Le vendredi 5 juillet dernier, le ministre de l’Économie et des Participations, Mays Mouissi, a reçu Marc Gaffajoli, directeur général d’Afrijet, pour discuter de l’éventuelle baisse des taxes sur le kérosène et des redevances aéroportuaires. Une mesure qui permettrait de renforcer la compétitivité du Gabon dans le secteur aérien, bénéficiant ainsi aux compagnies aériennes et aux usagers.

Une séquence de l’entretien entre le ministre de l’Économie et des Participations, Mays Mouissi, et la délégation d’Afrijet, conduite par son directeur général, Marc Gaffajoli. © Com. gouvernementale

 

Le ministre de l’Économie et des Participations, Monsieur Mays Mouissi, a échangé le 5 juillet dernier, avec une délégation d’Afrijet, conduite par son directeur général, Marc Gaffajoli. Cet entretien avait pour objectif de discuter des taxes imposées sur le kérosène et des redevances aéroportuaires, des charges qui pèsent lourdement sur les coûts opérationnels des compagnies aériennes au Gabon.

Afrijet, en tant que leader du transport aérien dans le pays, exprime une préoccupation majeure : la nécessité de réduire ces taxes pour améliorer la compétitivité des aéroports gabonais dans la sous-région. Selon Marc Gaffajoli, une baisse des taxes sur le kérosène et des redevances aéroportuaires pourrait attirer davantage de compagnies aériennes internationales, augmentant ainsi le trafic aérien vers et depuis le Gabon.

Les avantages potentiels de cette démarche pour le Gabon sont multiples. Une réduction des taxes pourrait non seulement renforcer l’attractivité du pays pour les compagnies aériennes, mais aussi contribuer à une baisse des prix des billets d’avion, rendant les voyages plus accessibles à la population gabonaise. De plus, l’augmentation du trafic aérien pourrait stimuler l’économie locale, notamment par le biais du tourisme et des affaires. Le renforcement de la compétitivité des aéroports gabonais pourrait également créer de nouvelles opportunités d’emploi et favoriser le développement des infrastructures aéroportuaires.

Mays Mouissi, attentif aux préoccupations d’Afrijet, a promis de porter cette problématique devant les plus hautes autorités du pays. Son engagement est clair : trouver un équilibre qui permettrait de dynamiser le secteur aérien sans pour autant affecter négativement les finances publiques du Gabon.

 
GR
 

1 Commentaire

  1. Gayo dit :

    On ne sait pas qui nous expliquera un jour le prix exorbitant du transport aérien au Gabon. Était-ce une des escroquerie du pouvoir affairiste déchu?

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