Accès des plus petits aux soins et à l’éducation : le plaidoyer de Sylvia Bongo à Tachkent

La première dame a annoncé ce lundi 14 novembre sa participation, mardi, à la Conférence mondiale de l’UNESCO en Ouzbékistan où son plaidoyer portera principalement sur la promotion de l’accès à des soins et à une éducation de qualité pour chaque enfant dès le plus jeune âge.

Sylvia Bongo Ondimba, à son arrivée à Tachkent, en Ouzbékistan. © Facebook

Sylvia Bongo Ondimba est arrivée à Tachkent. La première dame y prend part à la Conférence de l’UNESCO sur l’éducation et la protection de la petite enfance qui s’est ouverte ce lundi 14 novembre et dont la clôture est annoncée pour le mercredi 16 novembre prochain.

Comme elle, plus de 1 500 personnes étaient attendues pour, selon l’organisation, «exhorter les États membres à renouveler et à accroître leur engagement et leurs investissements afin de garantir de toutes les filles et de tous les garçons à un développement, à une protection et à une éducation pré primaire de qualité les préparant à l’entrée dans l’enseignement primaire».

Ce sera d’ailleurs le plaidoyer de l’épouse d’Ali Bongo Ondimba qui a annoncé ce lundi que l’objectif de sa présence dans la capitale de l’Ouzbékistan est de «réaffirmer le droit, de chaque enfant et dès le plus jeune âge, d’avoir accès à des soins et à une éducation de qualité». «Car oui, les premières années de vie d’un enfant sont essentielles et décisives. Pour sa santé, son apprentissage ou encore pour son épanouissement personnel. Malgré les défis que nous rencontrons, nous porterons tous ensemble le même message d’espoir et poursuivrons nos efforts pour garantir à tous les enfants un départ équitable dans la vie», a-t-elle appuyé.

Prévue pour trois jours, cette Conférence a trois principaux objectifs dans le domaine de l’éducation et de la protection de la petite enfance (EPPE) : élaborer des politiques ambitieuses, pertinentes et culturellement appropriées ; mettre en place des systèmes efficaces et responsables, des partenariats et des services multipartites ; accroître et améliorer les investissements dans ce domaine en tant que partie intégrante et essentielle des stratégies des pays pour parvenir à des sociétés d’apprentissage tout au long de la vie et à un développement durable.