One Ocean Summit : Ali Bongo Ondimba y sera en virtuel
Ali Bongo Ondimba participera le 11 février, en visioconférence, au «One Ocean Summit» à Brest en France. Consacrée à la protection des océans, cette rencontre débutée le 9 février qui fera intervenir 500 experts ambitionne de donner naissance à des engagements signés par 35 pays pour la protection des océans.
Plus de quarante chefs d’État s’engagent à prendre part en présentiel et en visioconférence au One Ocean Summit qui se tient jusqu’au 11 février prochain, à Brest, en France. Seront notamment connectés en visiocoférence : Ali Bongo (Gabon) ; Boris Johnson (Royaume-Uni), Alassane Ouattara (Côte d’Ivoire), Olaf Scholz (Allemagne) et Antonio Guterres, Secrétaire général des Nations-unies.
Le One Ocean Summit a pour objectif de relever le niveau d’ambition de la communauté internationale sur les sujets maritimes et de traduire en actions concrètes notre responsabilité partagée sur l’Océan. Le Gabon avec la création de ses 20 aires protégées, augmentant ainsi la protection de ses eaux de 1 % à 26 %, saura porter sa voix au sommet du monde et mieux partager son expérience par rapport à l’action collective à accélérer les progrès et le pays à travers l’engagement 30×30 de protéger 30% de des océans d’ici 2030.
Pour cette première mondiale dédiée aux océans, l’événement est divisé en deux parties. Le 9 et 10 février, place à la société civile : des tables rondes se succèdent toute la journée aux ateliers des Ccpucins, donnant la parole à 600 experts, scientifiques, dirigeants, organismes et ONG du secteur. Transition écologique des ports, impact carbone des navires, responsabilité des entreprises, place des femmes… Chacun de ces ateliers donnera lieu à des «résolutions» qui seront présentées aux chefs d’États et de gouvernement présents.
Viendra ensuite, le 11 février, le temps politique. Présidé par Emmanuel Macron, il doit réunir une quinzaine de chefs d’État et de gouvernement en présentiel, et autant en visioconférence, prêts à s’engager pour la protection des océans. L’Élysée a promis trois annonces «fortes». Une sur la protection des écosystèmes océaniques, une sur la pollution humaine et plastique, et une autre sur le changement climatique et la montée du niveau des mers. «Il y aura des engagements. À chaque fois, une dynamique internationale sera lancée.»
L’océan couvre plus de 70 % de la surface de notre planète. Régulateur des grands équilibres environnementaux et en particulier du climat, pourvoyeur de riches ressources de toute nature, vecteur majeur d’échanges économiques, lien essentiel entre pays et communautés humaines, l’océan est aujourd’hui menacé par de nombreuses pressions comme les effets du changement climatique, les pollutions et notamment celles dues au plastique, et la surexploitation des ressources marines.
3 Commentaires
QUE LA FRANCE DE MERDE CESSE AVEC CETTE COMÉDIE QUI N’A QUE TROP DURÉE SVP.QU’ELLE AILLE SE FAIRE FOUTRE. A NTARE NZAME!!!
LAISSEZ EN PAIX LE GABON ET LE RESTE DE L’AFRIQUE QUE VOUS MANIPULEZ DEPUIS PLUS D’UN SIÈCLE. ASSASSINS – VOLEURS…
Juste une question : Jusqu’à quand va durer ce théâtre svp ?
Teddy ce théâtre va durer tant que la France sera aux mannettes, c’est si simple que ca. Pourquoi les opposallions gabonais ne s’attaquent pas pas publiquement a la France? les activistes ( pas tous)? la société civile (pas tous)? tout simplement parce qu’ils font partit du même système. Ils mangent dans la même marmite, le peuple n’est pas leur soucis. Il faut aujourd’hui avoir un discours rassembleur ou tous les gabonais, d’adoption et amis du Gabon sans distinction ethnique, religieuse qui sont épris de justice sociale et libertés se lèvent comme un seul homme pour bouter le France hors de ce pays. Les Maliens ont accepté de confier le destin de leur pays a leur fils mais la France, les autres pays africains, des maliens qui sont des neg£%s de service se battent jour et nuit pour renverser ce régime parce qu’il pense d’abord aux intérêts des maliens. Le cas du Mali est exemple palpable, il nous montre le chemin a parcourir pour la liberté. Ne pas aborder les vrai questions est simplement de la distraction.