Challenge ville propre : Deux mois pour «transformer notre environnement»
Le 17 septembre, le délégué spécial en charge de la gestion de la commune de Libreville a lancé le «Challenge ville propre». Alors que Libreville fait face au phénomène grandissant d’insalubrité et d’incivisme, cette compétition qui tiendra sur deux mois entend renverser la tendance.
Avec l’appui de Moov Africa Gabon télécom, une compétition dénommée «Challenge ville propre» se tiendra sur deux mois à Libreville. Lancée le 17 septembre par le délégué spécial en charge de la gestion de la commune de Libreville, cette compétition se positionne comme un moyen de lutte contre le phénomène grandissant d’insalubrité et d’incivisme dans les espaces publics. «Ensemble nous avons l’opportunité de transformer notre environnement en un lieu plus agréable», a déclaré le délégué spécial. Pour Jude Ibrahim Rapontchombo, plus qu’une simple compétition, le Challenge ville propre est «un appel à la mobilisation citoyenne, un levier pour promouvoir les bonnes pratiques».
Mais, un moyen pour fédérer les forces vives des six arrondissements de Libreville. Entre autres, les associations, ONG et autres regroupements qui sont d’ailleurs invités à participer à cette compétition. Pour encourager leur participation, du petit matériel sera mis à la disposition des arrondissements. Notamment, des débroussailleuses, des balais cantonais, des pioches, des brouettes et des râteaux. Le challenge tiendra sur deux et Jude Ibrahim Rapontchombo souhaite que cette initiative se répète chaque année afin d’avoir une ville plus propre. Il en appelle au soutien des entreprises et autres organisations qui partagent cette vision.
Moov Africa Gabon télécom, en tant que sponsor de l’événement, se réjouit de cette initiative citoyenne. «Nous encourageons vivement les ONG et tous les acteurs impliqués à participer activement à ce challenge, qui contribuera de manière significative à l’amélioration du cadre de vie et renforcera le vivre-ensemble», a déclaré son directeur général, Zouheir Jorio. «Les arrondissements seront évalués selon plusieurs indicateurs de performance, notamment la propreté des espaces publics, la gestion des déchets et l’entretien des espaces verts», a précisé Colette Amorissani, conseiller en Communication du délégué spécial.
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