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A propos de projet de société: Victor N’diaye, un marionnettiste dans l’ombre d’Ali Bongo
Comment et pourquoi le P-DG du cabinet Performances Management Consulting, concepteur du Plan stratégique Gabon émergent est devenu incontournable dans l’entourage présidentiel.
- Victor N’diaye (en boubou blanc derrière à l’extrême droite) lors d’une visite du chantier du barrage du Grand Poubara en février 2014. © Presse présidentielle
Il a dirigé la rédaction de son programme de gouvernement. A la tête du cabinet Performances Management Consulting Victor N’diaye a livré à Ali Bongo un programme clef en main. Même si, à l’épreuve des faits, sa mise en œuvre ne semble ni aisée ni opportune, le Plan stratégique Gabon émergent (PSGE) semble être devenu le vade-mecum si ce n’est la Bible du président de la République et de ses collaborateurs voire de l’ensemble des agents publics. C’est précisément parce qu’il est certain de disposer de ces éléments programmatiques que, durant son interview du 17-août dernier, Ali Bongo n’a pas hésité à accuser Jean Ping de ne pas avoir de projet. Une rengaine que ne manque pas de répéter à l’envi, voire jusqu’à l’écœurement, le porte-parole de la présidence de la République à chacune de ses sorties publiques, convaincu qu’il est de détenir un précieux sésame. «Le Plan stratégique Gabon émergent planifie la transition d’un pays exportateur de matières premières vers une économie diversifiée et durable, avec le développement à l’horizon 2025 d’un aménagement équilibré du territoire, autour de dix pôles économiques», explique, à ce sujet, Victor N’diaye.
- Victor N’diaye. © D.R.
Il ne faut pas se méprendre sur la vision et le sens politique ou stratégique de cet homme de 51 ans, diplômé des Hautes études de commerce (HEC) de Paris et qui a débuté sa carrière chez JP Morgan à Francfort. Ce n’est pas parce qu’il a travaillé dans une banque réputée qu’il peut développer les éléments programmatiques adaptés au contexte gabonais. Si, dans un entretien au site lesafriques.com, il décrit l’Afrique comme «le continent qui présente le plus gros potentiel de développement au regard de ses immenses besoins en infrastructures, de son grand potentiel de gain de productivité, de ses richesses en terres agricoles, de sa position privilégiée de carrefour logistique d’un monde globalisé, et de son marché appelé à devenir, durant ce siècle, le second marché de consommation de la planète», il n’en développe pas moins des lieux communs. Et quand il définit l’émergence comme «le développement d’un important tissu d’entreprises, d’une classe moyenne aisée, instruite et exigeante (…), l’éradication de la pauvreté, avec des activités génératrices de revenus et des politiques ciblées d’aide, (…) la construction d’infrastructures d’intégration dans les transports, l’électricité ou les télécommunications, pour permettre l’érection de grands marchés régionaux», il fait dans le truisme.
Conseiller spécial d’Ali Bongo, Victor N’diaye était censé traduire ’’L’Avenir en confiance’’, projet de société de celui qui n’était encore que le candidat PDG à la présidentielle anticipée d’août 2009, en composantes, elles-mêmes déclinées en activités avec un chronogramme de mise en œuvre. «Vu que la candidat avait ramené la gestion d’un Etat à la mise en œuvre d’un programme de développement, sa mission était celle d’une formulation de projet classique. L’Avenir en confiance avait, en quelque sorte, identifié les problèmes, enjeux et piliers de la stratégie, il ne lui restait plus qu’à la décliner», commente un analyste de projets, poursuivant : «Au lieu de cela, il s’est lancé dans la formulation d’une multiplicité de plans sectoriels, pas toujours articulés», avant de trancher : «Je ne suis pas surpris que ce fameux PSGE soit en réajustement permanent, la version de juillet 2012 semblant la moins théorique et aussi la moins fumeuse». Et de s’interroger : «Comment peut-on parler de développement d’un pays sans penser aux réformes institutionnelles et structurelles ! Comment peut-on recommander la transformation d’administrations centrales en établissements publics sans se rendre compte que cela induit de graves modifications institutionnelles voire un changement de régime dans le cas d’entités rattachées à la présidence de la République».
