Solution aux délestages : Aggreko renouvelle son soutien au Gabon
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Lors de son entretien, jeudi 20 février, avec le président de la transition à Libreville, Édith Kikonyogo, directrice Afrique d’Aggreko, l’a assuré du soutien, voire du renforcement du partenariat de sa société avec l’État gabonais, au moment où le pays connaît un important déficit en énergie électrique.
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La société britannique Aggreko s’engage à poursuivre son partenariat avec le Gabon, voire à le renforcer au bénéfice des populations. © GabonReview
Le Palais continue de chercher des solutions contre les délestages récurrents. Après avoir revu les termes du contrat avec le turc Karpowership pour l’apport de 70 MW dans le circuit de la SEEG et signé récemment l’achat de 10 MW à la Guinée équatoriale, le général Brice Clotaire Oligui Nguema s’est une nouvelle fois tourné vers un autre partenaire du Gabon en la matière : Aggreko dont il a reçu jeudi la directrice Afrique.
Devant la situation de déficit énergétique actuel et les garanties présentées par le chef de file du CTRI, le spécialiste britannique des centrales thermiques a assuré qu’il ne lâchera pas le Gabon et les Gabonais après plus de 20 ans de présence dans le pays. Édith Kikonyogo a en effet réitéré l’engagement de sa société envers le gouvernement et la population. Aggreko s’engage également à renforcer sa collaboration avec l’État gabonais à travers la mise en œuvre de plusieurs mécanismes à court et long terme.
«Il s’agit notamment du renforcement de la capacité du réseau électrique, et de la création de partenariats qui permettent de gaboniser le secteur et d’améliorer l’accès à l’énergie et à l’eau pour les populations», précise la Communication présidentielle selon laquelle les représentants de la société britannique ont partagé au président de la transition ses projets visant à améliorer la stabilité du réseau électrique et la sécurité dans le processus de fourniture en électricité.
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1 Commentaire
Les centrales thermiques sont bien utiles pour régler des soucis à court terme. Le Gabon dont le potentiel hydroélectrique est de 6000 MW devra exploiter ce magnifique potentiel en évitant soigneusement les sites les plus importants pour le patrimoine touristique futur. L’énergie hydroélectrique reste de loin moins cher à produire que l’énergie thermique, et moins polluante.