Rencontre des femmes africaines et de la diaspora : Okome Beka à Bogota

Le professeur Véronique Solange Okome Beka, fondatrice de l’institut Culturel Hispano Lusophone du Gabon, représentera le Gabon à la 1^re rencontre internationale des femmes africaines et de la diaspora, 4 août à Bogota, en Colombie. Cet évènement sera une opportunité de rendre visible et reconnaître les contributions des femmes africaines et de la diaspora.

Véronique Solange Okome Beka (droite) sera à la 1re rencontre internationale des femmes africaines et de la diaspora, 4 août 2022 à Bogota, en Colombie. © D.R.

La 1^re édition de la rencontre internationale des femmes africaines et de la diaspora se tient le 4 août prochain à Bogota, en Colombie. 150 femmes leaders d’environ 73 pays d’Afrique, d’Europe, d’Asie et d’Amérique sont attendues à cet évènement. Le Gabon y sera représenté par le professeur Véronique Solange Okome Beka, fondatrice de l’institut Culturel Hispano Lusophone du Gabon.

Pour l’ambassadrice de la paix et de la culture de la diaspora africaine pour l’Amérique latine et les Caraïbes, par ailleurs présidente de ce mouvement féministe, la rencontre de Bogota tombe à point. «Cet espace est une opportunité pour promouvoir, rendre visible et reconnaître les contributions des femmes africaines et de la diaspora, dans le cadre de la Décennie internationale des personnes d’ascendance africaine (2015-2024)», a affirmé Vanessa Aguilar Moreno .

Un évènement qui se veut mondial et qui commémore deux dates importantes pour la lutte des droits de la femme africaines et afro descendante à savoir le 25 juillet (Journée internationale de la femme afro-latine et caribéenne) et le 31 juillet (Journée de la femme africaine). Des moments d’échanges qui seront hybride (présentiel et virtuel) et dont la devise est « Femmes pour l’équité et le changement climatique ».

Au cours des travaux, cinq axes thématiques seront développés : « Égalité de genre et féminisme », « Conflits, résilience, droits de l’homme et paix », « Participation politique, économie, culture, sport, éducation » et « Situation des femmes africaines et de la diaspora par rapport à l’emploi ».