Sur un plan purement stratégique, Victor N’diaye n’a cessé de gagner en influence. Si son compère Mactar Sylla est aujourd’hui l’un des gourous de la communication présidentielle, le représentant local de son bureau d’études, Kristine Ngiriye, est le véritable coordinateur général duBureau de coordination du suivi et d’évaluation du Plan stratégique Gabon émergent. Certains lui attribuent même l’exfiltration vers le gouvernement de Pacôme Moubelet Boubeya avec qui, dit-on, elle ne voulait plus travailler, le jugeant «pas à la hauteur de la tâche». «Elle se plaignait de tout faire, y compris de concevoir les ordres du jour des réunions du Bureau de coordination du PSGE», explique un fonctionnaire international familier des coulisses, ajoutant : «Elle disait à qui voulait l’entendre que Moubelet ne faisait rien, qu’elle n’avait jamais de retour quand elle lui envoyait un document pour avis et amendements».
Capacité d’adaptation
Victor N’diaye est certainement le plus discret et le moins médiatique des conseillers ou proches d’Ali Bongo que l’opinion désigne sous l’appellation ’’légion étrangère’’. Il passe inaperçu, mais cela ne le dérange pas de faire la leçon ou donner un cours magistral à l’ensemble du gouvernement. Il est peu expansif mais n’est nullement gêné de voir le président de la République et le Premier ministre prendre des notes durant son exposé. «Il n’est plus concevable, après ce séminaire, pour le gouvernement conduit par le Pr Daniel Ona Ondo, de suivre une marche aléatoire. Vous ne pouvez plus être victimes des circonstances», avait d’ailleurs lancé Ali Bongo au terme du séminaire gouvernemental de Franceville en février dernier, comme pour rendre hommage à son travail.
Derrière une apparence de technocrate, le P-DG de Performances Management Consulting est un prestidigitateur, un radoteur. Peut-être, une déformation gardée de son passage dans une banque qui a déjà essuyé un procès pour «pratiques inéquitables et trompeuses» ? Outre le Gabon, il a réussi à vendre le même produit à la Commission économique des Etats d’Afrique centrale (Cemac), au Bénin et au Tchad. Il est de ceux qui font croire que l’économie dirige la politique alors que c’est le politique qui décide et guide l’économie. Là où d’autres militent pour des partenariats public/privé, il continue à défendre l’idée que «les sociétés publiques peuvent être bien gérées». Stratégiquement cela se comprend, ses principaux clients étant des Etats.
Caution technocratique d’Ali Bongo, Victor N’diaye boit du petit lait. Depuis 5 ans, tout baigne entre son client et lui. «Sa capacité d’adaptation, la facilité avec laquelle il intègre tout dans le PSGE est un atout pour lui», explique un ancien journaliste au quotidien L’Union, qui précise : «La rapidité avec laquelle il a intégré des activités telles que le Plan climat, le plan d’affectation des terres, les bilans carbone ou le Gabon bleu dans son discours est aussi étonnante que révélatrice». Tout ceci explique pourquoi il n’a jamais fait de vagues et comment il a pu s’enraciner dans l’entourage présidentiel. A l’analyse, il n’a pas de quoi regretter. Tant qu’Ali Bongo sera à la tête du Gabon, ilsera assuré d’avoir un client, qui paie en plus. Et ça, c’est bon pour les affaires….
34 Commentaires
C’est ça la democratie que certains parlent d’accuser les expatriés de tous les niveaux ce n’est plus ACCROMBESSI ,la vous voulez mettre votre sorcerie sur N’DAYE? Des constateurs eternel, pas des propositions ou projet. Voila nos ministres qui ne sont pas des expatriés que vous parlez parlent des primes.
