Libreville : Le phare spirituel de ‘Christ Révélé aux Nations’ se reconstruit après la catastrophe

Ayant subi il y a plus de deux ans une catastrophe naturelle ayant détruit ce temple, les Ministères Christ Révélé aux Nations ont décidé de bâtir un nouvel édifice. L’infrastructure sera non seulement un lieu de prière et de transformation, mais aussi d’impact pour les générations futures. Son évêque général, Mike Jocktane, a procédé à la pose de la première pierre le samedi 15 février, en présence des fidèles et des responsables de ces ministères.

Détruit à la suite d’une catastrophe naturelle, l’ancienne église centrale des Ministères Christ Révélé aux Nations renaîtra de ses cendres d’ici un an. © GabonReview
Bien que confortablement installés aux Charbonnages, dans le premier arrondissement de Libreville, les Ministères Christ Révélé aux Nations tiennent à conserver leur siège historique du centre-ville. Détruit à la suite d’une catastrophe naturelle, ce temple renaîtra tel un phénix de ses cendres d’ici un an. À l’occasion d’une cérémonie sobre le samedi 15 février, Mike Jocktane, son évêque général, a procédé à la pose de la première pierre du futur édifice, qui sera un lieu de prière, de transformation et d’impact pour les générations futures.

L’édifice, qui sera construit sur un espace de 900 m² en R+3, devrait accueillir 1 500 fidèles et des événements rassemblant régulièrement plus de 5 000 personnes. © GabonReview
À l’occasion de cette rencontre symbolique pour les fidèles et les responsables de ses ministères, Mike Jocktane a souligné que la construction de cet édifice «n’est pas simplement une œuvre humaine. C’est une mission divine, une réponse à l’appel de Dieu pour son peuple. Depuis la création des Ministères Christ Révélé aux Nations, le Seigneur nous a conduits de gloire en gloire, élargissant notre vision et fortifiant notre foi».
Il s’agit pour cette église, implantée depuis plus d’une décennie au Gabon, d’entrer dans une nouvelle saison : «Celle de la construction d’un temple à la mesure du réveil spirituel que nous vivons. Cette maison ne sera pas seulement un bâtiment, mais un phare pour cette nation, un lieu où les âmes viendront rencontrer Christ, où les captifs seront libérés, et où la gloire de Dieu se manifestera».
C’est pourquoi, a souligné son évêque général, «en posant cette première pierre, nous proclamons que cette église est bâtie sur le Roc qu’est Christ ! Un roc inébranlable, malgré les tempêtes. Un roc solide, sur lequel les générations futures pourront s’appuyer. Un roc d’espérance et de salut pour tous ceux qui franchiront ses portes».
L’édifice, qui sera construit sur un espace de plus de 700 m2 en R+3, devrait accueillir 1 500 fidèles et des événements rassemblant régulièrement plus de 5 000 personnes. Le complexe comprendra également un parking de plus de 50 places, un temple, ainsi que des bureaux administratifs, salles de réunions et salle polyvalente.
«Nous avons la responsabilité de bâtir un espace capable d’accueillir chacun dans les meilleures conditions. Ce nouveau bâtiment ne sera pas seulement un lieu de culte, mais un véritable centre spirituel et communautaire, un espace de transformation où chaque fidèle pourra grandir dans sa foi», a déclaré Christian Boko, président du Comité de pilotage expansion.
C’est par une séance de prières et de bénédictions, conduite par l’évêque Michel Ambouroue, que cette cérémonie a pris fin. Les travaux devraient durer un an.

0 commentaire
Soyez le premier à commenter.