Doughty Street Chambers, à la rescousse de Sylvia Bongo et de ses enfants
Une équipe d’éminents avocats internationaux de Doughty Street Chambers a été engagée pour obtenir la libération des membres de la famille et du personnel du président Ali Bongo de leur détention «arbitraire et illégale» au Gabon. Ladite équipe est chargée de traduire en justice, dans toutes les instances nationales, régionales et internationales, en appliquant la compétence universelle pour poursuivre les responsables de crimes internationaux commis contre eux.
Après le tandem français Me François Zimeray et sa collègue Jessica Finelle et leur plainte déposée, le 1er septembre dernier auprès du parquet de Paris, portant principalement sur les crimes de disparition forcée et séquestration, Sylvia Bongo renforce son conseil juridique et s’offre la défense des avocats de la «Doughty Street chambers».
Internationalement reconnue pour son excellence et son engagement fondamental à améliorer l’accès à la justice et à promouvoir les libertés civiles et les droits de l’homme, l’équipe dirigée par Steven Powles KC, a été chargée de traduire en justice, dans toutes les instances nationales, régionales et internationales, les responsables de la détention arbitraire et illégale des membres de la famille Bongo et de leur personnel, notamment en appliquant la compétence universelle pour poursuivre les responsables de crimes internationaux commis contre eux.
« Il existe de sérieuses inquiétudes quant à la sécurité et au bien-être de Sylvia Bongo, de ses enfants, petits-enfants et de leur personnel qui restent illégalement détenus au Gabon. L’instabilité politique ne peut jamais justifier une détention arbitraire ou un traitement contraire aux normes internationales des droits de l’homme. Sans justification légale, la famille Bongo et les membres du personnel doivent être immédiatement libérés», a déclaré Steven Powles KC. Il possède une riche expérience dans le traitement d’affaires internationales de grande envergure.
L’équipe comprend également Tatyana Eatwell, spécialiste du droit international et des droits de l’homme qui a contribué à obtenir la libération de nombreuses personnes illégalement détenues dans le monde entier, et Graeme Hall dont la pratique se concentre sur l’extradition, la criminalité et le droit international des droits de l’homme. L’ensemble de la team travaille en collaboration avec François Zimeray, associé de Doughty Street, et ses collègues du cabinet parisien des droits de l’homme Zimeray & Finelle Avocats.
15 Commentaires
Revoici les séries Netflix !
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Il faut être un tant soit peu sérieux et honnête, Gabonreview. Vous ne pouvez pas ainsi vous approprier le travail des autres, alors que vous donnez des leçons de probité à longueur d’articles. Heureusement qu’un lecteur a donné le lien menant à cet article repris tel que quel. C’est vous qui aurez dû insérer ce lien. En ce temps de Restauration de la République, il appartient à tout le monde de faire sa part.
LEÇON POUR LECTEUR INCONGRU
Parlez de choses que vous connaissez. Notez que c’est nous qui recevons et gérons, avant publication, les commentaires que vous lisez ici. Et si nous étions des tricheurs, nous n’aurions pas validé le lien dont vous parlez.
Notez aussi, chez lecteur, que les médias reçoivent des communiqués des agences de presse ou des cabinets spécialisés dans les relations presse, afin que les informations soient partagées à un large public. Dans le cas d’espèce, nous avons reçu un communiqué, d’ailleurs très long, du cabinet «Doughty Street chambers» que nous avons totalement réécrit, transformé et enrichi. Tous les journaux fonctionnent ainsi, du moins les plus sérieux. D’autres se contentent de copier-coller le communiqué et de publier.
Apprenez, cher lecteur, que ce que vous appelez lien envoyé par un lecteur, est un RÉTROLIEN du média francipost.online qui a repris intégralement notre article, montage photo compris, et nous a tagué, par honnêteté déontologique, pour rediriger ses lecteurs vers l’article original de Gabonreview.
Paresse intellectuelle faisant, vous n’avez même pas pris la peine de lire ce que vous taxez d’appropriation du «travail des autres». Sinon vous aurez vu que, déjà dans le titre de l’article de francipost.online, il est marqué Gabonreview.com.