Il y a eu à peine une vingtaine de commentaires. Mais quand c’est le sujet qui parle d’Ali , Ping ou collaborateurs du president il faut voir les commentaires de tout genre parfois aucune proposition,seulement les critiques non construtives.
Pourquoi les gens ne font pas des critiques à cause des profs expatriés qui enseignent au Gabon ou medecins? Toujours quand c’est les postes politiques ou les gesn gagnent facilement les millions , il faut voir les critiques.
Pour ceux qui ne sont pas bien informé Bill Gate le patron du Microsoft a mis un indien Steve Ballme à la tête de son entreprise à cause de sa compétence il n’a pas mis un americain. c’est ça le monde globalisé.
M.jeanjacques, à vous lire je me demande bien si vous prennez souvent le temps d’analyser le propos des autres ou si vous parlez juste parce que le seigneur nous a donné des bouches? Essayez de mettre en activité votre matière grise, car quand vous parlez de Bill Gate qui confie la gestion de son « entreprise » à un indien, vous faites mains et pieds liés un hors sujet volontaire, mettez vous juste dans la tête que la gestion d’un pays n’a strictement rien à voir avec celle d’un pays, surtout arrêtez de mal interpréter les lignes, hein JeanJacques..
Mon cher Jean-jacques, vous vous plaignez de ceux qui critiquent, pourtant vous les critiquez. N’est-ce pas contradictoire ? Bref.
Je vous juste vous rappeler que comparaison n’est pas raison, et qu’en mettant une entreprise privée (Microsoft)appartenant à un individu (Bill Gate)à coté d’un pays (Gabon) appartenant à environ 1 350 000 individus (Gabonais) vous vous mêlez les pédales. Pendant que vous y êtes, pourquoi ne proposez-vous pas que n’importe quel citoyen de n’importe quel pays soit candidat à la présidence de n’importe quel pays, au nom du monde globalisé ?
Parfois il faut se relire ou s’enregistrer pour s’ecouter, ca permet de realiser qu’on est hors sujet et de se retracter….Microsoft n’appartient pas à l’etat…c une entreprise privée…Quand on a aucun argument valable, on fait tjrs mieux de se taire au risque d’étaler nos dangereux manquements en terme de logique, de personnalité, de convictions et de principes….
monsieur!microsoft c’est la société de bill gate!alors que,le gabon c’est un état,qui n’estpas la propriété d’ali bongo!apprenez à bien maitriser vos sujets quand vous internenez!merci!
Donc la légion étrangère compte d’autres personnes cachées. Je ne connaissais ni ce Ndyagne, ni le Mr Sylla mentionné dans cet article. Les Bongo ont toujours été enclins à faire confiance au moindre bluffeur venu d’ailleurs, sans doute parce que père et fils ils n’ont pas été bien loin à l’école. Y a tout plein de cabinets au Gabon, tout plein d’experts qui auraient, sur la base d’un brainstorming gouvernemental, produit un vrai plan de développement pour le Gabon que ce fumeux PSGE qui n’a rien donné que des dunes sur le bord de mer, tout plein de maisons casées dans les PK et qui fait que maintenant on organise tout dans les tentes comme chez les bédouins. Merci Gabon Review de nous apporter toujours un peu de lumière dans cette république de faimans.
vraiment celui qui a ecrit cet article critique juste pour critiquer meme pas de maniere constructive si il n’y avait pas eu de programes il aurait critiquer que se soit un etranger dont les competences sont reconu pas seuleument au Gabon mais aussi par une entite sous regional devrait le convaincre de la competences du pesronnage mais comme on est dans la critique bete mesquine et destructive on essaye de remettre en cause les competences d’un frere Africain qui travail sur le continent, quoi vous aurriez un que se soit un blanc comme ATIAS ? NON MERCI moi j’aurrais voulu que se soit un Gabonais mais meme sa je suis presque sur que vous aurriez trouver le moyens de remettre en cause ses competences. Si vous etes si competent et voulez apporter votre pierre a l’edifice aulieu de critique de maniere aussi negatif creer votre cabinet proposer une alternatif montrer vos references comme ce monsieur dont non seuleument son pays le Senegal (et vous n’allez pas me dire que le Senegal n’est pas Democratique) mais la Guinee Equatorial et la Cemac ont pris en compte quelques unes de ses analyses et projet allez chercher l’erreur. On n’est pas pour Ali ou ne le supporte pas tous je vous l’accorde mais votre approche est mesquine et se base sur rien de probant elle n’a qu’un but detruire.
