Le vice-premier ministre de la Transition gabonaise, Alexandre Barro-Chambrier, a échangé avec le vice-président de la BDEAC, Jean Paterne Megne Ekoga, le 13 janvier 2025. Cette rencontre a permis de dresser le bilan de 2024 et d’explorer les synergies possibles pour financer les projets de développement du Gabon.

Le vice-premier ministre, Alexandre Barro-Chambrier, et la délégation de la BDEAC, le 13 janvier 2025 à Libreville. © D.R.

 

À Libreville, le 13 janvier 2025, le vice-premier ministre de la Transition, Alexandre Barro-Chambrier, a rencontré Jean Paterne Megne Ekoga, vice-président de la Banque de développement des États de l’Afrique centrale (BDEAC). Cette réunion visait à dresser le bilan de l’année 2024 et à présenter les perspectives pour 2025, dans un contexte où le gouvernement gabonais cherche activement des moyens de financer des projets de développement.

«Nous en avons profité pour lui faire le bilan de l’activité de la Banque de Développement des États de l’Afrique Centrale au cours de l’exercice 2024 et ce que nous prévoyons de faire en 2025 et comment trouver des synergies entre la BDEAC et le gouvernement gabonais pour mieux impacter le développement économique et social du Gabon», a déclaré Jean Paterne Megne Ekoga.

La BDEAC, dont le siège est à Brazzaville, joue un rôle important dans le financement de projets publics et privés au sein de la CEMAC. «La BDEAC est l’institution de financement des pays de l’Afrique centrale au sens le plus large possible. Nous intervenons donc pour financer des projets publics et privés pour assurer le développement économique et social des pays, pour aussi l’inclusion financière et l’amélioration des conditions de vie des populations», a-t-il ajouté.

Créée dans les années 1970, cette institution financière soutient les initiatives visant à promouvoir un développement durable et inclusif dans la région.

 
GR
 

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