Emploi : Madeleine Berre sollicitée par le Mouvement des diplômés universitaires au chômage
Face aux difficultés pour l’obtention d’un emploi, le Mouvement des diplômés universitaires au chômage (MDUC) a présenté, le 17 février 2023, sa situation au ministre de l’Emploi, de la Fonction publique et du Travail. L’occasion pour Madeleine Berre de leur présenter les différents programmes d’accompagnement des jeunes, initiés dans l’optique de faciliter leur insertion professionnelle.
Le ministre de l’Emploi, de la Fonction publique et du Travail, Madeleine Berre, a échangé le 17 février 2023 avec le Mouvement des diplômés universitaires au chômage (MDUC). L’organisation associative est venue présenter, au membre du gouvernement, les difficultés auxquelles ses membres font face, dans leurs multiples démarches pour l’obtention d’un emploi.
L’occasion pour Madeleine Berre d’édifier ces chômeurs sur les différentes réformes initiées par le gouvernement en vue de lutter contre le chômage des jeunes. Notamment à travers le programme d’accompagnement à l’emploi. « Ce programme comporte à la fois avec un contenu d’accompagnement et un contenu financier. Le PNPE (Pôle nationale de promotion de l’emploi) va vous accompagner jusqu’à 36 mois selon le projet, parce qu’il est bien qu’on vous accompagne pour développer votre projet. Parfois il peut y avoir des difficultés pour gérer, on vous accompagne pour gérer pendant 3 ans », a expliqué Madeleine Berre.
Autrement dit, le gouvernement prend le soin d’un accompagnement financier de tous les jeunes ayant un projet, mais également pour la structuration de son projet. Il sera admis dans la maison de l’auto-entrepreneur pendant une année. « On vous accompagne, on vous donne des formations pour améliorer votre profitabilité. On vous accompagne pendant tout le temps de l’évolution vers la prospérité et l’autonomisation jusqu’à 2 ou 3 ans », a-t-elle expliqué.
Sur instruction du ministre, une rencontre entre le PNPE et le MDUC se tiendra dans les prochains jours afin de présenter une fois de plus les différents programmes d’accompagnement des jeunes, dans l’optique de faciliter leur insertion professionnelle. « Nous sommes plus ou moins satisfait parce qu’on a fait le tour et on nous a présenté, pour la première fois, les différentes opportunités qui s’offrent à nous », a indiqué Jean Agrippa Nguema Nguema, président du MDUC.
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Ca s’appelle »sollicitation apocalyptique »