tu connais combien de gabonais compétents ont travail dans d’autres gouvernement africains?question!tu connais combien de pays africains,ont autant d’expatrier de fraiche date,qui sont au cœur de l’appareil étatique comme on peut le constaté chez nous!c’est vous qui faites des interventions stupide et bête comme vous le dite si bien!
Vous devriez reprendre la lecture de cet article pour comprendre où est la critique. De plus on n’essuie pas de critique négative quand le résultat escompté est obtenu. Ce n’est pas non plus parce qu’un frère africain a essayé de faire qu’il faut se mettre à applaudir alors que le plant tarde à germer et à des donner des fruits. Apprenons à considérer la critique comme une occasion de se remettre en cause afin de s’améliorer.
EYEGHE tais toi !si tu es idiot sache qu’il y a au GABON des compétences 1000 capables de concevoir ,avec en prime des résultas,le « TORCHON » du PSGE !
En réalité , ALI sachant sa limite intélectuel,préfere que ce soit un étranger qui constate son incompétence de pres !
OK ! préparons nous au proces de OMAR BONGO ONDIMBA
Tous en taule !
eyeghe. Quand un projet se modifie tous les jours ça s’appelle comment ? Ce n’est pas du suivi evaluation, c’est de la reformulation permanente… C’est la marque des projets mal ficeles…. Croyez vous que les realites sont les memes partout pour qu’on ait la meme chose ? Avec qui allez vous industrialiser le Gabon comme le pretend Ndiaye ? Avec 1 million d ‘habitants ?
Je viens de lire les commentaires plus haut…vit-on dans le même pays?
Je ne remet pas en cause les « diplômes » obtenu par ce monsieur (j’en ai pas les moyens) mon rôle, celui de citoyen au même titre que le journaliste, est de constater l’échec de ce programme de société.
Oui parce-que quand les universités et hôpitaux sont en grève le PSGE préconise d’organiser des festivals de samba et de moto-cross.
Où est l’utilité palpable des nombreux forums organisés a coup de centaine de millions. Quel est l’utilité réelle des nombreuses Agences???
Alors soit se sont les hommes qui n’arrivent pas à l’appliqué soit c’est le plan en lui même qui pose problème.
Et franchement essayer de nous faire croire que dans ce pays il n’y avait personne capable de concocter un programme digne de ce nom…un peu gros n’est-ce-pas? Sinon les associer pour avoir pour fil directeur la connaissance et la réalité du terrain. Parce-que les questions sont la; monsieur N’diaye connait-il le Gabon et les Gabonais ? Dans quel climat a t-il réalisé se programme qui semble être malléable a souhait ?
En bon écolier le gouvernement prend des notes et apprend la leçon, le tout sans poser de question, sans « lever la main ». Et à qui veut l’entendre ils réciteront « la cigale et la fourmi ».
Où sont les actes ? Où sont les réalisations ?
