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Transition : Oligui Nguema toujours accroché au «bonheur des Gabonais»
Lors de son adresse, mercredi, à Raymond Ndong Sima et à l’ensemble des membres de son gouvernement, le président de la Transition a tenu à leur rappeler leurs deux principales missions : «la réussite de la Transition et le bonheur du peuple gabonais, loin des intérêts particuliers et des ambitions» des uns et des autres.
Moment du Conseil des ministres du 8 novembre 2023. © Com. présidentielle
Il n’a pas dérogé à la règle. Comme de coutume, lors des Conseils des ministres, le président de séance s’adresse aux membres du gouvernement. Et la session du mercredi 8 novembre dernier a, une nouvelle fois, donné l’occasion à Brice Clotaire Oligui Nguema de rappeler ses principaux objectifs à l’équipe dirigée par Raymond Ndong Sima.
Le président de la Transition en voit deux : «la réussite de la Transition et le bonheur du peuple gabonais, loin des intérêts particuliers et des ambitions si légitimes soient-elles».
Aussi les a-t-il instruits «à construire le rêve et l’espoir des populations gabonaises pour un avenir marqué du sceau de l’optimisme et centré sur un accroissement des investissements structurants répondant aux besoins de ces populations», rapporte le communiqué final du Conseil des ministres.
Pour le Général-président, donner à ses compatriotes l’envie de croire à un avenir radieux après des décennies de moroses passe par «la création des bassins d’emplois pour les jeunes actifs dans le domaine agricole, des grands travaux ainsi que les métiers d’avenir beaucoup plus productifs et à forte valeur ajoutée».
4 Commentaires
Et même si tu arrives à « donner » ce bonheur aux Gabonais,pour autant, ne t’accroches surtout pas au pouvoir mon fils. Laisse dans deux ans le pouvoir aux civils, et retourne en casernes ou retire toi de la politique tout simplement. Tu auras quand même droit à une retraite dorée. Akiba mon fils. Akiba.
De beaux discours là c’est pas bon on attend les actes les Gabonais souffrent trop pourtant le pays est riche très riche sous peuplé et rempli de milliardaires,quand on donne 285 milles par trimestre à un chef de village c’est pas du tout le bonheur ça c’est la misère
On devrait quand même avoir honte de ne pas nous en sortir, quant on sait qu’il y a d’autres pays qui ont été indépendants à peu près à la même période que nous et qui s’en sortent mieux. C’est le cas de plusieurs pays d’Asie. A Ntare Nzame. Pitié. Pauvre Gabon.
C’est quoi au juste le problème des Africains ? Nous sommes NULS à ce point pour ne pas pouvoir vivre HEUREUX chez nous avec autant de richesses naturelles ? Kiééé. A Ntare Nzame. Pitié.
Faut-il vous rappeler que la plupart des pays du proche moyen Orient sont désertiques (y compris l’actuel Israël). Regardez ce qu’ils font en plein désert. Et nous, nous avons une terre bénie que nous ne savons pas exploiter. Pitié. A Ntare Nzame. Pitié.