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Cauchemar gabonais pour 21 travailleurs Indiens implorant l’aide de New Delhi
Exploités par les employeurs et trompés par leur agent, une vingtaine de travailleurs, dont 14 d’Odisha, quatre du Bihar et un du Rajasthan, du Bengale occidental et d’Andhra Pradesh, venus au Gabon dans l’espoir de gagner leur vie, ne souhaitent plus poursuivre l’aventure qui semble s’être transformée en un cauchemar.
La vingtaine de travailleurs indiens sollicitant leur rapatriement du Gabon. © D.R.
Pas moins de 21 travailleurs partis de l’Inde, pour gagner leur vie au Gabon, regrettent leur décision aventurière. Leur rêve de gagner un peu d’argent s’est effondré. Les autorités de l’entreprise les soumettraient à des tortures physiques et mentales et les forceraient à travailler plus de 12 heures par jour.
N’ayant plus d’autre choix, selon le média indien OdishaTV, ces travailleurs avaient informé, dans un message vidéo, les membres de leurs familles respectives de leur sort. Ils demandaient au vice-président national du Bharatiya Janata Party (BJP), Baijayant Panda, par l’intermédiaire du vice-président du district de Kendrapara du BJP, Krushnachendra Panda, de prendre des mesures pour les ramener en Inde.
Sensible à cette situation très inconfortable, Baijayant Panda, connu pour ce type d’actions, a écrit à l’ambassadeur indien au Gabon pour solliciter l’assistance et le soutien pour le retour en toute sécurité des travailleurs bloqués.
5 Commentaires
Donnez leur GRATUITEMENT la nationalité gabonaise, donnez leur des terres pour cultiver ou autre chose en fonction de leur compétences. Qu’ils acceptent de RESTER POUR TOUJOURS AU GABON et de fonder de nouvelles familles avec nos enfants). ILS APPORTERONT UN + au Gabon.
Ne rates pas cette OPPORTUNITE mon fils Brice Clotaire Oligui Nguéma.
RESPECTONS NOS IMMIGRES QUI VEULENT VRAIMENT RESTER CHEZ NOUS POUR TOUJOURS…
Oligui l’embauche des travailleurs expatriés au Gabon est hors de contrôle. C’est honteux de voir l’image de notre pays, ainsi Sali. Le Gabon n’a pas besoin de ca.
Bjr. Vraiment pathétique ces réactions. Au moment ou nous décrions tous que le seuil de tolérance est complètement dépassé il y en a qui estime que des étrangers qui veulent rentrer chez eux, nous devons les garder. Restaurer les institutions c’est aussi revenir au standard qui sied en matière de seuil de tolérance des étrangers sur notre sol. ne pas le faire c’est dénaturé la souche sociétale gabonaise. Sans être xéno, ce ne seront plus les Arabo-berbères ou les aofiens nos prédateurs mais les gens du bengale ou d’Odisha et autres. NON. Amen.
« L’enfer c’est les autres » (Jean Paul Sartre).
Bjr. Nous sortons justement de « l’enfer » et ce ne sont pas les Gabonais « normaux »(pour emprunter l’expression de l’autre) qui en sont à l’origine. Amen.