la Conasysed fait des grèves ç’a porter quelle réforme à l’Education Nationale ? Quand le SEENA de Ngoua Ngou et Bitouga avait fait grève, nous avons récolté les écoles dites « Ngoua Ngou ». Les enseignants de l’époque avaient tenu 7 mois sans salaires. Arrêtez de distraire la galérie et de prendre nos enfants en otage.
J’approuve la réflexion pertinente de L’assoiffé de vérité, s’il faut sacrifier une année blanche pour mettre en place les réformes pour le biens de nos enfants, moi aussi je suis d’accord. On ne fait d’omelette sans casser les oeufs.
Chaque année la même rengaine, vous nous fatiguez conasysed; comme d’habitude vous allez rentrer dans vos petits souliers et on terminera l’année tant b que mal, parions!
ce qui me fait le plus mal dans les décision de la conasysed ses que j ai l impresion que ses dernier non meme pas d enfants bien que leurs revendication soie légitime mes je m indigne du raisonnement que ses dernier adopte mes enfin on veux apprendre meme dans nos todis ses kw
Vous avez tout à fait raisons les gars et les filles. Trop de promesses non tenues, trop de belles paroles, trop de maquettes. Une bande d’incompétents incapables de gérer un petit million 600 mille habitants avec quelque petits milliers de fonctionnaires, avec tout le fric qui rentre et qu’Ali et son staff détournent. Je n’ose même pas imaginer la catastrophe si le Gabon comptait 5 ou 10 millions d’âmes. Défendez haut et fort vos droits jusqu’au bout, jusqu’à la mort.
Je préfère un pays dirigé par un dictateur pour mettre le peuple au pas le pays comme le notre et mettre ses leaders des syndicaux en prison vous bloquer le pays.
Regardez un pays comme le CUBA ou le président n’accepte pas la barbarie que les gens font au Gabon grève grève .La dictature a permis au pays d’avoir les meilleurs médecins au monde.le taux de scolarisation 100%.Et ses fonctionnaires n’ont pas des gros salaires.
En chine la même chose aujourd’hui c’est une puissance.le gouvernement est dure envers certaines pratiques comme grève.
Chaque année les mêmes réclamations les syndicaux aujourd’hui devenu les opposants.Pensez si les autorités du Gabon étaient des dictateurs comme les personnes de mauvaise foi le disent , certains n’allaient même pas faire des voyages en France aux USA ont vous bloquait à l’aéroport vous allez faire quoi?Il ne faut pas raconter les bêtises
Ses grèves donnent quels résultats l’échec au cep bepc, bac.Après les gens vont aller dormir à S.t Marie pour réclamer le bac.
Passe à la television pour demander ALI de mettre ces enseignants en prison pour la bonne marche de l’eduction au Gabon.
Avec une telle declaration tu seras le landemain ministre de l’enseignement c’est au lieu de venir ici raconter des betises..
Si tu savais quelle est la valeur de l’eduction tu soutiendrais les enseignants.
Comparaison n’est pas raison…….
pour réagir aux propos de JJ, je voudrais signifier que dans les pays que tu mentionnes,il n y a pas trop d’écart entre le peuple et les gouvernants. les détournements comme on le voit au Gabon sont prohibés. si tu pouvais savoir comment les parkings des ministères sont renouvelés chaque années, tu ne tiendrais pas ce genre de discours.la construction d’une marina est elle aussi indispensable les 400 salles de classes menties par le gouvernement? JJ, dis nous que le terrain de Golf est une priorité, ou bien le marathon, les grosses cylindrées avec plaques bleues etc. si c’était le président de la CENAP qui avait démissionné, on n’aurait pas attendu tout ce temps pour le remplacer. Ceci pour dire que vos priorités sont ailleurs. Idem pour la cours constitutionnelle.
faux acte de naissance=> fausse éducation (meme la musique dont il voulait faire sa raison de vivre il était nul y à qu’ écouter les navts bongo c’est l’ami de giscard giscard et l’ami de bongo) => faux diplomes => faux profil => faux résultats de l’élection => mis à part que vrai vol qu’éffectuent sa clique et lui qu’ y a t-il de vrai dans ce type ???? Ce type vit dans un mode parralele peuplé de préocupations qui n’est sont pas 400 classes c quoi pour le Gabon lui aussi.Pauvre Gabon…