Wouaw, pitié du Gabon et des gabonais! Je comprends mieux pourquoi celles et celles qui dénoncent les pratiques de la « légion étrangère » sont de plus en plus nombreux. J’imagine bien qu’un gars comme Eyeghe Ndong ou Ping connaissent le moindre arcane de ces dossiers où ce sont des expatriés à qui les Bongo ont confié la gestion du pays. Jamais, je dis bien jamais, un gabonais, pour brillant et expérimenté qu’il soit, ne pourra avec un poste stratégique en plein coeur de l’Etat sénégalais, béninois, camerounais ou autres. La lassitude et la défiance grandissànte à l’endroit de certains expatriés devient dès lors légitime et compréhensible. De toute façon cette « légion étrangère » à tissé un réseau autour d’eux où par un système d’appel d’air ils sont de plus en plus nombreux au sein de l’appareil étatique. Je crois que le Gabon est le 1er pays au monde à concentrer autant d’expatriés au mètre carré au cœur de l’Etat. Sous d’autres cieux (Sénégal qui a vivement appelé à l’alternance politique et qui a pour président un ex collaborateur du vieux « Gorgui » Wade; Bénin, Mali, Guinée Conakry, Burkina Faso etc) tout ça serait vu comme une menace, un péril pour la souveraineté nationale, au Gabon on voudrait nous faire gober que tout ça est normal. Les Bongo sont mangés tout simplement. Mangés dans le vaudou du béninois en chef, manger par les marabouts de tous ces expatriés. C’est connu qu’un sénégalais carbure aux grigris, aux marabouts. Pour avoir été au Sénégal je puis vous dire que chez ces gens là le marabout (chaque famille en possède, et lorsque vous rentrez chez eux la plus grande photo affichée au mur du salon est celle du vénéré marabout.Ce sont les ouestafs qui ont emmené les grigris et autres fétiches au Gabon. Vous avez un collègue sénégalais ou béninois, gardez les yeux ouverts! Je sais de quoi je parle. Brisez mystico-spirituellement leurs gris-gris car ils sont là pour vous rendre faibles et eux toujours plus forts).Non, là trop c’est trop. À celle ou celui qui dit que si ça avait été un blanc on aurait rien dit.Renseignez-vous, les gabonais à travers le forum des indignés ont fait savoir haut et fort qu’ils ne voulaient plus du cinéma d’Attias! Ce dernier n’est pas ouestaf!Les français à qui les gabonais ont fait la vie dure à Port-Gentil (en 2009 encore, tous ce sont retrouvés au large de Pog dans un bateau, je ne parle même pas de 1990 après la mort de Rédjambé) ne sont pas ouestaf; Le libanais ou le Syrien qu’un gabonais a éventré à Oloumi à cause du mépris et de l’arrogance du commerçant n’est pas ouestaf. Arrêtez de penser (parce que vous avez des origines ouestaf) qu’à travers le terme « légion étrangère » on ne s’en prend qu’à une catégorie d’expatriés.Si vous êtes génétiquement complexé aux travers de vos origines ( c’est bien connu que le ouestaf est très complexé quand il est face aux blancs) nous gabonais n’avons pas ce souci.Que tu sois ouestaf, blanc ou syrien, si tu respectes le gabonais, si tu ne te mêles pas de politique, le gabonais est bien avec toi. La preuve, nos quartiers regorgent de ouestafs et ça se passe bien parce que le gabonais comprend que celui ou celle qui fuit la misère ou la guerre dans son pays puisse venue chercher un coin de soleil au Gabon. Le Gabon est le seul pays en Afrique subsaharienne, voire dans le monde, à avoir accueilli autant de ouestafs alors que le Gabon reste un pays pauvre et non un pays riche comme la France, l’Allemagne, le Canada ou autres.Par conséquent les ouestafs du Gabon devraient remercier ce pays et aduler les gabonais au lieu de faire ce qu’ils sont entrain de faire: marabouter, vaidouiser, faire manger du caca ou du chien aux gens dans leurs nombreux et incontrôlés « Dos tournés ». À eux non plus Dieu n’a pas donné le droit de faire du Gabon ce qu’ils sont entrain de faire. Omar vous observe, Dieu aussi, le moment venu ça va péter!