«Il faut arrêter le chanvre», disait Mme Cooper, la défunte influenceuse Camerounaise. Ou alors réfléchissez 10 fois avant de venir ici distribuer les mauvais points sur la base de vos lacunes. Merci tout de même de continuer à nous suivre.Et surtout, évitez d’«insulter» gratuitement notre intelligence.
Ah ça! Gabonreview.com ne badine pas hein.
Tu lui donnes un coup, Il te récupère au quart de tour « Tôh, tôh » KO!
Tchuip…! Le chanvre c’est pas bon!
Il n’a pas vu ça venir. Purée! C’est effrayant dehors. On ne peut même plus faire une blague.
QUESTION : OU ÉTAIT CETTE ÉQUIPE D’ÉMINENTS AVOCATS QUANDES GABONAIS SE FAISAIENT MASSACRER (DANS TOUS LES SENS DU MOT) PAR LA FAMILLE BONGO ? A NTARE NZAME. JE COMPRENDS MAINTENANT L’EXPRESSION « AVOCAT DU DIABLE ». PITIÉ.
Il faut actionner le tribunal pénal international pour épingler tous militaires,juges,policiers y compris les opposantles criminels opposants, et certains citoyens gabonais qui se déclarent sociétés civiles tous il faut que toutes ses personnes la cpi délivrent les mandats d’arrêt internationaux,y compris interpolation doit mettre sur la liste rouge.
Si les militaires, juges et opposants gabonais ne connaissent pas les droits de l’homme,le tribunal international va leur enseigner,y compris les séquestre des personnes un acte terrorisme.
Qui peut accepter cela au nom de leur haine des accusations fallacieuse,des preuves montées en toutes pièces il faut activer cpi pourquoi les coupables de ses crimes croupisent au Tribunal Penal Internacional
Sylvia Bongo est foutue!
Les meilleures avocats du monde ne peuvent obtenir parfois que des réductions de peine exemple de 50 ans de prison à 35 ans.! Les acquittements sont souvent rarissimes malgré la réputation du cabinet.
Elle va devoir expliquer aux gabonais d’où elle tirait l’argent lui permettant d’acheter des vêtements par millions d’euros chaque année! Etc…
Patrichi TANASA et Alihanga viendront expliquer le système mis en place par sa fondation pour syphoner l’argent public gabonais…
Qui vivra verra….
Ps: Me Kevin NZIGOU sera bien utile dans ce dossier car c’est lui qui a dévoilé ce mécanisme au tribunal. A l’époque, les magistrats l’ avaient ignoré car la dame était influente dans le pays…
Maintenant qu’elle n’est plus rien de tout ça, les magistrats devraient agir autrement….
Nous osons espérer que le CTRI constituera également une équipe d’Avocats pour apporter toutes les preuves et mettre au yeux du monde tout le mal que cette femme a fait au Gabon.Elle doit payer tout le mal qu’elle nous a fait.
Lisez ça les vaisseaux des putschistes et juges gabonais lisez bien.
Séquestration et sanctions pénales : que prévoit le Code
La séquestration est un crime puni (article 224-1 du Code pénal) :
De 20 ans de réclusion criminelle si la personne n’est pas libérée volontairement dans les 7 jours.
Ali était séquestré malgré sa santé, sa femme et leur fils.
Il faut te soigner, Jean Jacques, tu souffres du Bongoisme. C’est difficile d’en guérir.
Quelle cécité volontaire! Sylvia n’est pas en état de séquestration. Cette dame est un bandit de grand chemin qui devra répondre de ses actes devant les juridictions compétentes de notre pays.
Je m’étonne pas que Sylvia Valentin épouse Bongo Ondimba, puisse avoir un tel bataillon des avocats expérimentés, car le butin du contribuable gabonais en milliards de franc cfa, qu’elle a mis de côté pendant 14 ans, pour se couler douce, lui permet largement de faire appel à des avocats pointus du monde entier pour la libérer des geôles gabonaises.
À la gabonaise justice de faire son travail rigoureux et d’appliquer la sentence selon laquelle: « nul est au dessus de la loi », même si dans les faits c’est déjà le cas pour beaucoup de gens malheureusement.