Dans le cadre de son engagement pour l’autonomisation des jeunes défavorisés, la Fondation ‘Ma Bannière’ de la Première Dame du Gabon a lancé vendredi un vaste «Programme d’Action Professionnelle » visant à réinsérer les plus vulnérables sur le chemin de l’emploi et de l’épanouissement.

Au centre, Mme Oyili, responsable du Département Social de la Fondation, lors du lancement du «Programme d’Action Professionnelle». © Fondation Ma Bannière

 

Sous la houlette de Zita Oligui, la Première Dame du Gabon, la Fondation Ma Bannière a donné ce vendredi le coup d’envoi de la première phase de son ambitieux «Programme d’Action Professionnelle». Une initiative phare visant à réinsérer les jeunes des franges les plus vulnérables de la société dans un parcours d’autonomisation économique et sociale.

Instantanés de la première phase de «Programme d’Action Professionnelle». © Fondation Ma Bannière

«Cette première phase est le début d’un chemin vers l’autonomie et la réussite de nos jeunes», a affirmé Mme Oyili, responsable du Département Social de la Fondation. Âgés de 18 à 35 ans, les bénéficiaires sont issus de groupes particulièrement précaires : jeunes mères sans qualification, anciens détenus ou encore enfants des rues. Un public à très haut risque, exposé à des fléaux tels que le suicide, les comportements sexuels à risque ou l’abus de substances dangereuses.

C’est donc un défi de taille que s’est fixé Ma Bannière, en proposant jusqu’au 15 mai un accompagnement personnalisé basé sur «l’écoute, l’aide à l’orientation et le soutien psychosocial». «L’enthousiasme et la résilience des participants nous motivent à continuer notre accompagnement», s’est réjouie Mme Oyili.

Après une rigoureuse sélection par les associations locales partenaires, la première vague de jeunes a ainsi pu bénéficier vendredi d’entretiens individuels avec les conseillers d’orientation et psychologues de la Fondation. Un temps précieux pour partager leur vécu, leurs aspirations, et poser les jalons de leur projet de réinsertion professionnelle. Les prémices d’un «parcours vers l’autonomie», selon les mots de Mme Oyili.

«Cette journée marque un premier pas vers un avenir prometteur pour ces jeunes trop longtemps laissés en marge. Leurs retours positifs soulignent l’impact significatif du programme sur leur transformation personnelle, sociale et économique», s’est félicitée la responsable.

Véritable fer de lance du progrès sociétal prôné par la Première Dame, Ma Bannière confirme avec ce Programme son rôle central dans l’inclusion des populations vulnérables. Une pierre angulaire vers «un avenir plus équitable et prospère pour tous les Gabonais», selon la Fondation.

 
GR
 

1 Commentaire

  1. Jean Jacques dit :

    Les vrais pays Niger,Burkina, Mali,Sénégal,vous allez pas entendre l’argent du pays n’est pas pour donner à leurs épouses pour créer les fondations.les pays où la justice est au service de la population, le ministère public deveria déjà envoyer une notification pour demander l’origine de l’argent.Comme au Gabon, la justice est complice donc elle laisse.

Poster un commentaire