ON EST DANS QUELLE PAYS VRAIMENT?MAO ET JEAN JAQUE VOUS ME DÉCEVEZ VRAIMENT,SI LE CRAPAUD DIT QU’IL EST DÉÇU,IL EST DÉÇU DES POISONS DISAIT MON PÈRE POURQUOI NOTRE CHEF D’ETAT NE VOIT PAS TOUS CES TÊTES QUI SON DANS LE PAYS,IL NOUS MONTRE QUELLE EXEMPLE?AVEC SES GENTS QUI VIENNE NOUS RUINER.C’EST LA PERDRIX QUI EST DEVANT QUE LES AUTRES RECARDE.
Je valide tes propos
Ce Monsieur N’DIAYE a eu de sérieux problèmes avec WADE.
Les grands travaux de DAKAR ( Aéroport,Hopitaux,Autoroute…)ont été confiés à des …….étrangers au sénégal !Par Karim WADE
Le président BONGO lui meme trouvait que ce monsieur etait un intriguant !
On attaque maintenant un autre…c’est vraiment GABON REVIEW, vous déroutez, arrêtez de glisser les Gabonais sur ce terrain. Au Sénégal, j’ai travaillé dans une collectivité sur des projets stratégiques. J’ai été accueilli sans complexe. les Gabonais compétents trouvent du travail sans complexe sans ce pays, administrations publiques, médias… Alors, je ne comprends pas pour quoi, vous jetez votre malheurs sur expatriées au Gabon? Vous pensez que ces Monsieurs à la Présidence valent plus que les enseignants expatriés qui sont dans notre systèmes éducatifs? Mettez votre énergies pour nous publier des articles un peu plus scientifiques….Cordialement
L’idée ici est de comprendre comment en arrive t on à cette situation désastreuse Mr NZE
Il n’est nul question de faire la chasse aux étrangers !
C’est tout simplemnt le constat ; « ils conçoivent et réalisent ls projets de l’émergence !
Apres la deuxieme guerre mondial , les alliés ont voulu comprendrent avec qui HITLER a conçu la solution final d’où le proces de NUREMBERG !
Cher Patrick Nze, ne prenez pas votre cas pour une généralité. Et puis dans quel pays au monde avez vous vu où des expatriés occupent des postes hautement stratégiques d’un État, mieux des postes dits de souveraineté d’une République au sens noble du terme. Ce n’est pas faire de la xénophobie, mais du patriotisme qui repose sur la défense de ce qu’on a de plus cher: notre beau pays le Gabon d’Abord avec tous qu’il regorge de richesses sociologique, intellectuel, culturel et naturelle. Comme l’avait dit un jour Omar Bongo sans savoir là qu’il prophétisait: » je préfère être dirigé par un gouvernement de nationaux médiocres qu’un gouvernement d’expatriés excellent » et » Dieu ne nous a pas permis de faire du Gabon ce que nous sommes entrain de faire… ». Je crois que tous avait été dit, mais malheureusement, ce la n’avait pas été compris par ceux qui n’aiment pas le Gabon. L’alerte a été donné officiellement par les services de l’immigration. Le Gabon a largement dépassé le seuil de tolérance en matière d’immigration. L’économie du pays est entre les mains des étrangers et partant la vie du peuple Gabonais. Qu’est ce que l’Etat fait ou a fait en matière de politique visant le développement de certains secteurs d’activités devant profiter aux nationaux, si ce n’est ceux qui appartiennent à ces hommes d’affaires gabonais qui sont à la tête du pays. On fait du business au sommet de l’État alors qu’il s’agit de l’argent de tout le monde. Les Gabonais vivent par procuration, de dons, de bons, alors que c’est avec leur propre argent. Les banques n’existent que de noms au Gabon ou bien ne prêtent que les mêmes: les Bongo et certains clans qui leur sont fidèles dans leur logique de saccage des caisses de l’État. Comment après plus de 45 ans de règne d’un même régime, le Gabon qui a à peine un million et demi de populations en est encore à manquer de presque de tout? Le Gabon est multi ethnique et non multinationale. Alors il faut que les étrangers et ceux qui les encouragent à croire que le Gabon regorge de maboules, comprennent que loin de les haïr, le Gabon appartient aux Gabonais. Même le secteur du taxi, l’État l’a confié aux étrangers, alors que par principe bantou, un étranger ne doit jamais connaître tous les recoins de chez toi plus que toi même. Et tel est le cas au Gabon. En guinée Equatoriale,, Obiang Nguema Mbasogho a protégé ce secteur d’activité en le réservant exclusivement aux équatos eux mêmes. Au Gabon qu’est-ce qui appartient aux Gabonais? C’est triste….
» postes hautement stratégiques d’un État, mieux des postes dits de souveraineté d’une République au sens noble du terme » Continuez à rester et/ou à la recherche des »POSTES hautement stratégiques » C’est pour quoi les secteurs qui devraient soutenir le développement économique et social de notre pays son entre les mains des expatriés qui ont compris ce que c’est un »POSTE HAUTEMENT STRATÉGIQUE »…
Marcel DJABIOH, si je prend l’exemple de Bill Gate c’est pour vous dire les expatriés que certains gaboanis qui sont ensoiffés des nominations, qui ont encore les vieilles idées du president BONGO.
SVP M.DJABIOH donnez moi la difference d’expatrié qui enseigne au lycée ou université et un expatrié qui propos ses idées le cas de M.NDIAYE?
Je ne critique pas le faite de voir un expatrié travailler au Gabon pour apporter son savoir faire, je critique nos autorités parfois qui ne pensent pas cet actes peut avoir des consequences sociales le cas des récalés du Bac 2014 à cause d’une reforme.
ou la pip que les ministres vont recevoir. voila les choses que pense que si nos autorités veulent combattre les inégalités du pays ils ne devraient même plus parler de pip.
Et je ne suis pas certains qui passent leur temps à critiquer sans proposer quelque chose, je ne suis pas au Gabon pour vous rappeler.le pays où je suis c’est un grand pays mais qui a solliciter l’expertise singapourienne pour realités un plan strategique pour l’Urbanisme. Je comprend les reactions de certains d’entre vous qui n’ont jamais veçu même dans un pays voisin du Gabon je vous comprend.
vous dites tous des betises donc maintenant vous allez les que c’est l’Etat qui a donner le secteur Taxi aux Etranger n’importe quoi qui au Gabon vous as interdit de vous lancer dans un business voir meme etre taxi ? dites simplement que vous trouvez ce travail penible et ne voulez pas le faire c’est simple vote demagogie sur les Etrangers est a vomir, un Gabonais vous dit qu’il a put travaillez avec son expertise au Senegal et comme par hasard y a un autre idiot aveugler par sa haine des Bongos qui trouve encore le moyen de critiquer ce Gabonais honnete mais comme sa fait partie de la mode et critiquer et etre xenophobe aller on denigre on insulte et vous croyez vraiment que c’est avec des theories de ce genre que les choses iront mieux au Gabon ? attendez ou etiez vous quand Ping etait au Petrol et aux affaires entrain de piller le Pays avec les Bongo ? car Ping c’est bien servit ne nous voilons pas la fasse et vous croyez que c’est pour vos beau yeux qu’ils veut le pouvoir ? ouvrez un peu les yeux bande d’aveugle et arreter de rever les yeux ouvert dite moi une seul chose que Ping a fait ou investit dans son village rien, y en a d’autres qui ont voler mais ils ont fait quelques choses pour les leurs meme si c’est mal de voler l’argent du contribuable
Ces sénégalais investissent dans la pierre à Akanda (Sablière et Angondjé), les milliards acquis …
Ali, Ali, Ali !!! Il fait exprès je crois. Vite svp, un autre candidat PDG pour 2016. J’en appelle à tous les Pdgistes, trouvons un autre candidat, Ali c’est le fiasco assuré. Je sais , vous ferez semblant de ne voir personne d’autre mais cherchez bien, il y a forcément quelqu’un de plus crédible qu’Ali. Un peu de courage! Y a garçon dans ce parti ou merde???!!!
Critiquons les politiques pas les hommes. C’est cela qui nous intéressent.Parce-que nous hommes on est libre d’aller travailler ou bon nous semble. Si on a les capacités physique et intellectuelles et si le pays d’accueil veut bien de nous. Pour rappel nombreux sont les étrangers Africains qui travaillent en Occident notamment des Gabonais. N’oublions pas l’immense apport que fut l’immigration Européenne aux Etats-unis durant la seconde guerre mondiale. Et même de nos jours les Américains n’hésitent pas a nationaliser quelqu’un qui possède du potentiel. Nombreux sont les profs étrangers qui enseignent dans nos écoles.Pour réaliser notre chemin de fer nous avons eu besoin de la main d’oeuvre étrangère…
Mais le problème c’est qu’on a l’impression que le recrutement de cette « Légion Étrangère » relève plus de l’amitié et d’autres penchants inavoués que d’une véritable politique de recrutement basée sur des critères de compétences(je m’avance un peu). Le Gabonais lambda ne se retrouve pas. A ce moment la l’intelligence, le bon sens voudrait que le « chef » réagissent et propose des réajustement sans pour autant dénaturer ça politique, son plan stratégique. Non pas pour contenter tout le monde mais pour une meilleur performance sur le terrain…
Chers tous…. Vous êtes bêtes vous… L’article démontre juste comment il a pris le pouvoir alors qu’il ne propose rien qui est prise sur le pays….
Chers compatriotes, comment parler de légion étrangère quand il s’agit de frères africains. Pour votre information le cabinet de Mr Ndiaye a réalisé le plan stratégique de l’Union Africaine sous l’ère de Alpha Oumar KONARE. Mettons nous au travail et construisons notre pays pour le bonheur futur de nos enfants.
excellent
Mr N’DIAYE est le fils de DIEU ? Connaît il le GABON ? Connaît il les GABONAIS ? le fiasco de son projet n’ est pas palpable ?
Tout plan ou programme aussi bien structuré soit il sur le papier n’est rien sans réelle coordination et exécution sur le terrain. Les plans élaborés par ce brillant technocrate semblent bien ficelés mais ils pêchent au niveau de leur mise en musique. Qui pour les mettre en branle ? avec quelles ressources (humaines et financière) ? Quels sont les jalons qui permettent de mesurer la réelle évolution du projet ? à quel moment prend -on les mesures correctives adéquates ? Formons nos ressources, motivons les avec des salaires décent et de conditions de travail acceptables mais surtout de grâce, ayons un peu d’amour pour notre pays.
Ventr affame n’a point d’oreilles, les gabonais veullent des realisations concretes qui tendent a ameliorer leurs condition de vie quoi,c’est tout et non des plans strategiques qui vident les caisses de l’etaalt et appauvrit les contrbuable,et que l’ingerence soit erradiquer quoi.on n’a besoin d’aller a hec pour comprendre cela,il suffit de vivre au gabon et connaitre les gabonais pour savoir quelle doit etre les priorites des besoins des fils du pays.bon sang
Les bongo souffrent du complexe d’infériorité aussi pour eux confier la rédaction du psge à un gabonais même pédégiste est un supplice car un manque aussi criard de confiance en ses soit-disant concitoyens je ne saurai trouver une explication logique sauf dans la tête de certains gabonais qui ont un sens du mot patriotisme assez étriqué
L’ombre qui Marche!Je valide tes propos.Il n’y a que des personnes qui souffrent de complexe d’inferiorite qui veulent toujours s’affirmer.
Des sages ont dit: Tel pere,tel fils.Ali ne poura produire des resultats positif a moins que la poule n’accouche d’un Humain.
si Ali etait reellement sage,intelligent et plein des qualite,Il saurait qu’un autre sagea dit: Honte a celui qui ne fera pas mieu que son pere. et depuis son Mandat,il n’a rien fait qui depasse les ouvres de son Pere.
alors trouvons d’autres sujet au lieu de discourir sur ALI.nous ferions mieu de trouver un moyen de trouver une startegie afin d’avoir un autre President en 2016.